"C'est VOUS les CINGLEEEEEEEéééés !!!"

Oh mon gode.

Pareil que La Moule. On est qu'une bande de scénaristes vicieux. T'es pas obligé d'être un Dieu du pinceau pour t'en sortir, suffit d'avoir un style et quelque chose à raconter. Les beaux dessins de nos jours ça pope de tous les côté sur deviantart et ça n'intéresse qu'assez peu les gens à part ceux qui pratiquent eux même. En fait, à part dire "Ah, c'est beau" ou "Ah bah oui, c'est beau", y a pas grand chose à déclarer pour nous autres mortels. D'ailleurs tout devient très incestueux à la fin (cf: ma signature). Une bonne histoire passionnée par contre, ça a beau être dessiné avec le cul, ça parle à tout le monde (oui, on peut dessiner passionnément avec son cul).

Bref, en une phrase : Laisse la technique aux psychopathes si c'est pas ton truc et concentre toi sur ce que tu aimes. Et comme l'a dit La Moule, si tu pense avoir un scenar' qui en vaut la peine, contacte ces cinglés de dessinneux, ils sont tellement pointilleux qu'ils ont rarement de vraies idées intéressantes donc autant t'en servir.

PS: Ouais, chuis vache. Mais je trouve ça juste lourd et rageant de ne croiser dans le forum que des tarés du pinceau qui passent leur temps à se congratuler entre eux.

PPS: Et merde, j'vais encore me faire basher... x(

Okay j'abandonne, messieurs mesdames, par pitiez j'ai besoin d'aide. Je n'arrive pas à dessiner correctement une foutue main tenant une foutu fourchette dans un angle de profil et le blem c'est que j'ai encore trois pages de prévu autour de cette scène où les personnage se servent de leurs couverts tour à tour. (Pardon d'avance pour le scan tout pourri)

En bref, j'aimerai savoir si quelqu'un possède la technique ultime pour dessiner des foutus mains quelque soit les foutus circonstance. Ou alors y a pas de magie et faut persévérer mais là raah, j'ai bloqué toute ma soirée là dessus !!!

Pareil. J'attends la suite.

J'ai prévu de caler moins de textes pour la session 03 (la deux étant un peu déjà terminée). Les pavés seront toujours là mais serviront principalement d'ellipse narrative à certains moments, rien de tel qu'un bon passage de lecture pour signifier que le temps a passé entre deux planches et ainsi sauter pas mal de scènes inutiles (en tout cas c'est mon avis). De plus, le fait que Laura narre moins les choses sera justifié dans le scénario.

Après, à la relecture de tout le truc, j'ai remarqué que la surdose de texte n'était pas si utile que ça quand on englobe l'histoire. Certes, ça peut être agréable quand on suit les évènement juste une page après l'autre. Mais quand on veut lire tout une session d'un coup, on oublie rapidement tout ce que l'héroïne peut bien raconter entre les cases pour se concentrer sur l'intrigue globale. Au final, c'est bien long pour pas grand chose.

Si on part du principe que tout le monde a une part de féminin et de masculin en soit, ça devient assez simple de se mettre à la place du sexe opposé, il faut juste pas tomber dans les stéréotypes. J'ai jamais cherché a féminiser ma façons décrire en jouant le rôle de Laura, à part dans les terminaisons bien sûr. En gros, je cherche pas à faire "fille" en racontant le point de vu de ce personnage, la priorité est qu'il soit "humain".

Corky > Ouais personne a jamais envie de lire au début. J'arrive toujours pas à présenter l'idée de se taper un pavé de texte d'une manière séduisante pour le lecteur.

Les critiques positives aussi peuvent craindre des fois :
Je me suis rendu compte récemment que les gens qui apprécient le plus ma BD sont soit des pauvres dépressifs ou au pire des racistes. Fait chier, manquerait plus qu'un de ces cons me poste sur le forum du FN. Je hais ces putains de nationalos !!! C'est vraiment chiant comme sensation, d'abords on lit un commentaire plein d'éloges, puis on clique sur le pseudo du bonhomme, on voit ce qu'il aime, et on gerbe. Fait chier.

EDIT (après m'être calmé) : Erf, en fait c'est moi qui crains. Je devrais pas juger mes lecteurs.

J'ai pas mal gambergé là dessus ces derniers jours, notamment à cause du Doc qui a eu l'idée saugrenue de mettre à jour le classement des webcos les plus visités sur webcomics.fr (Maudit-soit-il). Du coup j'ai réfléchis à l'enfer de la comm et des stats et j'ai déterré mon compte google analytics pour voir où s'en était. Et force est de constater que, il n'y absolument rien là dedans qui peut nous certifier qu'on est lu ou apprécié. C'est bien beau de se battre pour augmenter des statistiques, mais ce ne sont que des foutus chiffres à la con qui ne reflète pas ce qu'on recherche en tant qu'auteur non ? (rassurez moi). Même en faisant par exemple de la promo tout les jours, en ne sortant plus de chez soit, en s'abrutissant à chercher des trucs à dire pour commenter les blogs des autres dont on se fout éperdument, en établissant un milliard de stratagèmes à la con dans le seul but d'avoir le kiki tout dur quand on voit que vingt-cinq pélos sont venus rebondir sur notre page d'accueil à 14h64 le mardi 30 février 2013, on gagne quoi ? Sérieusement ? On sera toujours moins visité que Boulet et les autres que je saches, tout en pouvant être sûrs que si on ne fait plus tout ce merdier du jour au lendemain, toutes ces belles visites disparaitront.

Je me rappelle de l'époque de mon premier "site", j'étais jeunot à l'époque et j'avais fait un blog bd complètement naze sur skyblog. En trois jours je m'étais retrouvé "blog de la semaine" (au royaume des aveugles... Vous connaissez la suite), mes stats avaient augmenté d'un coup pour arriver à 3000 visites en une journée. A ce moment là, je peux vous dire que je m'étais senti comme steevy boulay en sortant de loft story. Avant de me rendre compte que ça ne signifiait en aucun cas que les gens avaient aimé ce qu'ils ont vu en venant, je m'étais juste pris 300 commentaires publicitaires sur mon article en page d'accueuil et basta. J'ai certes finalement gagné 10 à 20 lecteurs en plus des mes amis et c'est tout (bon là j'avoue, je fais mon snob)... Sans parler de tout ce que ce "succès" immérité à engendré dans ma petite tête d'ados qui n'en demandait pas tant...

On voudrait tous avoir des lecteurs qui nous suivent religieusement par paquets de 10 000 et qui réfléchissent à nos BD au moins autant que nous même, mais ce sera jamais le cas. Aujourd'hui, et j'ai beau avoir cherché, le seul moyen de vraiment lancer son site est de se faire linker par des "stars du net" (chose qui arrive aussi souvent que de gagner au loto) et même ça n'apporte aucune satisfaction (puisque les visiteurs c'est rien que des emmerdeurs (d'abords)).

Maintenant, en tant qu'auteur de BD, je ne préconise plus qu'une chose, juste faire sa BD, la mettre en lien là où on est censé la mettre (candidature pour blogbd.fr, annuaire, tout ça...) histoire qu'on ne nous reproche pas de faire nos misanthropes, mais surtout : ne jamais oublier pourquoi on s'y est mis à la base. Tout ce qu'on voulais, c'était mettre en forme des idées qu'on avait dans la tête, pas devenir des stars dans nos ordinateurs (ce qui est ridicule). Je comprends qu'on espère tous ça à un moment où un autre, mais si c'est au prix de finir complètement barge à force de ne penser plus qu'a des notions de stats et de promo, je préfère passer mon tour et me contenter de faire ce que j'aime.

Pour finir. Je vais répéter la seule idée vraiment intelligente que j'ai pu lire sur ce topic : La qualité d'une ?uvre restera toujours son meilleur facteur de promotion. Les vrais auteurs talentueux n'ont pas besoin de se casser la tête avec des stats. Quand on fait de la merde qui n'intéresse personne, il faut l'assumer, en tout cas c'est ce que je fais alors faites comme moi, Allelujah ! \o/

Miam.

Ben dis donc, je suis parfaitement d'accord avec De Gornaud (chose relativement difficile à assumer). Heureusement il y a encore certains gros jeux sorties récemment qui, j'avoue, valent le détour. Comme Deadly Premonition, Fallout New vegas, Red Ded Redemption... Et... Euh... On est pas censé parler d'adaptation de BD ?

Tiens bah pour la peine :

http://youtu.be/CEnUotNkQP8

Gainsbourg n'est sortit qu'à cause du succès de la môme, y a des vagues comme ça... A ce moment là c'était celle des biopics-tire-larme césarisables (coluche, piaf et tous les autres...). Celui de gainsbourg n'était qu'un petit morceau dur dans la longue déjection liquide.