Vous n'êtes pas identifié(e).
Si, Philche, ça me le fait en permanence, c'est même une partie essentielle de cette pression dont je faisais état par ailleurs.
Après bien des recherches et des tergiversations, je n'ai finalement trouvé qu'une seule solution qui me permette de surmonter cet obstacle : "faire".
Sache aussi que de mon point de vue, c'est le genre de choses tout-à-fait légitimes - sinon "normales" - dès lors qu'on s'investit dans un projetà Et puis, ça m'amène aussi à évoquer l'un des avantages d'une collaboration : on n'est pas là "que" pour se balancer du texte, ou de la planche, on peut aussi évoquer ensemble les doutes de chacun, les confronter, afin de se rendre compte ensemble que du moment qu'on "fait", alors rien n'est insurmontable.
Je concluerai avec une phrase qui me vient d'une vie antérieure et qui enfonce encore un peu plus le clou de mon propos : "l'important, c'est pas le niveau (et puis, qu'est ce que c'est, le niveau?) ; l'important c'est de faire, avec honnêteté et sincérité."
Amicalement,
Bruno
Voici mon avis en tant que petit nouveau :
Pour ce qui me concerne, une chose est sûre : avec BDA, et quelles que puissent être les éventuelles turbulences, j'ai trouvé une communauté à laquelle je ne m'attendais pas, et au sein de laquelle (du moins j'espère) je me sens bien et prends un plaisir certain.
Cela dit, pour le cas où certains me trouveraient lourd, n'hésitez pas à me le faire savoir : je ne le prendrai certainement pas mal, et ferai plus attention à mes interventions ultérieures. De même, si au niveau de la modération on préférerait que j'arrête de fréquenter BDA, alors dites le moi.
Je ne voudrais pour rien au monde faire partie des raisons de départ de certains piliers de cette ô combien agréable communauté.
Tu sais ce que j'en pense : je suis ravi. (Tu n'as pas reçu mon mail?)
C'est très ouvert, et variable.
Mais parmi les récurrents figurent : Primus, Fishbone, Zenzile, Zappa, John Zorn, Iam, Gainsbourg, Squarepusher, Amon Tobin, Arto Linseyà
Parmi les nombreux occasionnels : Sepultura quand on cherche à se rappeler d'où on vient, Waltari quand on a envie de sourire, et les Spermbirds quand on a vraiment besoin de décompresserà
Monsieur le Président Directeur Général,
Afin que nous, plèbe bédéhatienne, soyons informés au mieux, pourriez vous préciser devant nos yeux ébahis et émerveillés quel type de rallonge vous obtintes auprès des banquiers?
En effet, en l'état actuel de mes connaissance, il n'existe qu'un produit disponible dans le cas de figure qui vous (nous) intéresse : le produit se nomme Fimo 6, mais est connu du grand public sous le sobriquet "opération du prêt +". Est ce bien à celui-ci que vous recourutes? Ce qui si tel était le cas ne manquerait pas de nous prendre de court.
Par ailleurs, concernant la taille de la boîte, certaines miennes amies, analystes marketing, et donc spécialisées dans la pénétration des marchés, m'ont dit qu'en fait la taille de la boîte était moins importante que la façon de s'en servirà "Même si une grosse boîte, c'est quand même un plus", me confièrent-elles cependant unanimement à l'issue d'un séminaire, à Saint-Claude, dans le cours duquel j'eus à intervenir, et dont le thème était "Importance des places boursières dans Partition Interplanétaire des Prêts Exonérés (la P.I.P.E., donc)".
Quel est votre point de vue sur des sujets si sensibles?
En vous remerciant par avance de votre éclairage éclairé, je vous d'agréer, Monsieur le Président Directeur Général, l'expression de mes cafouillages les plus omnubilés.
Inguz plébéien de basse extraction ne craignant ni les pléonasmes qui veulent dire la même chose ni les phrases longues et sans virgules qui pourtant sont la respiration du texte.
Dans lequel Nietzche, d'une certaine manière, se rapproche de Bouddhaà (notamment à travers la citation de zarathoustra)
Je trouve l'ensemble de ces propos vraiment très intéressants, et pleins de sens.
Kame-senin, ce n'est pas que les gens n'ont plus envie de rêver, je crois qu'ils rêvent toujours. C'est à mon avis l'essence même du rêve qui a changé, pour nombre d'entre eux.
Leurs rêves* sont maintenant fondés sur une série de modèles "idéaux", bien en conformité avec le modèle sociétal (et pas très socialà) que nos élites parviennent petit à petit à mettre en place, et qui à mon avis n'a d'autre objet que d'éloigner la personne du citoyen. S'y adjoignent des mythes contemporains tels que la rapidité et le confort, qui tendent à supplanter l'engagement et la responsabilité.
De plus, ces rêves très matérialistes (loto, starac, loft &co) impriment une fausse image de facilité, dont on peut se demander si l'objet n'est pas de transmettre aux masses le message suivant : "ne cherche pas : si tu n'as pas un énorme coup de cul totalement immérité, tu n'as aucune chance de te faire ta placeà"
Qui plus est, je crois que depuis de nombreuses années, nos prescripteurs de modèles se sont appliqués à séparer dans l'inconscient collectif le rêve de la pratique individuelle, faisant également de même avec d'une part le pragmatisme et d'autre part l'idéal. Alors qu'en fait, je pense que ces quatre données s'interpénètrent et sont complémentaires dans l'accomplissement d'un parcours de vie.
En outre, et paradoxalement, dans une société de plus en plus individualiste, "on" nous assène des rêve collectifs, par opposition à une hypothèse sociétale plus solidaire, mais qui elle engendrerait plus d'idéaux et de pratiques individuellesà
Bouh, je m'embarque, je m'embarqueà
* : Notez que par une étrange convention tacite, la plupart des rédacteurs de ce sujet - moi y compris - ont bien pris soin de se définir indirectement comme "n'appartenant pas à la masse".
Oui, oui, c'est bien des frères C. A voir, effectivement !
Barton Fink, c'est très sympa aussi.
Hou là là ! Faut qu'il se fasse le maillot !
J'aime bien avancer sous la pression, en fait je ne marche qu'à çaà
En revanche, il n'est pas question qu'elle provienne de quelqu'un d'autre que moi (ou mon co-auteur, ou les dessinos/co-réals avec qui je bosse)à et encore moins de quelqu'un qui prétendrait le faire au nom d'une quelconque hiérarchie !
Je me suis d'ailleurs barré des quelques tafs où ça se passait comme ça, et maintenant je bosse soit seul, soit avec des gens bien, avec qui on s'est cooptés, et avec lesquels on parle d'égal à égal.
Oui, tu as raison.
Cela dit, en matière de narration dissociée montrant des personnages qui interagissent, je crois que "Mystery Train" de Jim Jarmusch est assez exemplaire. Autour d'une unité de temps donnée, marquée par des repères sonores forcément récurrents, le Grand Jim réalise un sketch par personnage ou groupe de personnages, toutes les interactions prenant place au fil du filmà Un principe sympa mais délicat, et qui requiert une sacrée maîtrise !
En plus, dans le casting de Mystery Train, il y avait Joe Strummer et Screaming Jay Hopkinsà
Snatch : Oui, ce n'est sans doute pas faux par rapport à Danny Boyleà en tout cas, on sent au moins une influence certaineà N'empêche, ça m'a bien fait rigoler. Par contre la narration est temporellement linéaire, rien à voir donc avec les schémas narratifs de Tarantino, dont un des gimmicks est de mettre en place une belle structure aristotélicienne classique, à la limite du fractal, et de joyeusement se la tronçonner à partir des articulations dramatiques pour la redispatcher en un kaléidoscope de sketches brisant apparemment l'unité de temps et de lieuà A mon sens, on peut probablement considérer cela comme un vrai discours militant adressé à l'industrie mainstream hollywoodienne.
Fight club : j'ai lu que c'était un film moyen, voire bofà Perso, il m'a scotché, autant qu'usual suspects. C'est structurellement imparable, quand même ! Quant au propos en lui-même, eh bien comme toujours, chacun y voit ce qu'il veut, et l'apprécie à sa convenance.
Les retournements de situation : pour moi, ils ne doivent pas être l'argument fonctionnel du film, à moins d'être solidement et astucieusement implantés dans la structure narrative. Mais bon, ensuite ce n'est qu'une question de goûts.
Concernant Snatch, c'est vrai que Guy Ritchie s'est surpassé. Je me suis régalé, j'étais pété de rire tout du longà Et c'est pas si courant (parce que je suis un spectateur méchant ! :poucesbas: )
Bon, alorsà Cap au video-club !
Oui, je souscris dans l'ensemble à cette liste.
A part The Game que j'ai trouvé un peu brouillon par moments, et incassable, que je n'ai pas vuà (pas encore du moins)
Je connais des gens qui bossent sous Linux. Ãa a l'air très très sympa. Mais apparemment, il faut quand même toucher un minimum sa bille si on ne veut pas être larguéà
Quant au Mac, je dis juste qu'ils se sont bien améliorés, et que maintenant j'en suis hachetement content - comme si ma fidélité avait enfin été récompensée après plusieurs années de galères avec ma vieille bouzine.
Mais ne croyez pas que je fasse du prosélytisme. Car comme je l'ai dit par ailleurs, de son propre point de vue, chacun a tout-à-fait raisonà
Ben ouiàSurtout quand le coup de théâtre final est implanté de manière criante dès la 10ème minuteà
Mais c'est quand même du bon cinéma.
Boh, bien sûr que ce n'est pas la panacéeà On est dans des histoires de commerce, il ne faut pas le perdre de vue.
Mais quand même, le Mac indémontable avec la Ram non augmentable, c'était sur les anciennes générations d'IMac. Et moi aussi ça m'a fait gueuler, à l'époque.
Avec le nouveau, tu as la possibilité de booster toi même ta Ram, et Apple te donne même avec l'ordino neuf la notice qui explique comment procéderà Sans compter les upgrades en ligne qui interviennent régulièrement, gratuitement, et sans aucune obligation.
Quant aux logiciels, avec la plate forme unix d'origine, je vous assure qu'on a accès a bien plus de choses que dans le temps.
(pour info, je travaille sur IMac G5, MacOS X Panther)
Cela dit, c'est vrai qu'avec l'IPod, ils ont une démarche commerciale assez ressemblante à celle de Guillaume Portailsà Et donc assez puante. Ãa doit être le quasi-monopole qui fait çaà
Pawa, avec MAcOS X, et notamment depuis Panther, il y a quand même un paquet de soft qui sont devenus accessibles aux pommeux (ou pommards?).
Cela dit, c'est vrai que par exemple, pour les jeux, Mac est encore un peu à la bourreà
En revanche, et même si c'est vrai que tout est un peu plus cher, les nouveaux modèles sont apparemment plus fiables que les anciens, et les logiciels se diversifientà A titre d'exemple, on trouve quand même sur Mac des petites choses anodines telles que final draft, final cut pro, after effect pro, etc etc, qui sont quand même d'excellente qualité.
Mais bon, on ne va pas lancer une énième querelle de trolls, heinà
Je ne connais que "Les autres".
Si l'on excepte le fait que le "noeud de l'histoire" s'évente très rapidement de lui même, c'est très bien écrit, très bien mis en scène, parfaitement rythmé (même si au début j'ai eu du mal à "entrer dedans" à cause de çaà En fait, il s'est avéré a posteriori que c'était nécessaire à la narration) et superbement filméà
Bref, en voilà un garçon qu'il a plein de talent. Sans compter qu'il co-compose lui-même ses musiques !
Tout comme Corriveau !
Allez, tous en choeur au refrain !
Tout est plus simple
Tout est si bien
Sur Macintosh
Tout est plus simple
Et bien plus gai
Sur Macintosh
C'est tellement plus convivial,
Même un enfant peut le comprendre
Y'a moins d'méchants virus dans ta BaL
Et ils n'cherchent pas à toujours vendre !
Depuis que j'ai acquis Panther
Je suis relax, j'ai plus d'ennui
Je peux surfer au bout de la nuit
Je suis heureux, je touche plus terre !
Tout est plus simple
Tout est si bien
Sur Macintosh
Tout est plus simple
Et bien plus gai
Sur Macintosh
ad lib
Si, si, c'est John Lennon, Joe Strummer et Joey Ramone qui me l'ont dit.
Et jimi Hendrix a confirmé.
Oki.
On voit ça demain matin (tout à l'heure !), si tu veux bienà
le temps de lever le bras, et hop... le type avait déjà bougé !
C'est souvent le problème avec le biclassage nu/autoportraità
Sinon, pour ce qui est de la discussion théorie/pratique, je ne suis pas un dessino mais, comme Metyss et Blu (et comme me l'ont démontré certaines expériences de mes vies antérieures), je crois que l'une et l'autre sont importantes par ce que chacune peut apporter dans des domaines différents, et probablement complémentaires.
Après, ce n'est qu'une question de sensibilité personnelle et de dosage, et vu qu'il existe autant de vérités que d'êtres, je pense que la position de chacun s'en trouve dotée d'une respectabilité équivalente à celle des autres, et notamment de ceux qui ne sont pas d'accordà
Hein? Comment ça, je ne suis pas clair?
En plus, c'est les morses qui ont des défensesà pas les phoques.