salut à tous, dernièrement j'ai l'idée d'écrire une histoire dans la lignée de From Hell par Moore et Campbell, Jack l'éventreur par Ortiz et Segura, Torso par Andreyko et Bendis ...

Voilà de quoi il s'agit:

Prologue:
     Egouts de Londres, année 1877. Au prix d'un suprême effort, un individu arrive à se hisser hors de l'eau. Après plusieurs heures de sommeil, il se réveille souffrant: il a des échimoses et des traces de coups de couteau partout. Son visage n'est plus reconnaissable. Il tente de regagner la surface mais la lumière lui brûle les yeux. Il attend la nuit en mangeant des rats pour assouvir sa faim. A l'heure où tout le monde dort, il entre dans une pharmacie, y vole des produits et retourne dans sa tannière. Peu après un cri inhumain déchire la nuit.

L'histoire:
      L'individu du prologue assassine sauvagement des membres de la haute société (il y'en a un est étranglé avec ses propres tripes). Il y'a toujours un bruit récurent qui accompagne la victime vers l'au-delà.
      L'inspecteur McKinley de Scotland Yard est chargé de l'enquête. Il fait le lien avec les meurtres de quatre voyous de bas quartiers. Meurtres ayant eu lieu un peu avant celui du premier aristocrate.
     Cette fois-ci, rien ne lie les victimes à part leur classe. Dans le jardin de l'une des victimes, on retrouve des corps de femmes égorgées. Celles-ci ont apparement été violées après des séances de lacération et autres, avant d'être égorgées. En fouillant chez les autre victimes, on en trouve aussi.
     McKinley fait le rapprochement entre cette affaire et la découverte de Steven Hatswell retrouvé mort défiguré dans les égouts. Mais il n'ira pas plus loin. Certaines des victimes étaient des grosses huiles et on étouffe l'affaire.

Epilogue
      Flashback: la journée précédent ce qu'on a vu dans le prologue. On y apprend:
- qui est le tueur
- les raisons du tueur
- ce qui liait les victimes de la haute societé
- le lien entre les meurtres des aristos et ceux des voyous.
- le rapport avec Steven Hatswell
- pourquoi le bruit récurrent.

Bon j'y ai pas encore très réfléchi pour le moment. Si vous l'histoire vous parle et que vous avez des choses à dire n'hésitez pas à m'en faire part. Notamment si vous avez une idée du bruit récurrent.
je vous remercie.

salut à tous, voici comment je vois la planche 18 de mon tome 1:

Case 1: Alan apparaît au seuil de la porte de l'église (il est face au lecteur) arme au poing. Il tient difficilement sur ses jambes.  Sa main droite est posée contre le mur pour ne pas qu'il tombe.

Case 2: Contre-champ. Alan (on le voit de dos) se tient devant la porte toujours l'arme au poing. A dix mètres face à lui, Mowbray tient le prêtre et colle son arme sur la tempe de celui-ci. Il ordonne à Alan de déposer son arme.

Case 3: Alan se penche en abaissant son arme. Mais il ne quitte pas Mowbray des yeux. Sa main droite (qui ne tient pas le revolver) a tendance à aller vers l'arrière de sa jambe droite.

Case 4: Alan dépose son arme à terre. Il ne quitte toujours pas Mowbray des yeux. Sa main droite sort un couteau du côté arrière de sa botte droite.

Case 5: Tandis qu'Alan se relève, Mowbray écarte le prêtre du bras gauche et tends son bras droit pour tirer sur Alan

Case 6:  Alors qu'il allait tirer (ou peut être qu'il tire en l'air ou encore par terre), Mowbray est atteint à la gorge par le couteau d'Alan. Ce dernier est désequilibré par son lancer.

j'attends vos commentaires. merci.

P.S. vous trouverez le synopsys (non-définitif) dans ma galerie

salut, voici le synopsys d'un de mes projets+ le découpage des 15 premières planches. Vu que mon prof m'a mis à la diète (je dois travailler sur un seul projet à la fois et en plus sur celui qu'il affectionne lui!) je n'ai pas encore présenté cette histoire au "comité".

Description de la série :
     Western jeunesse dans le style Lucky Luke ou les Tuniques bleues.

Résumé de la série :
     Un jeune reporter de l'est débarque au Far est en quête d'une histoire sensationnelle. Il apprend l'existence d'un certain blam blam qui abat toujours de deux coups les bandits qui lui demandent son nom après l'avoir traité de péquenot. Le reporter va de ville en ville afin de récolter des histoires sur ce mystérieux héros qui débarrasse l'ouest de ses outlaws, en espérant le croiser un jour. Sa quête le mène à Kisstoovecat Gulch. blam blam semble être devenu le protecteur de la fille Clapton et de son cousin Jim qui possèdent un ranch à proximité de la ville.
       Jim est amoureux de sa cousine Rosalind et essaie, par des procédés qui tournent toujours au grotesque, de lui avouer sa flamme. Cela bien que Rosalind, comme tout le monde, le sache. En plus, il a le don de se mettre dans des situations dangereuses dans lesquels blam blam doit intervenir pour le sauver. Ce dernier disparaît aussi vite qu'il apparaît. Le reporter va chercher à percer l'identité de blam blam et tenter de découvrir pourquoi il protège les Clapton.

PLANCHE 1
Case 1: Quai de la gare de Befeurtin Junction. Des personnes  (voyageurs, personnes qui attendent un proche, ...) attendent. Le train arrive.

Case 2: Le train est entré en gare. Des personnes en descendent, d'autres montent, des adieux se font sur le quai. Focaliser l'attention sur un ''pied plat'' qui descend du train.

Case 3: Devant la gare (côté avenue). Des passants montrent, en pointant du doigt le saloon au pied plat.

Case 4: le pied plat remercie les passants en s'éloignant vers le saloon.

Case 5: Intérieur saloon (qui est presque vide). Le pied plat signe le registre qui lui est présenté par le barman.

Case 6: la salle est bondée, le pianiste joue. La table qui est près du piano est la seule de libre. Le pied-plat descend les escaliers.
Voix-off: une heure et demi plus tard

Case 7: le pied plat veut s'installer à la table qui est libre mais le pianiste, qui a cessé de jouer, l'arrête.

PLANCHE 2
Case 1: le pianiste apprend au pied plat que cette table est un monument. Un certain blam blam y aurait déjeuné.

Case 2:Le pied plat, intéressé, demande qui est ce blam blam. Cela après s'être présenté comme étant un reporter de New York

Case 3: le reporter propose un verre au pianiste (en l'entraînant vers le comptoir) pour entendre l'histoire de blam blam. Celui-ci accepte (c'est l'heure de sa pause).

Case 4: Le pianiste, accoudé au comptoir, commence l'histoire.

Histoire du pianiste.
Case 5: Norman, premier adjoint du shérif, est devant la terrasse du shérif office tandis que Stan, deuxième adjoint, se trouve au seuil de la porte. Norman fait remarquer à Stan un nuage de poussière à l'horizon et lui demande de lui apporter les jumelles. Un mexicain de petite taille et d'une certaine corpulence fait sa sieste adossé à un des murs du shérif office.

Case 6: Stan apporte les jumelles à Norman.

Case 7: Norman regarde en direction du nuage de fumée avec les jumelles.

Case 8: Ce que voit Norman avec les jumelles: un groupe de neuf hommes à mine patibulaire, à cheval, arrive en ville.

PLANCHE 3
Case 1: Effaré, Norman commence à s'éloigner en disant qu'il va prévenir le shérif de l'arrivée de Dem Oniack et de sa bande. Stan est stupéfait, le mexicain se réveille en sursaut.

Case 2: Chez le shérif où ce dernier et sa femme reçoivent le maire, ainsi que son épouse. Norman met le shérif au courant de l'arrivée de Dem oniack et de ses hommes. Le shérif et le maire sont stupéfaits.

Case 3: Le shérif remet au maire son insigne. Les deux femmes qui sont présentes, indignées par le comportement de leurs maris, protestent. Mary, la femme du shérisf affirme qu’à l’époque où son père était shérif, cela ne serait pas arrivé.

Case 4: Toujours chez le shérif. A travers la fenêtre on voit courir le mexicain. Ce dernier, paniqué, annonce l'arrivée des bandits en hurlant.

Case 5: Norman suit l'exemple du shérif et ôte son étoile. La femme du shérif couvre d'éloges Stan qui est resté à son poste.

Case 6: Chez le shérif. La femme du maire a pris le relais pour louer le courage de Stan. On entend un bruit de porte qui claque.

Case 7: Les regards des personnes présentes convergent vers la porte qui vient de se refermer après l'entrée de Stan (qui semble être soulagé d'être là). L'arrivée de ce dernier interrompt le discours de la femme du maire.

PLANCHE 4
Case 1: Artère principale de la ville. Les bandits se sont arrêtés et écoutent Dem qui forme trois groupes de trois et donne à chaque groupe un objectif: un groupe à la banque, un autre au shérif office et le dernier au saloon.

Case 2: Les trois groupes se séparent et suivent des directions différentes.

Case 3: l'un des groupes se dirige vers le saloon.

Case 4: les trois bandits rentrent dans le saloon.

Case 5: vue d'ensemble intérieur du saloon. Il règne un silence de mort. Personne n'ose bouger, chacun croyant être observé par un ces individus menaçants (ou peut être même des trois!) qui viennent d'entrer.

Case 6: plan rapproché d'une partie des clients. Tous sont mal à l'aise et on voit leurs fronts des gouttes de sueur.

Case 7: Un des bandits, Kirk, ordonne que tous (en les traitant de péquenots) sortent sauf le barman et le pianiste.

Case 8: Intérieur du saloon toujours. Les clients sortent. Ils s'efforcent de garder leur calme.

Case 9: Vue extérieur du saloon. On voit les clients qui en sortent affolés. C’est la débandade.

PLANCHE 5
Case 1: Au saloon, Kirk remarque un individu mystérieux qui continue à manger comme si de rien était.

Case 2: Kirk se dirige vers le mystérieux individu, menaçant.

Case 3: Kirk, fou furieux, renverse la table où se trouvait le déjeuner du mystérieux individu et demande pourquoi il n'est pas sorti.

Case 4: le mystérieux individu, qui est resté calme, réplique qu'il n'est pas un péquenot, ce qui surprend Kirk.

Case 5: Kirk, amusé, se retourne vers ses acolytes et les fait rigoler.

Case 6: Kirk demande, en riant, son nom au mystérieux personnage.

Case 7: Il achève sa question par péquenot. Avant que la dite question ne soit entièrement prononcée, le mystérieux individu dégaine et tue Kirk de deux coups.

Case 8: Voyant ce qui vient de se passer, les deux autres bandits s'apprêtent à dégainer.

PLANCHE 6
Case 1: le mystérieux individu tient le cadavre de Kirk devant lui (il s'en sert comme bouclier) et tire sur les deux autres.

Case 2: Sous les regards ahuris du barman et du pianiste, le mystérieux individu laisse s'effondrer le cadavre de Kirk.

Case 3: Dehors, le groupe qui revient du shérif office entend les détonations. L'un des bandits, soupçonnant le pire, propose de se dépêcher pour aller voir ce qui se passe.

Case 4: Les trois bandits accourent vers le saloon. Celui qui craignait le pire (Ed) arrive en premier devant l'entrée. Les deux autres sont un peu loin.

PLANCHE 7
Case 1: Intérieur du saloon. Le mystérieux individu, qui s'était rapproché du comptoir son arme toujours à la main, et le barman se retournent et voient Ed rentrer.

Case 2: Ed est stupéfait de voir ses camarades morts.

Case 3: Ed remarque que le mystérieux individu tient une arme dans sa main.

Case 4: Ayant compris que c'est le mystérieux individu qui les a tués, il cherche à l'abattre. Mais le mystérieux individu, plus rapide, le descend.

Case 5: Entrée du saloon (vue de dehors). Les battants s'écartent, faisant apparaître Ed qui retombe en arrière.

Case 6: Voyant cela, Brian, l'un des deux autres bandits stoppe la course de Chuck
(L’autre bandit).

Case 7: Il lui demande d'aller chercher leur chef tandis qu'il surveille le saloon et qu'il empêche quiconque d'en sortir.

Case 8: Tandis que Chuck s'éloigne, Brian s'approche d'une des fenêtres du saloon pour épier ceux qui y sont.

PLANCHE 8
Case 1: Brian regarde à travers la fenêtre et voit le mystérieux individu en conversation avec le barman.

Case 2: intérieur saloon. Ce dernier, très mal à l'aise, assure au mystérieux individu que vu qu'il a été dérangé, le repas lui était offert par la maison.

Case 3: Le bandit décide d'abattre le mystérieux individu dans le dos.

Case 4: Intérieur saloon. Le barman, qui vient de repérer le bandit, s'écrie en pointant du doigt la fenêtre à travers laquelle on distingue le bandit prêt à tirer. Le mystérieux individu se retourne en relevant instinctivement son arme.

Case 5: Façade du saloon. Le bandit s'effondre. Un projectile, après avoir brisé le verre de la fenêtre, l'atteint en plein front. (On devine que le mystérieux individu a tiré, d'autant plus qu'on entend la détonation)

Case 6: Intérieur banque qui est braquée. Dem Oniack apprend par Chuck que quelqu'un a tué la moitié de ces hommes. Il est saisi d'une rage violente.

Case 7: Dem Oniack donne l'ordre à ceux qui étaient avec lui de continuer le braquage.

Case 8: il se dirige vers la sortie en ordonnant à Chuck de le suivre.

PLANCHE 9
Case 1: Dem et Chuck se dirigent vers le saloon. Ils en sont encore loin mais distinguent un personnage devant le saloon.

Case 2: Chuck pointe son doigt vers ce personnage. Ce dernier, qui n'est autre que le mystérieux individu, prépare son cheval afin de s'en aller.

Case 3: Le mystérieux individu s'apprête à monter en selle quand il entend une voix coléreuse l'interpeller

Case 4: Dem annonce au mystérieux individu que cinq de ses hommes ont été tués. Il avait l'intention de lui demander s'il n'en serait pas responsable mais la façon dont le mystérieux individu le regarde le met hors de lui.

Case 5: Gros plan: regard du mystérieux individu.

Case 6: Dem, fou de rage, dégaine en traitant  le mystérieux individu de péquenot.
Dem Oniack: qui t'es pour me regarder comme ça, hein péquenot?

Case 7: Le mystérieux individu, plus rapide, abat Dem en tirant deux coups de feu. Chuck, qui avait son arme à la main dans les cases précédentes vise le mystérieux individu et s'apprête à tirer.

PLANCHE 10
Case 1: Le mystérieux individu plonge en se retournant afin d'échapper au tir de Chuck. Mais ce dernier est abattu par un quelqu’un d'autre et s'effondre.

Case 2: Le mystérieux individu se relève en regardant l'endroit d'où le coup qui a tué Chuck a été tiré en braquant son revolver instinctivement. Il est un tout petit peu surpris (on remarque une légère nuance par rapport à d'habitude, car bien sûr il reste tout le temps impassible)

Case 3: contre-champ. Devant une des maisons voisines du saloon, la femme du shérif tient fièrement un fusil fumant.

Case 4: Le shérif, le maire, les deux adjoints et la femme du maire se précipitent hors de la maison, interloqués (à part la femme du maire qui jubile). Le shérif veut gronder sa femme.

Case 5: Le pianiste et le barman se dirigent vers la maison du shérif. Ce dernier est en train de se prendre un savon.

Case 6: Voulant se racheter et échapper au mépris des deux femmes, Norman rappelle que les bandits étaient neuf, qu'il en reste donc encore deux  et que ceux-ci devraient probablement se trouver à la banque.

Case 7: Le shérif, en commençant à partir, ordonne à ses deux adjoints de le suivre à la banque.

Case 8: Les deux femmes regardent furieusement le maire qui est resté.

Case 9: Le maire décide de suivre les représentant de la loi. Vaut mieux affronter les bandits que les terribles épouses (et vu le regard que celle-ci avaient à l'égard du maire, moi aussi j'aurais fait pareil)

PLANCHE 11
Case 1: La femme du maire félicite celle du shérif pour sa bravoure et son adresse, ainsi que pour sa façon de remettre son mari "à sa place". Mary répond, entre autres, que c’est son père qui lui a appris à tirer.

Case 2: Les deux femmes se demandent où est passé le mystérieux individu.

Case 3: Le pianiste qui arrive à leur hauteur, accompagné du barman, répond que le mystérieux individu a profité de la petite querelle entre le shérif et sa femme pour s'éclipser.

Case 4: Les femmes demandent au pianiste l'identité du mystérieux individu. Il répond qu'il n'en a aucune idée.

Case 5: Le barman, éprouvé par tout ce qui vient de se passer se met à délirer.
Barman: ha ha ha! Quel est ton nom? blam! blam!  Qui es-tu? blam! blam! ha ha ha ha!

Case 6: le pianiste se moque du barman. Ce dernier, furieux, lui rappelle que sa pause est terminée. Ce qui amuse Ronald, le jeune reporter.

Case 7: Le pianiste se dirige vers son piano. Ronald jette un coup d'oeil dans la salle. Il qu'il tient son histoire et que la vie du far west lui plaira.

PLANCHE 12
Case 1: Une des filles du saloon aborde Ronald et lui demande un verre.

Case 2: Ronald demande à la fille ce qu'elle veut boire. Elle répond.

Case 3: Ronald commande ce que la fille souhaite. Il pense qu'il va vraiment se plaire au far west.

Case 4: A une table se trouvant près de Ronald et de la fille, une altercation a lieu entre des joueurs de poker.

Case 5: vue d'ensemble de la salle (intérieur saloon). Ronald discute avec la fille. Les joueurs de poker en viennent aux poings. Le barman leur ordonne d'aller se battre ailleurs.

PLANCHE 13

Case 1: Ronald se réveille auprès de la fille de la page précédente. Cette dernière dort encore.

Case 2: Ronald sort du lit.

Case 3: Ronald s'étire

Case 4: Ronald s'étire d'une autre façon.

Case 5: Ronald se dirige vers la fenêtre.

Case 6: Ronald est enthousiasmé par ce qu'il voit par la fenêtre.

Case 7: Dans la rue, une diligence s'arrête devant l'office des transports. Ronald observe la scène depuis la fenêtre de sa chambre.

PLANCHE 14
Case 1: le conducteur, Joss, fait descendre les voyageurs. Il dit à ceux qui continuent ne s'arrêtent pas dans cette ville que la diligence repartira dans une heure et qu'ils feraient mieux de descendre pour reposer leurs popotins.

Case 2: Une des voyageuses, une dame de la haute société, est indigné par les paroles de Joss et le lui fait savoir.

Case 3: Joss lui fait la remarque que son popotin n'est pas mal.

Case 4: La colère de la dame s'est envolée. Elle se redresse, fière et coquette. Elle apprend à l'assistance qu'elle va prendre une chambre à l'hôtel pour s'y reposer.

Case 5: L'employé de l'office fait remarquer à Joss qu'il devrait modérer son langage.

Case 6: Joss commence à se diriger vers le saloon.

Case 7: Joss entre brutalement dans le saloon et commande à boire d'une manière désagréable.

Case 8: Le barman répond que les clients malpolis ne son pas servis.

Case 9: Joss se dirige vers le barman bras ouvert et l'air enthousiaste. Le barman est aussi enthousiasmé et ouvre ses bras.
Joss: ce cher Alf!
Le barman: ce cher Joss!

PLANCHE 15
Case 1: Le barman sort une bouteille et deux verres.

Case 2: Ronald se dirige vers le comptoir. Il s'adresse aux deux compères. Le barman et Joss se retournent.

Case 3: Ronald a rejoint Joss.

Case 4: Ronald se présente à Joss et lance que qu'en tant de conducteur de diligence, il doit en avoir vécu d'histoires passionnantes.

Case 5: Joss répond par l'affirmative. Il souhaite s'épancher mais Ronald lui coupe ma parole et lui demande s'il connaît blam blam.

Case 6: Joss affirme l'avoir déjà rencontré. blam blam aurait abattu des tueurs dans un relais où Joss s'était arrêté.

Case 7: Ronald demande au barman de sortir une autre bouteille car raconter une histoire donne toujours soif. Ce que Joss approuve.

Case 8: Joss apprend que les faits qu'il n'a pas vécus lui ont été racontés par un type qui était sur place et commence l'histoire

[COLOR=blue]salut à tous!

   j'aimerais avoir votre opinion sur un sujet qui me divise  :kpifpafpouf: avec mon    prof de scénar. mais d'abord l'histoire:

         la´, un shérif députy est chargé de convoyer une importante somme d'argent vers une autre ville. grabd passionné de poker et de filles de saloon il ne peux s'empêcher de faire une partie avec deux truands et de monter ensuite avec une fille. la fille et les truands sont de connivence et lui vole l'argent. les bandits s'entretuent et l'argent brûle. la´ est recherché pour vol et meurtre sur trois personnes. plus de témoin, plus de preuves. il est condamné à fuir toute sa vie. sa fuite se transforme en chasse aux hors-la-loi. haine? vengeance? justice?

   voilà. et donc mon prof n'approuve pas trop. selon lui, le fait d'en faire un justicier n'est pas crédible  :kfou: et que ça ne passera pas.parait-il que je devrais plutot l'emmener à s'innocenter. Alors que moi je veux absolument faire en sorte que mon perso ne puisse pas du tout s'innocenter.

   j'ai même l'idée de le faire tuer quelqu'un si les raisons pour lesquelles il est poursuivi ne sont pas suffisantes. mais est-ce que le public pourrait s'identifier au perso? que de question!

et vous qu'est que vous en pensez?