Petite explication alors :
Une fois inscrit et connecté au site, il faut aller sur le menu "Create" et là choisir ce qu'on veut créer. Pour cette explication, je choisirai le mode "Portraits".

Trois méthode de création sont proposées : Compose, Upload et Animate.

* Compose est la plus générique, celle qui servira le plus et que je vais décrire ci-dessous.
* Upload permet d'envoyer un nombre limité d'images (3) par mois. Idéalement, 512x512, avec un visage centré.
* Animate permet d'exporter une animation d'une transition entre plusieurs portraits que vous auriez créé. Là encore, c'est surtout réservé aux comptes payants, mais en gratuit, vous pouvez exporter une courte séquence.

Dans le mode compose, trois colonnes sont affichées. Dans la première, vous pouvez choisir les "parents" de votre portrait. C'est-à-dire, les images qui vont servir de base à la composition d'un nouveau portrait. Si vous ajoutez un parent, vous remarquez en dessous deux bouton-glissières : "Face" et "Style". Ils servent à doser la proportion (de 0 à 100%) de chacun de ces éléments. Face désigne la physionomie, la forme du visage, tandis que "Style" désigne plutôt les couleurs, le type de peau, la couleur du fond… Vous dosez ainsi les aspect des parents qu'il vous intéresse de retrouver dans les enfants.

La seconde colonne propose des réglages fin de certaines propriétés (couleur des eux, inclinaison de la tête, aspect "artistique", quantité de bleu…
Là, les glissières vont généralement de -2 à 2. À 0, ces propriétés ne jouent pas. À 1, ils sont à 100%. Et à 2, ils sont à 200%.
Ainsi, si vous voulez un visage un tantinet plus âgé que celui que vous propose la combinaison des deux parents, vous pouvez glisser le bouton-glissière légèrement vers la droite.

Enfin, la troisième colonne vous permet de voir différentes propositions sur base de vos réglages. Cliquez sur l'une des trois la sauvegarde dans votre galerie, où elle sera réutilisable à son tour comme parent pour une autre composition.

On retrouve ce mode présenté d'une autre façon quand on clique sur un portrait enregistré, mais les outils sont les mêmes :

Le visage apparait en grand à gauche. En haut, trois liens qui affichent les modes d'édition séparément : Edit-Genes qui vous permet de régler les paramètres fins, Children qui vous propose des variations de votre portrait (en le mélangeant plus ou moins ("Similar/Different") avec des portraits générés par d'autres utilisateurs. Et enfin, Crossbreed, vous permet de mélanger entre eux deux portraits. 

D'expérience, l'outil fonctionne mieux dans les heures creuses aux USA Quand le site est très sollicité, il a tendance à ne pas afficher les nouveaux portraits composés.

Enfin, sous chaque portrait de votre galerie, une série d'icônes :

* Like : permet de créer un raccourci vers les images que vous appréciez et qui peuvent vous servir de source.
* Dièse : pour créer des tags, associés à l'image
* La flèche vers le bas pour télécharger une version haute définition de votre image (limitée en nombre dans la version gratuite)
* Plus intéressante est l'icône suivante, qui permet de voir l'arbre généalogique de l'image : jusqu'à 5 génération des images parents qui la composent.
* Poubelle : pour supprimer votre image.
* L'oeil : permet de rendre l'image privée (limité aussi, je crois. Toutes les images téléversées sont privées par défaut).
* Réseau : lien vers https://tokkingheads.com/ pour animer vos portraits.

Akitarro59 > C'est à toi de voir, bien sûr, mais pendant les 10 années où j'ai été coloriste, en dehors d'une collaboration avec auteur qui par hasard habitait juste à côté de chez moi, je n'ai jamais travaillé qu'en télétravail avec l'éditeur et les dessinateurs/scénaristes. Cela n'a jamais posé de problème.

Le plus gros problème rencontré était avec l'éditeur américains DC Comics, qui m'a d'abord envoyé des chèques papier encaissables… aux USA !

Donc, en dehors des questions administratives qui sont propre à vos situations respectives, je pense que tu peux envisager sereinement une telle collaboration.

C'était mon grain de sel.

Ok, merci.

À vous lire, j'ai bien compris que vous ne vouliez pas de changement majeurs dans l'interface
C'est tout à fait compréhensible.

Mais au moins une mise à jour technique quoi !

Je n'utilise pas Gimp, mais ceci ne répond-t-il pas à ta question :

https://juliencrego.com/astuces/optimis … 20Exporter ?

Sinon, il existe des petits softs comme PNGoptimizer. Peut-être y'a-t-il un JPGoptimizer également ?

Je te conseillerai de ne pas copier de dessin (surtout du genre ci-dessus) : Il y a déjà eu un travail de synthèse de la part de l'auteur, avec son interprétation, ses déformations. Et ce qui t'es présenté est un résultat, pas un processus ou une étude. C'est incomplet. Tu n'as pas toute les information sur ces dessins pour comprendre le travail qu'il y a dessous. Copier un dessin ça peut t'apprendre des formes abstraites, des contours qui ne décrivent pas vraiment ce qu'il y a dessous.

Cela peut paraître rébarbatif, mais l'étude du squelette est importante, car c'est la structure autour de laquelle tout s'articule. Comprendre les formes, les proportions, les mouvements possibles, tout cela est important. N'hésites pas à étudier les formes individuelles de chaque os. Ce n'est jamais perdu. Quand tu sais tout cela, tu peux te contenter d'un bonhomme en fil de fer qui te servira de repère.

Après, tu peux t'attaquer à l'étude des muscles. Pas tous heureusement ! Les muscles superficiels suffiront. Il faut comprendre leur volume, comment ils se tordent, se recouvrent les uns les autres, comment ils sont attachés aux os… C'est de la viande, mais pas en masse informe ! il y a de la tension, des volumes, de la nervosité dans cette viande-là ! 

Pour cela, il existe plein de matériel à trouver sur le web : planches anatomiques, études, photos de culturistes, etc. Mais il y a mieux ! L'avantage qu'ont les magazines sur le web, c'est que tu peux en arracher les pages, et travailler ainsi directement sur des images de bonne taille (et pas des miniatures sur un écran). Il ne faut même pas imprimer soi-même

Un exercice qu'on nous a fait faire lors de nos cours d'anatomie, c'est justement de prendre du papier calque et des photos extraites de magazines de mode, de culturisme, de charme… et sur le calque, nous devions dessiner les muscles de ces personnes en photo. Le travail commençait par repérer les affleurements osseux (clavicules, tête du fémur, côtes, os iliaque…), puis tracer le contours de os, et enfin y placer les points d'attache des muscles et dessiner ces muscles.

Plus tu comprendras et tu connaitras ton anatomie, plus ta propre synthèse, tes propres raccourcis et déformations de dessin seront justes. Avec une connaissance approximative, tu restitues approximativement, le résultat dépends alors surtout de la chance.

Alors, pour la tour Eiffel, non. Elle est dans le domaine public. Mais, astuce, son éclairage bien ! Car c'est une installation plus récente qui donne encore lieu à des droits pour l'auteur.

D'une manière générale, les bâtiments qui sont assez originaux pour pouvoir prétendre à des droits d'auteur bénéficient de cette protection. Donc c'est niet pour utiliser leur image sans accord des auteurs. Indépendamment de l'exploitation que tu en fais.

C'est à la fois stupide et défendable, d'où les débats houleux sur le sujet, mais dura lex sed lex.

Sauf...

Sauf si une exception à ce droit existe. C'est le cas en Belgique je pense, pas sûr que ce soit le cas en France. 

Tu peux lire à ce sujet la page Wikipedia sur le sujet "Liberté de panorama".

Petit conseil : évite de mettre la charrue avant les boeufs.

Tu n'as pas besoin de dessins élaborés et de design finalisés au moment ou tu construit encore ton jeu, surtout pas ! C'est un coup à faire perdre leur temps à tes collaborateurs et à te faire perdre de l'argent si tu rémunères une participation. 

Ton jeu est encore en pleine transformation / recherche d'identité. Non seulement il va changer, peut-être beaucoup, mais choisir un design "définitif" trop tôt va figer la conception et t'empêcher (ou en tout cas rendre plus difficile d'accepter) de faire les adaptations qui seront nécessaires. 

Dans cette première phase de conception et de test des mécanismes du jeu, des bonhommes-bâtons sont suffisants. Cela évite de perdre son temps sur des illustrations qui peut-être ne serviront pas, parce que le jeu prendra une autre direction ou que certaines cartes seront abandonnées en cours de réalisation.

Tu peux, si tu veux un joli prototype, récupérer des illustrations sur le web qui te plaisent, qui correspondent à ce que tu cherches, et les utiliser comme support visuel temporaire. Elles aiguilleront aussi tes futurs collaborateurs sur ce que tu recherches. Mais dans cette phase, c'est juste pour faire joli.

Après, quand ton jeu tourne bien, et que tu veux réaliser un prototype à présenter dans un festival, à des éditeurs, ou que tu veux financer sa réalisation, tu peux investir dans les illustrations, dans la recherche d'un design. Tu auras à ce moment tous les éléments en main : tu sauras l'espace nécessaire pour les textes, les éléments visuels qui doivent apparaître sur les cartes (points de vie, force, coûts...).

Tu as aussi la possibilité d'acheter des sets tout fait, que tu peux utiliser commercialement. Avec l'inconvénient que tu ne seras pas le seul à les utiliser. Exemple avec celui-ci que j'ai déjà vu dans plusieurs jeux mobiles : https://graphicriver.net/item/2d-fantas … ?s_rank=64 Là, tu as des personnages (51 pour 25$), mais il en existe pour toute sorte de jetons, décorations, cartes...

Je suis développeur front-end maintenant. J'aimerai bien jeter un œil à ce cahier des charges

Bon, outre les problèmes d'écriture déjà mentionnés, j'aimerai soulever quelques questions relatives au prémices de ton récit.

Ce n'est pas très clair : s'il s'agit de marionnette physiques équipées d'armes virtuelles, pourquoi parles-tu de rendre les poupées "réelles" ? Ce sont les armes qui peuvent être rendues réelles, et donc mortelles. 

S'il s'agit de marionnettes virtuelles :

• Pourquoi des marionnettes à taille humaine ? Peu importe leur taille : on peut les agrandir ou les rétrécir à volonté, leur ajouter des bras, des tentacules, etc. Le virtuel offre des possibilités infinies de variation de forme et de taille.
• La physicalité des nouvelles marionnettes pose des problèmes logistiques : il faut pouvoir quitter l'arène (ce qu'un être virtuel fait sans problème), il faut j'imagine, un atelier pour la bricoler, la réparer, etc. Si les tournois organisés sont virtuels, rien n'est prévu au départ pour s’accommoder de combattants physiques car ce n'est pas nécessaire. Une marionnette physique qui se retrouverait soudainement sur une arène qu'elle ne pourrait pas quitter (pourquoi avoir des portes ?) serait désavantagée, non ?
• Une marionnette physique ne pourrait pas être vaincue par une virtuelle. Le combat est gagné d'avance. Quel genre de public aime ça ?
• Le virtuel a-t-il autant d'impact que le réel en ce qui concerne les combats ? Le virtuel a toujours ce quelque chose d'irréel, de faux. Peut-on vraiment s'impliquer pour une entité qui n'a pas d'existence ? pour un mirage ? On s'identifie davantage avec un objet tangible qu'avec un personnage virtuel. Ainsi, les retransmissions de combats de robot me semblent beaucoup plus intéressantes que celles de créatures virtuelles s'affrontant dans "Beast Battle Simulator" par exemple. 
• Et on peut tricher avec le virtuel. Si je m'achète des points de vie, ou que je hack le système pour obtenir une épée +infini dégâts, je réduit drastiquement l'intérêt du combat.

Du coup, s'il s'agit au départ de marionnettes physiques :

• Qu'est-ce que tu entends par rendre ces poupées "réelles" ? elles le sont déjà. Plus tard, tu parles de rendre les poupées "vivantes". Est-ce ce que tu voulais dire ? (C'est bien pour ça qu'il faut accorder de l'importance à l'écriture, plus qu'à des détails orthographiques).
• À nouveau, une marionnette vivante ne serait-elle pas inférieure à une simple mécanique (qui ne meurt pas, elle) ? Qu'est-ce que les rendre vivante leur apporte ? 
• Une marionnette vivante a-t-elle ses propres pensées ? Va-t-elle contre la volonté de son pilote ?
• Comment sont fabriquée les marionnettes normales, celles utilisées pour les combats avant les événements que tu décris ? S'agit-il de robots ? de robots avec une couverture de silicone (comme peuvent l'être les poupées sexuelles) ? C'est ce à quoi on pourrait s'attendre dans "une époque proche de la notre". Mais tu fais intervenir la magie. Il n'y a pas de magie telle que celle-là dans notre monde.

Le résumé que donne Sita est plus cohérent. Il y manque une info cependant : ces combats doivent avoir une retransmission dans une arène, sinon, il n'y a pas de public à tuer par accident. Et cela continue de poser problème : comment une projection virtuelle peut-elle soudain devenir réelle ? Par magie (noir), certes.
Mais dans ce monde-là, la magie est-elle courante ? ou nouvelle/extraordinaire ? Car cela influencera forcément le juge qui doit décider de la condamnation : est-ce bien le joueur qui est responsable de la soudaine physicalité de sa marionnette ? Ce n'est pas parce qu'un enfant meurt qu'on condamne sans preuve le premier venu. Il peut être accusé d'avoir traffiqué sa marionnette, sans preuve qu'il l'a effectivement fait, pas de raison de le condamner. C'est à ça que sert un jugement !

Bref. L'idée est certes un bon point de départ. Elle me rappelle le manga "Angelic Layer" où il s'agit également de combat de poupées pilotées. Mais il faut travailler la cohérence des éléments que tu mets en place. Les rendre crédible, et rendre crédible le monde que tu proposes. Si je ne crois pas une seconde à ce que tu me proposes, parce que la logique ne tient pas, je ne vais pas pouvoir me passionner pour tes personnages : je n'y croirai pas.

Julien => Tu es dans quel coin de Bruxelles ? 
Je suis à Jette. Mais je ne connais guère de café où que ce soit :-)

Très sympa. J'aime bien la matière donnée à la couleur et les dégradés dans le ciel. La palette de couleur est maîtrisée.

Le postérieur de la demoiselle n'est-il pas fort rond dans la planche 2 case 2 ?
Attention aux raccourci pour les bidons d'eau : l’ellipse dans la planche 2 case 1 n'est pas très… elliptique.

Attention à l'orthographe :

Ce désert nous bouffera
les bains de glace me manquent
les dernières glaces ne sont accessibles
Une tempête de brume
Ces fichues bonbonnes qui nous ralentissent
"La glace, c'est artificiel" ou "La glace est artificielle"

Pour le portrait à l'acrylique, n'hésite pas à faire circuler la lumière et la couleur dans ta toile. Le visage n'existe pas sans rien autour : la lumière ambiante l'influence aussi. S'il y a certes du bleu sur la joue gauche, il est fort timide encore. Tel quel, il me donne l'impression que tu t'es fait quelques couleurs "chair" que tu as appliqué ainsi. C'est le travail des volumes et de la lumière qui va donner corps à tes portraits. Peindre ce que tu vois (en l'exagérant plus ou moins) plus que ce que tu crois.

Je t'invite à regarder ces portraits de Nora Theys (ce sont de très grand formats peints dans une station de métro proche de chez moi).
La photo en réduction ne leur rend pas honneur, malheureusement :

Les visages ne sont pas en variations de rose. Ils sont jaune, orange, bleu, vert, gris, mauve…

Autre exemple, flagrant :

Dans ta seconde peinture, c'est une bande verticale de deux centimètre (à l'écran) sur le côté gauche qui me plait le plus : le rouge vif du mur est partagé avec les coussins et le drap de lit, tandis qu'un bleu plus froid et plus tranché éclaire le côté du lit où on retrouve de ce rouge. Les couleurs se mélangent et donnent l'impression d'une même composition.