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Je ne vois pas pourquoi c'est triste.
Il faut plutôt voir ça comme une sorte de frontière avec l'animation.
Je suis assez admiratif du mariage réel/virtuel.
Et puis, ça ne touche qu'une catégorie de films.
La planète des singes: les origines est un bel exemple de motion capture réussie.
Celle du 13 est très belle.
Indépendamment de la technique, on retrouve généralement de vraies ambiances dans tes compositions.
J'ai fait un saut sur ton site et il y a de chouettes études de perso.
J'adore!
Les dessins sont bien sympa et la colo assure franchement.
Sans vouloir alimenter la polémique, pour ce qui est de protéger ses écrits, dessins, ou autres, il parait qu'il suffit de s'envoyer une copie par la poste avec accusé de réception. Légende urbaine ou non, il semble que l?autocollant sur le pli ne peut-être ôté sans détruire l'enveloppe.
Bien évidement, il ne faut pas l'ouvrir. Cela permettrait de prouver la paternité de l'oeuvre. Je crois que ça coûte dans les 5 euros.
Il est nickel cet encrage.
Belle compo, Kaf,
Les textures fonctionnent bien, surtout sur l'herbe.
Les falaises mériteraient d'être un peu plus travaillées en colo directe pour donner plus de volumes (je sais pas si je suis clair...).
Ça claque vraiment bien.
Pareil, le mécha est simplement énorme.
Tu continues toujours la fille serpent?
Le topic est super riche.
J'aime beaucoup les sirènes. C'est très dynamique.
Je suis un peu moins fan des speeds, sauf le deuxième que j'aurais bien aimé voir plus poussé.
J'avais pas vu la dernière colorisation du chaton par la fenêtre.
Le rendu du drapé (dessin et couleur) et très réussi.
Ce serait intéressant de voir le 2éme crayonné en version couleur (aquarelle ou numérique )
Merci
Pour la porcelaine, je pensais surtout à la couleur. J'ai également envisagé de la faire semi-robot, mais je suis finalement resté sur un être de chaire.
Elle a eu les cheveux noirs, puis rouge, pour finir sur ce blond.
Excellent!
Le premier et le dernier fonctionnent super bien.
Comme la grande majorité, j'imagine, les dessinateurs commencent en recopiant. En ce qui me concerne, c'était Tintin, Asterix et ...Cat's eyes ainsi que quelque portrait.
On va dire que c'est la méthode autodidacte.
Mais objectivement, c'est Belzaran qui est dans le vrai.
Les cours te font comprendre les volumes.
Et le dessin est dans mon esprit (pour les perso du moins) un assemblage de formes géométriques simples (rond, carré, triangle).
Voici un exemple sur le site suivant:
http://www.wikihow.com/Draw-Gorillas
Je te conseillerais d'orienter tes recherches sur le net dans ce sens.
Voilà la version couleur.
Désolé Berya Yank, j'ai pas pris le temps de retoucher les mains.
Il y aura certainement des modifs pour la version finale. Je suis pas certain de conserver les serpents...ça n'apporte rien.
Donc maintenant, j'attaque le découpage des planches.
Je posterai le storyboard et le crayonné dans la rubrique planches.
Ouha, la peinture à l'huile et le crayonné de la vieille femme me laissent sans voix...
Les 2 derniers sont excellents.
C'est en effectivement dommage de devoir passer par les liens pour ouvrir.
Sur Imageshackus, dans "my images", tu cliques sur le petit i (share it) à coté de la vignette de ton dessin puis, il te suffit juste de copié le lien dans le cadre "forums" qui commence par [IMG] et de le coller dans ton post.
J'accroche bien à l'épouvantail.
Pour le lion, il y a quelques petites choses qui peuvent être changées à mon avis.
Les reflets donnent un effet glacé aux tissus et à la peau. C'est moins marquant sur l'épouvantail.
La texture du blouson est très intéressante dans les 2 cas.
Il y a une jolie gestion des épaisseurs de traits sur le premier dessin.
C'est un peu plus grossier avec le dessin du lion.
Plus globalement, je préfère les colorisations des tous premiers dessins (effet plus humide)...mais là, c'est peut-être qu'une histoire de goût.
Beau graphisme dans tous les cas.
Je tiens à préciser que je ne veux en aucun cas tirer à boulet rouge sur les éditeurs. Celui avec qui j'ai travaillé est très ouvert, paye bien (par rapport à ce que l'on voit sur le marché) et est également un passionné de BD. Je garde de très bons contacts avec lui.
Ce qui est plus critiquable, c'est la chaîne complète et ce qu'elle apporte, en fin de compte.
Elle n'a pas changé depuis des lustres, mais le métier, lui a changé.
L'édition offre toujours de gros avantages comme:
- les à-valoir.
- La gestion de la promotion
- les contacts avec les distributeurs et les diffuseurs, etc...
- L'auteur ne s'occupe que de son projet.
L'auto-édition offre d'autres intérêts:
- La liberté totale d'expression
- le fait de rester propriétaire de son oeuvre
- la souplesse dans la gestion des intervenants --> passer ou non par un diffuseur et un distributeur.
Si l'on se penche outre-atlantique, le visage de l'industrie du livre est en train de changer.
L'auto-édition souffre de moins en moins de l'étiquette "non qualité".
Aujourd'hui, en france, certains auteurs expérimentés se voient proposer des à-valoir inférieurs à ce qu'ils avaient ils y 10 ans.
http://www.actualitte.com/univers-bd/le … -26311.htm
Y'a t'il encore un réel intérêt à passer par des sociétés de diffusion et de distribution traditionnelles?
Quelles chances de vendre sa BD parmi des centaines d'autres si celle-ci n'est pas mise en avant?
Les festivals sont-ils le meilleur endroit pour vendre? J'en doute. La majorité des gens viennent voir les auteurs connus pour obtenir une dédicace. Ceci étant, les blogs et réseaux sociaux peuvent jouer un rôle important dans la promotion de l'auteur. Mais dans ce cas, c'est grâce à l'initiative de l'auteur et de ses amis.
j'aurais pas cru que les dédicaces étaient si vendeuses dans ce genre d'endroits.
tu peux nous en dire plus sur les modalités de cette démarche ?
Pour la démarche, quelques jours après avoir reçu un joli carton chez moi avec 10 exemplaires de ma BD, j'en ai pris une et je suis allé voir la responsable du Cultura.
Préalablement, j'en avais parlé à mon éditeur.
J'ai été reçu et j'ai montré la BD en lui expliquant qu'elle venait de sortir.
J'ai dit que comme j'étais de la région, ce serait sympa si on pouvait faire quelque chose.
Il est fréquent que je croise des auteurs de bouquin les WE dans ce genre d'endroits.
C'est ce que nous avons planifié.
Elle a alors fait une commande de 50 albums en plus de ceux qui étaient déjà prévu avant que je sollicite le rendez-vous.
Mais pour en revenir à l'auto-édition, je n'en fais pas l'apologie. Je constate que dans le domaine du livre, c'est de plus en plus courant, avec quelques variantes comme mymajorcompagny.
Nous sommes amateurs, mais d'un point de vue plus global, je me demande si la précarisation des auteurs avec le système d'édition, de diffusion et de distribution actuel ne va pas conduire ceux qui veulent en vivre à gérer leurs projets comme de petites entreprise...donc à prendre des risques.
100 exemplaires c'est déjà pour les auteurs qui savent se vendre. Et ils sont plutôt rares puisque faire une BD et vendre des BDs n'a rien à voir.
C'est exact aussi, mais je pense sincèrement que les gens aiment aussi savoir que l'auteur vient de leur région et sans être vendeur, ce simple fait, ainsi que celui que les gens voient ta BD, c'est déjà un gros plus.
C'est exact, l'auto-édition nécessite beaucoup d'investissement personnel (en termes de temps et d'argent).
Ici, je compare des produits identiques (BD cartonnées) en vue d'un niveau de rémunération équivalent.
Le coloriste avec qui je bossais s'est par le passé auto-édité.
Sa BD était en format classique avec couverture rigide.
d'après ce que j'ai pu savoir, il a pu se rémunérer correctement.
Il y a plusieurs façon d'aborder l'auto-édition.
Tu peux choisir cette solution pour produire de très petites quantités (100 unités par exemple). Mais on ne parle pas de projet pro. Il est impossible de te rémunérer de manière correct.
Tu peux aussi envisager ça comme une alternative à l'édition tradi.
A présent, par expérience, lors de ma sortie BD, j'ai pris l'initiative de voir le "Cultura" de ma région (Epinal). Nous avons convenu d'un rendez-vous pour une séance de dédicaces. C'était un mercredi et 50 albums ont été vendu ce jour là. Les jours suivant, ainsi que les mois suivants, très peu de ventes (1/semaines). La BD était a nouveau rangée avec les autres.
Evidemment, la librairie prend sa commission.
Alors, c'est du travail en plus, c'est indéniable, mais je ne trouve pas que ce soit impossible.
Les nouvelles générations d'auteurs sont de moins en moins payées.
On arrive aujourd'hui à des propositions à 5000, voir 4000 euros pour un album 48 pages scénario, dessin et colo compris.
C'est un fait, j'ai pu en discuter avec quelques auteurs en 2011 au festival BD de Eurre.
J'ai essayé de recouper des infos provenant de plusieurs sources.
La répartition des coûts est assez réaliste. J'ai pu vérifier sur plusieurs site (CFSL entre autres).
Je ne dispose pas du nom de l'imprimeur, mais le devis devrait plutôt correspondre à celui d'une BD avec couverture rigide.
Il doit également y avoir une erreur pour le papier à fournir. A mon sens il est fourni par l'imprimeur.
En ce qui concerne les frais de calage, je ne suis pas vraiment surpris.
Mais le but du sujet est également de pouvoir vérifier, comparer et regrouper les infos pour avoir une idée réaliste de ce qu'implique l'auto-édition.
Je vais regarder de mon coté s'il y a d'autres exemples de devis.
Dans le scénario, le personnage est une extra terrestre "féminine".
Ce critère est assez problématique pour le traitement du personnage.
Je vais faire un premier test de colo pour répondre au descriptif du perso.
Ensuite, je ferai certainement un autre traitement plus libre pour voir.
Merci pour les commentaires, c'est bien d'avoir ce genre de retours.
Salut les BDAs,
J'ai un peu parcouru le forum et sauf erreur de ma part, je n'ai pas trouvé de discussions (récentes) traitant des avantages et des inconvénients de l'auto édition et de l'édition traditionnelle dans un contexte extrêmement concurrentiel.
Je serais assez intéressé d?avoir votre retour d?expérience ou simplement votre avis.
Aussi, je me permets d?ouvrir cette petite discussion.
Avant toutes choses, j?ai récupéré des infos ici et là et réalisé une petite étude.
L'analyse porte sur un exemple de BD 46 pages + couv et 4éme de couv.
Voici le répartition des coûts de chaque intervenant pour un album de BD std.
Le petit éditeurs prends beaucoup de risques et l'auteur est peu payé.
Et voici, le chiffrage d?une imprimerie « type » travaillant avec les gros éditeurs (Soleil, Glénat, Dupuis, etc?) pour une fabrication BD.
Devis
Couvertue 4 pages
Format : Plié 23x32 cm à la française. Ouvert 46,4x32cm
Papier : moderne 1/2 mat 250 gr fourni par l?imprimeur.
impression : Quadri Recto seul
Surfaçage : Pellicuage brillant Recto seul
intérieur 48 Pages
Format : Plié 23x32 à la française. Ouvert 46x32cm
papier : moderne 1/2 mat 135 gr fourni par nous
Impression Quadri Recto Verso
Reliure : Dos carré collé (sans couture)
Photogravue : d?après fichiers numériques MAC + sorties laser pour CTP (computer to plate, comprendre ?de l?ordinateur directement à la plaque d?impression, sans films).
Traçeurs aux soins de l?imprimeur
Colisage : Sous film thermo par 20 ex
Livraison : 1 point Paris.
Prix 1000 exemplaires : 4895,00 Euros HT
Le mille suivant : 1200,00 Euros HT
On s?aperçoit ici que le mille suivant est 4 fois moins cher que le 1er mille. Il faut donc à peu près compter 3600 euros pour le calage d?une BD de 48 pages.
Alors, si l'on se dirige vers l'auto édition, on peut supprimer pas mal d'intervenants.
(maison d'édition, diffuseur, distributeur et librairie si on fiat de la vente directe)
On notera que pour une production de 1000 BDs, il n'est pas possible de se payer sur la base de 200E / planche.
Evidemment, je ne prend pas en compte les albums détruits ou un peu abîmés, ainsi que les charges en fonction de son statut.
N'hésitez pas à corriger ces chiffres si besoin.
Ha pour les mains, ok, je note.
Merci BerYa yank. Je vais essayer de corriger ça pour la version finale.
C'est beaucoup mieux.
Tu vas faire une version couleur?