Vous n'êtes pas identifié(e).
D'après ce que m'en a dit Fourmeau, il sont toujours dessus. Mais à quel stade, je ne saurai le direà
Quoiqueà je commence à avoir l'amorce d'une idéeà
Faut que je la développe un peuà
Tu as des préférences de format?
Rêve pasà Pour TF1, j'imagine que la BD s'arrête à Uderzo et Van Hammeà A la rigueur Cauvin, quoiqu'ils doivent déjà le trouver limite subversifà
Perso, synops et découpage me conviendraient bienà
Houlà ! Ãa a l'air plus complexe, non?
En fait (j'ai oublié de te poser la question par mail), tu l'as fait en quel format? En A3?
Si, si ! Ãa me plairait ! C'est juste que pour l'instant, j'ai rien à te proposer, et que je ne sais pas si j'aurai le temps de te proposer un conceptà
Voili-voilou, c'est fait.
Souhaitez-moi la bienvenue ! :kclap:
Ãa donne vraiment envie !
Mais hélas (pour moi) je n'ai rien en stock dans le genreà :kpleure:
snirfleà
Bravo Gil ! C'est carrément excellent.
Un ban pour l'ensemble de ton oeuvreà et pour celle à venir !
Bon, alors, où est ce que je peux le trouver, l'Archipel?
The Community of Zeringue
[ http://www.nationstates.net/cgi-bin/index....nation=zeringue ]
J'arrive, pour le regroupement !
MORTEL ! PTDR !
Bon, je viens de lire plus attentivement.
J'aime bien.
Juste trois remarques :
- marque plus ton flash back (par exemple en indiquant "flashback" au début de chaque case concernée).
- la présence ou non de l'holo-illusion de carrure, ce serait bien que tu la signales encore plus clairement pour chaque case ou séquence de cases où apparaît K
- dans le même ordre d'idée, la disparition de l'holo-illusion de carrure mérite peut-être plus qu'une caseà
Enfin, pour conclure, je ne peux que t'encourager à continuer !
D'un point de vue formel, ce serait peut-être bien que tu marques clairement la séparation entre le décor et les didascalies d'une part, et les textes et dialogues d'autre part.
P.ex, pour extrapoler à partir d'un extrait de ton scénar :
CASE 2 :
K avance dans la rue parmi les déchets et les paumés. K est une armoire a glace avec des bras comme des jambons pleins de veines saillantes sur un marcel camouflage.
TEXTE :
Je m'appelle Karl. Je suis du NHPD. Ce soir, je chasse. J'ignore encore ou je vais les trouver, mais j'ai le meilleur des indics.
VOIX OFF
Te voilà enfin, Flic?
KARL
Oh, ta gueule !
Bon, là, évidemment, la case serait sans aucun doute beaucoup trop chargée en texte, mais c'est juste pour te donner une idée d'une des formes possiblesà
Tu peux même, ensuite, pour clarifier encore la lecture, opérer des retraits dans ton texte, en agissant sur les marges.
Imaginons que la marge gauche soit la valeur de référence "M" (généralement sous Word, on te propose 2,5cm, mais je te conseille de la porter à 3,5cm, en prévision de la reliure de ton dossier)
Les décors et didascalies seraient à M
Le texte serait à M+1cm
Les voix off et pensées seraient à M+2cm
Les dialogues seraient à M+3cm
Enfin, voili-voilou, encore une fois, ils ne s'agit que d'une piste, mais je ne détiens pas LA vérité, heinà
Bon, sinon, quant au fond du scénar, rien à redire à priori après la première lectureà Mais je vais le relire plus attentivement, maintenant.
Je te rejoins à 100% sur les précisions qu'apporte ton intervention, notamment sur la responsabilité des média, sur le problème d'éthique qui gangrène ce monde, et sur le fait que nos amis étazuniens ne sont, en tant que société, pas vraiment pires que les autres, et donc que nous-mêmes.
Je crois que ce qui me choque le plus, ce n'est pas le fait que le gars en question ait lancé ce service, mais le fait qu'il existe bel et bien un marché pour ce type de pratiques que personnellement je trouve honteuses.
Et je ne parlerai pas du fait qu'il s'agit de la énième démonstration de l'hypocrisie ignorante et sectaire qui règne dans une bonne partie de la population de ce pays : on tue, on torture, on dénature (au sens le plus physique et littéral du terme) sans état d'âmeà mais dans le même temps, on se réjouit de l'exécution d'un mineur, on va lyncher les jeunes femmes qui viennent de subir une interruption volontaire de grossesse, assassiner les médecins qui pratiquent cette intervention, tout en faisant passer des lois pour empêcher une femme plongée dans un coma définitif depuis 10 ans de mourir avec un minimum de dignitéà
Le tout, bien entendu, au nom du même texte.
J'insiste sur le fait qu'il ne s'agit que d'une partie de la population. Importante, certes, mais je crois qu'il ne faut surtout pas généraliser. Sinon, on risque commettre la même erreur que ces personnes auxquelles nous sommes apparemment tout disposés à jeter la pierre.
Excellent, Delanay ! :kclap:
Je te souhaite toute réussite ! Accroche toi !
Bon, concernant la façon de procéder :
Nous, en gros, on part d'une idée, et on développe le concept, une des premières choses qu'on fait étant de chercher tout de suite la fin de l'histoire, puis de développer les intrigues et péripéties de telle sorte qu'elles servent le sens autant que possible, et enfin d'affiner le contexte, les profils psychologiques des personnages, le ton des dialogues, etcà
Ensuite, on se consacre à la structure proprement dite.
Bien souvent, ça représente des dizaines de pages de notes et pour certains projets des mois de mise en place.
Une fois seulement que tout ça a bien mijoté, et qu'on estime que la sauce est bien liée et prête à être servie, on commence la rédaction proprement dite, en travaillant par ordre croissant de longueur : pitch (1 phrase), puis résumé (1 page), puis synopsis (de 3 à 5 pages), puis le cas échéant traitement.
Enfin, quand on est à peu près satisfaits de tout ça (même si ça reste évolutif), on s'attaque au scénar proprement dit.
Bien évidemment, il n'existe pas de règle établie, et je ne dis pas que notre façon de faire est la panacée, mais on se trouve bien à travailler comme ça (on vient de l'audiovisuel), et je crois qu'au fond, c'est ce qui compte le plus.
Sinon, pour en revenir à ce qui a été dit plus haut, c'est vrai que c'est très bien de laisser beaucoup de latitude au dessinateur, car il faut qu'il prenne son pied autant que les scénaristesà Cela dit, je crois qu'une description aussi précise que possible ne peut que l'aider, en termes d'efficacité notamment, et de concordance des univers imaginaires, à bâtir son univers graphique dans le cadre de l'histoire. Et en cela, je rejoins absolument Djiheff.
Je le rejoins également quant au sens des mots et à l'importance de leur choix.
Il est tard, et j'ai juste survolé ton travail.
Pour l'heure, j'ai juste deux petites remarques d'ordre formel, si tu veux bien :
- Fais attention à ta présentation, n'hésite pas à l'aérer.
- Fais hyper attention à ton orthographe.
Ãa peut paraître stupide comme ça, mais crois moi, une lecture aisée et plaisante met en valeur l'histoire qu'on raconteà
Pour le reste, globalement d'accord avec Gregor.
Hmmà Pour ce qui concerne la casse, je crois que malheureusement dans tous les milieux c'est pareilà Ãa doit tenir de la nature humaineà (hélas?)
Pareil.
Faut juste que je trouve un peu de tempsà
Quelque part, la "reconnaissance" n'est qu'un mot, donc un concept, donc une illusion. Et dans le fond, pour moi seul prévaut le travail. Donc, en tant que tel, le terme "reconnaissance" mérite-t-il qu'on y consacre un post?
A vrai dire, je ne le sais pas, j'irais même jusqu'à dire que j'en douteà Et pour autant, je ne puis m'empêcher d'avoir envie de contribuer au débatà Paradoxe? contradiction? Quoi qu'il en soit, allez, je me lance. Accrochez vos ceinturesà
Perso, dans ma démarche, (je ne m'autoriserai pas à parler en ce domaine au nom de mon coauteur), je vois plusieurs niveaux différents de reconnaissance, dont l'importance est extrêmement variable. Rappelons pour l'anecdote que l'écriture est mon activité exclusive depuis bientôt 7 ans (et 5 à quatre mains).
-La reconnaissance d'un éditeur ou d'un producteur? J'ai passé l'âge de croire au père noël. Si un jour un éditeur me voue une certaine reconnaissance, ce sera grâce au pèze que je lui aurai permis de gagner. Ce n'est pas que ce soit mal, mais c'est quelque part accessoire. D'un autre côté, cette hypothèse implique également que j'aurais moi aussi touché des fruits matériels de mon travail. Pas essentiel psychologiquement, mais matériellement, ce ne serait quand même pas du luxeà
-La reconnaissance du public? Si je l'avais cherchée, je n'aurais pas été bassiste dans une vie antérieure, j'aurais tout fait pour être frontman. De même, je n'aurais pas choisi de pisser la copie dans mon bureau-enfumé-parce-que-dehors-il-fait-trop-froid-pour-que-j'aèreà
-La reconnaissance de mes proches? Ahà Là, sujet sensible. Le problème ne se pose pas au niveau de mon épouse, mais plutôt de ma proche famille (bien que j'aie bientôt 42 berges). Je sais que cette génération est matérialiste, je sais aussi qu'ils se demandent tous quelle mouche me pique ("à ton âge !") de persister dans une voie qu'ils considèrent comme économiquement non viableà Je sais enfin que tant qu'ils n'auront pas un "produit fini" entre les mains ou sous les yeux, ils considéreront que je n'ai toujurs rien foutuà Et encore, le "produit fini" est pour eux une condition nécessaire, mais non suffisanteà Il leur faut "le succès"à Bon, sur le principe, je n'ai pas de comptes à leur rendre, mais d'un autre côté, je les aime, et je n'aime pas les voir se faire du mouron pour moi, alors que -fric ou pas fric- je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
-La reconnaissance de mon coauteur. Ce qui fait qu'il a toujours envie de bosser avec moi, et qu'il est toujours heureux que je l'aie attiré hors des sentiers battus de la vie professionnelle vers les pistes de l'écritureà Là oui, c'est du lourd, et ça compte pour moi.
-La reconnaissance des dessinateurs qui travaillent avec nous, enfin. Le fait qu'ils apprécient notre travail et se font plaisir à mettre en image nos billevesées. Ãa c'est très, très important.
En fait, les deux derniers points sont essentiels pour moi. Ils sont une partie du moteur qui m'anime, et m'incite à travailler toujours plus pour faire que chaque jour soit un apprentissage sur la voie d'un travail, et par extension d'une vie, encore meilleurs.
Voilà, j'ai été un peu long, mais j'avais envie de partager cette opinion avec vous. Elle vaut ce qu'elle vaut, et bien sûr chacun est bien entendu libre, et à juste titre, d'en penser ce qu'il voudra.
Bonjour les gens.
Inguz, c'est en fait deux scénaristes qui travaillent en duo : Gérald, et votre serviteur, Bruno.
On n'est plus tout-jeunes-tout-jeunes (30 et 41 ans), mais on a une patate d'enfer. Ãa fait cinq ans maintenant qu'on bosse ensemble. Nous sommes amateurs au sens où nous ne gagnons pas (encoreà) notre vie, mais en fait l'écriture est notre seule activité professionnelle. Enfin, non, on est aussi, accessoirement en train de monter notre premier court, et de tenter le transfert d'une fiction télé en cours de développement d'une prod' de merdre à une autre qui serait plus sérieuseà
Bref, on a les mains dans le cambouis, et on a bien l'intention de les y garder.
Mais pour en revenir à ce qui nous intéresse tous ici, on a actuellement trois projets BD sur le feu (pour lesquels nous avons déjà des dessinateurs/trice), plus un pour lequel on recherche un dessineux motivé et sérieux.
Ce projet est une fiction réaliste en contexte historique, très documentée, qui se déroule (pour résumer) dans le milieu de la marine de guerre de la fin du XVIIIème siècle.
Au programme : des costumes, des accastillages de la mort, des bordés pas en bordel, des montagnes de voiles orientées à deux quarts du vent, mais aussi des abordages violents, des gréements en déroute, des dalots dégoulinants de sang, des indiens mohawks, des vues de Bostonà et même, oui même probablement des ratons laveurs !
Enfin, voili-voilou, n'hésitez pas à nous contacter si vous êtes intéressés par la découverte du dossier de travail et du traitement du 1er épisode !
Et bien entendu, merci pour l'accueil !