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Ah, çaà Y a aucun risque !
La plupart des grands génies sont mortsà
Bach, Mozart? Morts
Victor Hugo? Mort
Napoléon? Mort
à Et moi même, je ne me sens pas très bienà
Alphonse Allais (si je me souviens bien)
Aahà My Bloody Valentineà Bourges 92à Traîné là par mes potes qui voulaient absolument voir alors que moi pas fanà Et tous mes potes qui sont sortis au bout d'un quart d'heure, pour cause de mur de bruità (1ère partie, Kat Onoma, éminemment soporifique pour moià)
Moi, je suis restéà
Résultatà C'était intéressant, pas désagréable du toutà Mais je suis resté littéralement sourd ou presque pendant 3 jours ('reusement qu'on avait joué avant ce concert !) à J'ai récupéré mes oreilles juste au dernier moment pour pouvoir profiter du plateau Pogues/Ramones !
Allez hop, tout le monde les jambes en "Y, et ripitafteurmi : "Onetwothreefour, Gabba Gabba Hey !"
Joey, une pensée pour toi.
Je lis les troisà je les relisà Encore et encoreà Je me régale de comparer les similitudes, plus que les différencesà Je me repais des référencesà
Chair de pouleà
Bravo, et merci aux trois courageux !
Bienvenue à toi Loki, et bravo pour ces débuts en fanfare !
Et bravo à Philche, Kya et Dawish pour leurs idées très plaisantes.
Si tu te le sens, c'est sans problème pour moi.
Oui, ça peut être intéressantà
Philcheà Qu'en penses tu?
merci en tout cas de tous vos commentaires, qui nous sont toujours extrêmement utiles, même si parfois je me sens un peu obligé d'argumenter pour défendre notre position d'origine !
L'aspect "image d'Epinal" de l'illustration et, de façon plus générale des vignettes, est absolument délibéré dans ce projet, au même titre que la narration tend à se rapprocher du roman feuilleton populaire. Ces deux genres connurent en effet leur âge d'or à l'époque à laquelle se déroule l'histoire, et "les Sacrifiés de Pors Simon" revendique cette filiation, en tendant, en toute humilité, à leur rendre hommage.
Pour ce qui concerne les personnages encapuchonnés, Karikature, c'est précisément moi qui ai tenu à ce qu'ils le soient. En effet, avoir une idée, même vague, de leur identité aurait probablement pour effet d'offrir un axe d'orientation au lecteur, ce que nous ne souhaitons absolument pas voir se produireà D'ailleurs, vous aurez remarqué que dans les 11 premières planches, il n'est fait aucune allusion à ce que pourraient être et représenter ces personnages. Bon, cela dit, ils ne vont pas tarder à faire leur apparitionà
Pour conclure, je pense que Philche va sans doute retoucher un peu cette illu, et il en va de même pour Véronique, mais je ne crois pas approprié qu'il envisage de la retravailler en profondeur, et encore moins de la reprendre à zéro.
Perso, je préfère la première.
Pour ce qui est de la composition même de l'image, en fait ça ne me choque pas du toutà
Les regards me semblent adressés clairement vers les peronnages voilésà
Peut-être en revanche qu'un petit ajout de décor (du mobilier p. ex.) dans le fond serait en effet un plusà
Et puis, comme tu l'as spécifié, Philche, la couleur du dossier de la chaise.
Bon anniversaire Iris.
Un peu en retard, mais le coeur y est.
à Assez d'accord sur un délai d'environ 3 mois (4 pour être vraiment "confortable").
[/Mode regard accusateur en direction d'un de mes dessinos, qui devrait prendre exemple sur Philche, et que je vais finir par exécrerà - ON] à Mais si tu travailles avec certains dessinos, pour 24 pages, tu peux compterà euhà environ 8 ansà [/Mode regard accusateur en direction d'un de mes dessinos, qui devrait prendre exemple sur Philche, et que je vais finir par exécrerà - OFF]
J'ai toujours su que tu gérerais cette planche au mieux. Et pour ce qui concerne Blandine en pleurs, je trouve ta modif excellente, notamment pour les raisons exposées par Karikature.
Encore merci de ce beau travail que tu m'offres.
Sympa.
C'est vrai que le site est encore un peu austère, mais je suis sûr que tu vas progressivement l'optimiser.
En revanche, fais quand même gaffe à ton orthographeà
La seule fois où la culture a atteint 1% du budget de l'état, ça a été sous Jack lang, et encore au prix d'une bagarre de plusieurs années. Depuis, la part n'a jamais cessé de baisserà
Moi, je veux bien que ce soit du gaspillageà
Le deuxième porte-avions français (2% du budget de l'état à lui tout seul, tout ça pour faire bien rigoler tout le monde avec ses pannes et sa force de frappe ridicule), oui, ça c'est du gaspillage.
Les subventions versées par un état soi-disant libéral à des entreprises libérales pour qu'ensuite elles s'empressent de licencier et/ou délocaliser (et je ne parle pas des subventions versées à des escrocs internationaux pour de soi-disant usines d'automobiles), oui, ça c'est du gaspillage.
Et puis, quitte à la jouer comme tu le fais, DHT, propose au moins que cet argent passe sur le ferroutage : investir dans des tunnels routiers est en effet à moyen terme une gabegie, dans la mesure où le pétrole va fatalement venir à manquer, dans un délai à priori fort court. La solution radicale que tu proposes est donc, à terme, un énorme gaspillage !
Pour conclure :
- 1) Révise tes dossiers.
- 2) Evite la démagogie à deux balles.
-3) Quand tu parles de culture, évite de citer NRJ et Skyrock, merci.
-4) Le propre de l'économie libérale post-capitaliste étant que les entreprises tendent vers la domination hégémonique d'un secteur, ne te fais pas plus "libéral" que les "libéraux". En effet, de mon point de vue, les particuliers n'ayant pas de fortune personnelle ou d'entreprise à percevoir en héritage et qui se veulent zélateurs du liébralisme sont au mieux de doux rêveurs : ce ne sont certainement pas ces entreprises là, celles qui pratiquent ce système, qui leur laisseront des miettes.
- 5) J'avoue que c'est épidermique chez moi, mais je ne supporte pas qu'on touche à la culture. Ãa me rappelle trop une certaine personne dont je tairai le nom pour ne pas te froisser, car tel n'est pas mon objectif, et qui un jour prononça cette phrase ô combien délicate et fortement empreinte de cet humanisme galopant qui caractérisait le régime pour lequel il s'employa avec zèle :"Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver".
PS : Kya, oui tu as juste pour la télévision publique. Pour le CNC, c'est plus compliqué dans les faits, mais gross modo tu as également juste sur le principe.
Yes Nemo !
De, et avec Charlie Chaplin (eh oui, c'est lui à l'imageà).
A toi la mainà
Bon, alors une pas trop facile, mais pas trop dure non plusà
Playtime (J. Tati) ?
Faudra qu'on pense à mettre un screenshot du flic de beverly hills, pour Eggà
Ton argumentation, D.H.T., m'amène à te proposer quelques commentaires. En vrac :
- Le terme de "radio libre" est largement galvaudé. Concernant 95% des émetteurs français de la bande FM, le terme de "radio commerciale privée" serait nettement plus approprié. Les programmateurs de ces radios se préoccupent plus de leur audience que du qualitatif de ce qu'ils programment.
- C'est certain qu'en dépit des quotas, il ne faut pas compter sur ces mêmes programmateurs pour partir à la recherche d'artistes novateurs, ou même indépendants. Pour cela, il te faudra plutôt regarder du côté des "véritables" radios libres, celles qui répondent encore à l'esprit associatif de la première loi de 1981 (ou 82? Je ne sais plus).
- Ne nous leurrons pas, le travail autour du qualitatif ou de la recherche de talents, ce n'est pas le job des programmateurs des radios commerciales privées. Leur job, c'est de vendre de l'espace publicitaire et de garder de l'auditeur (ou d'en gagner), en favorisant ce dont ils sont sûrs que ça marchera, grâce notamment à la bienveillance de la "fée" marketing. Ce qui les amènera fatalement à oeuvrer dans le sens d'un mainstream de plus en plus rentable, et donc de plus en plus étriqué.
- Tu veux un exemple? Dans une vie antérieure, j'ai travaillé à la promotion radio des concerts et des albums du groupe indépendant (pro, mais indépendant) dans lequel je jouais aussi (pour l'anecdote, un autre gars s'occupait du démarchage concerts, un autre de la presse écrite, etc, etcà Bref un véritable artisanat, 10 heures par jour, en plus des 4 heures de répé quotidiennes, quand on n'était pas sur la route ). Et lorsque j'arrivais à choper les programmateurs des décrochages locaux des radios commerciales privées, en proposant 5 CD single, 5 ti-shirts et 4 entrées gratuites, les mecs me riaient littéralement au nez : "attends, quelle opé tu veux que je te fasse avec ça : j'ai la prod et le tourneur de Xà qui vont faire gagner 400 ti-shirts, 50 CD single, et 50 places ! Allez, retourne jouer dans ta cour de pouilleux !" (j'exagère à peine)
- La musique en langue française : n'est elle vraiment ni sensuelle ni souple ni rythmique ? Certains exemples me viennent spontanément à l'esprità "déshabillez-moi", de Juliette Greco ; "Marcia Baila" des Rita Mitsouko ; plusieurs chansons de Jad Wio ; "Pars" de Jacques Higelin ; "Madame Rêve", de bashung, et tant d'autres que je regrette de ne pas citer icià
- "La meilleure qualité vient nécessairement d'outre Atlantique"à Premièrement, je ne possède pas une culture encyclopédique qui me permette d'en juger. Deuxièmement, ce qui t'apparaît être "bon" n'en sera peut-être pas pour les autresà Et troisièmement, je pense qu'en ce domaine, seul le subjectif compte, car en terme de musique, l'évolution massive de la technique (tant musicale que de production) fait que, à mon humble avis, la qualité de production ne peut plus être considérée de nos jours comme un critère objectif de qualité globale.
- Les quotasà Bah oui, sur le principe, ce n'est pas très normal. Mais dans les faits, ce système a été créé pour favoriser le maintien d'un certain dynamisme de la création francophone. Et ça, je ne peux m'empêcher de trouver ça somme toute assez louable. Et globalement, les quotas permettent quand même que chacun ait un minimum de place au soleil, dans un monde où la seule politique pratiquée par les majors est celle de l'hégémonie. Après, pour ce qui concerne la qualité, eh bien c'est forcément fluctuant, notamment en terme des choix de programmation des diffuseurs, pour les raisons que j'ai évoquées ci-dessus.
- Le parallèle avec les aides au cinémaà Là aussi, difficile d'argumenter sur du subjectif : si nous ne sommes pas d'accord (ce qui semble être le cas), cela ne veut pour autant pas dire que j'aie plus raison que toi, ou l'inverse. Mais il me semble incontestable que le nombre d'entrées ne fait pas la qualité du film. Pas plus que le budget promo/merchandising. Ou alors, pour que ça ait un minimum de sens (mais vraiment un mimimum), il faudrait envisager de pondérer les recettes des films au moyen, par exemple, des budgets promo, et le budget de productionà Et encore, rentabilité ne rime pas nécessairement avec qualitéà
- Sais tu combien de films français de qualité ne trouvent pas de diffuseur parce que leur sortie co´ncide avec celle d'un soit-disant blockbuster (qu'il soit US ou français)? En moyenne, au moins un par quinzaine, c'est à dire beaucoup trop ! Et ça, c'est justement un effet de cette logique de mainstream qui, en dépit des quotas et des aides, fait que nombre de créateurs se trouvent privés de diffusion, et que le public ne se verra pas donner la chance de découvrir des réalisateurs dont ils auraient peut-être adoré l'oeuvreà
- Pour l'anecdote, "Les choristes" est un assez mauvais exemple. Non pas pour de questions de qualité, mais justement parce qu'il s'agit d'un film avec un budget assez limité (de l'ordre de 5 millions d'Euros, si je me souviens bien)
- Cela dit, et pour conclure, je ne puis être d'accord avec ton appel à légiférer en faveur d'une dérèglementation autour de la protection de la création française/francophone. C'est pour cela que j'ai tenu (au prix d'une longueur certaine) à clarifier certains aspects que tu n'avais peut-être pas envisagés auparavant.
Mais si ce que tu as annoncé est vraiment ce en quoi tu crois, alors je te souhaite bonne chance.
Mais si tu réussis, ne perds pas de vue que dans 10, 20 ou 30 ans, tu devras te souvenir de ta part de responsabilité lorsque tu souhaiteras, ne serait-ce qu'écouter un titre d'un groupe français indépendant (ou louer un DVD d'un film français), et que tu ne le trouveras plus nulle part, car jugé trop peu rentable par les marchands de yaourt sans aucune formation artistique qui dirigent actuellement les grands groupes de diffusion.
Bien amicalement,
Ben si, mais la scène, là, je l'avais zappéeà
Je vais donc me couvrir la tête de cendres !
Definitely awesome !
proposition : Le Syndrôme de Stockholmà
Bravo ! Et Mà pour dimanche !
Euhà
Suzie Sarandon, très jeune? Donc ce serait un film de la fin des sixties, début des seventiesà
Mais pour l'instant, je ne vois pas plusà
Apparemment, Chuck ne fait pas recetteà
Bon, faut dire que perso, je ne vois pas de quoi il peut s'agirà