Vous n'êtes pas identifié(e).
Moi, je suis assez sur l'option 2, qui "ouvre" plus la page, même si le bateau de la 1 nous guide vers l'actionà
Awesome, very impressive !
C'est peut-être parce que les producteurs, doutant (à juste titre?) de la qualité de leurss produits, essaient de mettre tous les atouts de leur côté pour convaincre l'acheteur potentiel (et dubitatif) qu'il va se régalerà
Quelque part, ça laisse songeur :
- si c'était vraiment si délicieux, et sain, et tout, on se les arracherait, ces paquets de céréales, et ce quelqu'en soit le packagingà
- si les producteurs ne sont pas eux-même convaincus de la qualité de leur produit, alors nous, que devons nous en penseràà
Oui, bon, on peut plaindre le sort des oeuvres des décorateurs de cartons de pizzasà
C'est vrai.
Mais que dire alors de ceux qui créent les motifs du papier hygiénique?
Woaw ! Excellent ! Definitely excellent !
Ãa le fait grave !
Juste un tout petit minuscule détail : "je l'ai vu creuser".
Et y a aussi une chtite coquille : "combien t'a-t-onà"
mais sinon, wunderbach. Et merci de nous faire partager certaines phases de l'avancement de tes projets !
Même si je me refuse à valider ses chiffres, je plussoie néanmoins vigoureusement mon très estimé confrère 2GF !
Bon, et maintenant, apparition ultra tardive à la nuit BDà
J'aime bien la 1 et la 3, pour la progressivité de la mise en action et la variété réelle des cadrages possibles.
J'aime bien la 2 pour l'intervention du proprio.
Mais je crois que ma préférée reste la 4à Mais pour des raisons purement subjectives : personne n'est menacé, personne n'est lésé, tout le monde est libre. D'ailleurs je trouve que la 4 se différencie également des 3 autres parce qu'elle laisse le protagoniste maître de tous ses choix (option tragicomédie, donc), contrairement aux trois autres (option drama)à
M'enfin, voilà, ce n'est qu'un point de vue, et qui plus est qui ne fait sans doute guère avancer le débatà
Pour ce qui est du vent éventuel, Philche est bien entendu libre de faire comme bon lui semble : j'ai toute confiance en lui.
En revanche, et en tant que scénariste, j'oppose une fin de non recevoir tout amicale à ta suggestion : pour ce qui est de la contreplongée sur cette case 1, je ne vois pas en quoi elle se justifierait. Si jamais un quelconque fatum lié à cette ancestrale demeure devait peser sur Corentin (ce que pour l'heure je pense être le seul à savoirà ) , je crois que le point de la narration où nous en sommes rendus ne justifierait nullement l'emploi d'un tel effet, et moins encore de la symbolique induite qu'il véhiculeraità
Cela dit, il faut bien que je le reconnaisse : que ce soit en tant que scénariste BD,ou dans mes autres activités, je me méfie des effets. Bien souvent ils ne servent pas à grand chose sinon à étayer une quelconque prétention esthétique. Et je tends à me garder des effets "gratuits", ou pire encore, des effets "cache-misère", comme de la peste.
Quant à l'aspect statique de la mise en scène, qui semble te poser problème de manière récurrente dans les "Sacrifiés" : eh bien, je comprends aisément que cela puisse ne pas plaire, ne pas convenir, etc, et cela ne me pose nullement problèmeà En revanche, il se trouve qu'en l'espèce, je peux dire sans craindre de m'avancer trop que ce point répond précisément à un parti-pris narratif : la lenteur apparente de la ville, et des corps ne masquerait-elle pas quelque chose d'autre, de moins visibleà De plusà profond, et immédiatement dangereux?
En tout cas, merci à toi de soulever ces questionnements, qui dans le fond sont tout-à-fait justifiés.
Et merci à tous de vos encouragements et commentaires. Vraiment.
J'en suis aussi. Bien entendu !
Euhà C'est espagnol?
Le jour où ces trois là auront fait le quart du centième de ce qu'a fait Greenaway, on s'appelleà
Ãa peut durer longtemps, la plaisanterie.
Remarquez bien, au-delà de nos goûts respectifs et du talent relatif des uns et des autres, au moins, on parle de cinéastes qui aiment le cinéma et le connaissent bien. Marrez vous : ce n'est assurément pas le cas de tous les réals !
Ahà The number of the beastà Iron Maiden, mes 18 ansà
Oups, pardon, je m'égareà
Jamais entendu du Pierre Henri. Entendu parler, mais je n'ai jamais eu l'occasion d'écouterà
J'aimerais bien que tu la finisses, cette troisième proposition, parce que je brûle d'envie de la découvrir !
Oui, ça fait vraiment plaisir ! Et en plus, quatre approches différentss mais toutes très réussies de mon point de vue.
M'sieu-dames, merci beaucoup !
Je ne connais pas d'autre piste que le Apple Store.
Cela dit, le mercredi,à partir de 9 heures, je crois, ils font des ventes à prix cassés de neuf et d'occasions (révisées et reconditionnées)à C'est souvent très intéressant, mais il faut absolument faire partie des premiers.
Sinon, perso, j'ai un imac G5, et franchement, je me régale. Bon, c'est vrai, c'est pas donné. Mais ça vaut vraiment le coup !
Boh, il en est au même point que les zicos : il fait ce qu'il aime, et dans le fond, il n'est esclave que de ses propres choix. Ce qui est déjà un énorme privilège, non?
Bon, je cesse la pollution de ce sujet, sinon, Vicks va me tomber dessus avec sa guitare bizarre !
Merci pour le compliment, Kari. Venant de toi, il me touche tout particulièrement !
Maintenant, pour ce qui est du terme employé ("roadie"), voici une petite explication :
Un roadie, c'est un gars qui fait la route avec les musiciens, décharge le matériel et le pré-installe sur scène pour eux, puis le remet dans le camion à l'issue du concert.
( Tiens, une petite vanne de zicos au passage : le credo du roadie : "Quand c'est rouge ça se boit, quand c'est brun ça se fume, si ça bouge ça se tire, si ça bouge pas, zou, au fond du camtar !")
Parfois, le roadie peut aussi se charger de l'accordage de certains instruments, des pré-réglages des amplis, du remontage en urgence des cordes cassées en cours de concert, du réaccordage, etcà (pour peu que les musiciens aient des spares, des instruments de rechange). En ce cas, le roadie devient ce qu'on appelle un backliner (le backline étant en fait le matériel de scène : instrus + effets+ amplis).
Les grands groupes ont des armées de roadies et de backlinersà en fait, ils touchent à peine à leur matériel (ce qui quelque part est sans doute très dommage : tant de belles chansons sont nées d'un "boeuf" aux pré-balancesà)à Pour les indés, en revanche, avoir ne serait-ce qu'un roadie, ou même un simple chauffeur, est un véritable luxe !
Parmi les ex-roadies les plus célèbres, on citera notamment Lemmy, de M÷t÷rhead, ou encore San Severino.
Pour conclure, je crois qu'il s'agit plus d'une question de vécu (17 ans de scène, tout de mêmeà) que d'âge, parce qu'en fait, je suis pas loin de penser que je dois être moins jeune que toià
(à) même si le dessin n'est pas au top
Ben, oui, mais je vous avais prévenus, hein : je ne sais pas dessiner !
Cela dit, content que ça t'ait fait marrer, Tim ! Et si ça te dit de le reprendre à ta sauce pour qu'il ait meilleur allure, eh bien, tu es le très bienvenu !
Oui, c'est bien.
Bien sûr.
Pour autant, je ne peux m'empêcher de plussoyer Mosc quant à l'aspect théâtral d'une éventuelle succession de plans frontaux.
Cela dit, et je me répète, c'est Philche qui choisit : moi, je serai en l'espèce de toute façon d'accord avec l'option sur laquelle il aura jeté son dévolu.
Houlà, qu'est ce qui me prend de faire des phrases?
Je recommence : Ce que Philche fera sera OK pour moi.
Personnellement, Kari, j'aurais tendance à trouver que le pan de mur à gauche accomplit cette fonction (amener l'oeil du lecteur sur le personnage) avec discrétion, d'autant plus qu'il est associé en cela à la pente du toità
M'enfin, de toute façon, c'est Philche qui tranchera, heinà
Oui. Comme ça, ça me semble nickel. Sensiblement plus équilibré - et équilibrant - en tout cas que dans la première versionà (Qu'en penses tu, Kari?)
Bravo Philche !