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C'est la seule scène "coupée". Ou plutôt remplacée par une autre.
Malheureusement je n'ai pas de making off. Je pourrais montrer un encrage sans les retouches, mais il y a trop d'erreurs nulles, j'oserais pas.
J'avance sur les "à côté" de la version, notamment les mini-couvertures qu'il y aura en 4e de couv. (Plus qu'une idée à trouver et j'aurai lecompte)
Ensuite il faudra que je fasse les pages de garde, puis la couv.
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Monsieur De Gornaud, je viens de t'envoyer ma proposition de mini-couverture. Je sais pas si ça rentre dans ton comptage de "plus qu'une idée et j'aurai le compte"...
Un jour peut-être, je dessinerai comme je veux.
En attendant, je dessine comme je peux.
Vous pouvez me suivre par là aussi si le coeur vous en dit : https://www.facebook.com/archinico/
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Non, les couvs des invités seront dans le bouquin, pas en 4e de couv. Elle seront en noir & blanc du coup, mais plus grandes.
Cool, ça ...du coup tu dépasses les 100 pages largement, si t'inclus la scène coupé, les pages de mises en gardes ect, t'arrives à combien de planches environ, théoriquement?
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Aucune idée. La scène coupée, je n'ai pas prévu de l'inclure, et les participations des "guests", je ne sais pas combien je vais en avoir au total, et donc comment je vais les mettre en page.
Mon idée, a priori, c'est de mettre les dessins les plus détaillés en pleine page (A5), et 4 par page pour les autres.
Sinon, il y aura aussi une page consacrée à la carte de Bomberoland, peut-être 2 si je décris un peu les lieux (mais je sais pas encore comment je vais présenter ça).
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On s'attend à revoir nos héros de dos dans leur transats.
Tu veux dire que tu t'attends à voir Kantrong et Maurice, ou qu'on devrait voir les têtes dépasser des transats?
La deuxième page intermédiaire:
Normalement, ça prépare la chute, qui devrait donc sembler plus logique et moins avoir l'air d'un "deus ex machina".
Non?
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Effectivement on sens la chute imminente, je garde mes hypothèses pour moi pour l'instant.
Oui je pensais à Maurice et Kantrong
"Deus ex machina" n'a pas le ,sens que tu lui prêtes, à moins que je n'aie pas compris de quoi tu parlais. Au XVIII on aimait faire surgir des divinités des décors pour résoudre des situations impossibles. Ca s'applique à des solutions qui tombent un peu du ciel, dans ton cas la mort des batteries des organes était au contraire une solution qui était dans la cohérence de ton récit.
P... je suis ben content que tu nous fasses durer le plaisir, ces petites pages inattendues c'est super.
« Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. » Michel Audiard
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Effectivement on sens la chute imminente, je garde mes hypothèses pour moi pour l'instant.
(...)
P... je suis ben content que tu nous fasses durer le plaisir, ces petites pages inattendues c'est super.
Ne te fais pas de fausse joie, il y avait seulement ces deux pages insérées en plus, mais ça s'arrête là.
Après cette page de discussion entre patrons, l'histoire reprend ici.
Donc la fin reste la même, j'ai juste un peu plus préparé le terrain pour qu'elle soit plus immédiatement compréhensible - sans la gâcher, j'espère.
Pour lire l'ensemble des pages dans l'ordre, je le rappelle, ça se passe ici. J'y ai inséré ces deux nouvelles pages.
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Oui c'est pas mal, ça rend la fin moins abrupte et un brin plus malsaine.
Je dis malsaine car j'en déduis que nos patrons à la morale douteuse s'en sortent vivant, puisqu'ils ne sont pas à Bomberocity.
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Donc la fin reste la même, j'ai juste un peu plus préparé le terrain pour qu'elle soit plus immédiatement compréhensible - sans la gâcher, j'espère.
Ok, je comprends maintenant. Ben ça fonctionne très bien, effectivement ça rend la fin encore plus ironique.
« Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. » Michel Audiard
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Oui c'est pas mal, ça rend la fin moins abrupte et un brin plus malsaine.
Je dis malsaine car j'en déduis que nos patrons à la morale douteuse s'en sortent vivant, puisqu'ils ne sont pas à Bomberocity.
Ça, c'est à chacun de l'imaginer! Ont-ils eux-même succombé à la tentation de l'immortalité? Ont-ils de quoi alimenter leurs organes sur l'Îles de Tulavu-Monku?
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Ça, c'est à chacun de l'imaginer! Ont-ils eux-même succombé à la tentation de l'immortalité?
C'est une possibilité très intéressante (du coup c'est presque dommage que cela ne soit pas exposé clairement). En effet ce serait assez drôle que ceux qui offrent l'immortalité aux masses se trouvent être plus sages que lesdites masses.
Cela me fait un peu penser à Mark Zuckerberg qui prône la disparition de l'intimité sur le net. Pourtant ce dernier reste muet sur sa vie privé, contrairement à la majorité des utilisateurs de Facebook qui y relatent leurs moindre fait et gestes.
Bref, encore une fois, en très peu de mots tu parviens à lancer des pistes de réflexions assez denses, et c'est ce qui fait à mes yeux l'une des meilleure force de ton récit.
J'ajoute à cela une certaine "neutralité" très plaisante. Que ce soit les chefs d'entreprise, le citoyen moyen, le pauvre, le représentant de la religion ou même les scientifiques, tout le monde s'en prend plein la tronche à part égale donnant ainsi un récit corrosif mais peu ou pas orienté (et pour moi c'est définitivement une grande qualité car gage d'universalité).
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C'est une possibilité très intéressante (du coup c'est presque dommage que cela ne soit pas exposé clairement). En effet ce serait assez drôle que ceux qui offrent l'immortalité aux masses se trouvent être plus sages que lesdites masses.
Cela me fait un peu penser à Mark Zuckerberg qui prône la disparition de l'intimité sur le net. Pourtant ce dernier reste muet sur sa vie privé, contrairement à la majorité des utilisateurs de Facebook qui y relatent leurs moindre fait et gestes.
Autre exemple, alors que chez nous on veut à tout pris informatiser l'école, "les employés de sociétés high-tech de la Silicon Valley dépensent une fortune pour envoyer leurs enfants dans une école Waldorf dépourvue d'ordinateurs."
Je ne me suis pas posé la question moi-même, est-ce que les patrons ont succombé ou non à la tentation des organes artificiels? A priori, à la base, ils n'avaient pas peur du néant ni de l'enfer, et le produit, assez foireux quand même dans sa description, semblait s'adresser surtout à la masse des consommateurs. Mais quand même, ne jamais mourir, c'est tentant.
Bref, je ne sais pas si ce serait une bonne chose de l'expliciter. Ça pourrait être drôle effectivement de voir qu'ils survivent, mais je voulais une fin plutôt "sèche", sans trop m'étendre sur les conséquences, du coup je n'ai pas trop envie d'expliciter le sort des patrons, ou de Satan (comme ça a été suggéré précédemment) - même si lui, il a peu de chances de survivre.
Bref, encore une fois, en très peu de mots tu parviens à lancer des pistes de réflexions assez denses, et c'est ce qui fait à mes yeux l'une des meilleure force de ton récit.
J'ajoute à cela une certaine "neutralité" très plaisante. Que ce soit les chefs d'entreprise, le citoyen moyen, le pauvre, le représentant de la religion ou même les scientifiques, tout le monde s'en prend plein la tronche à part égale donnant ainsi un récit corrosif mais peu ou pas orienté (et pour moi c'est définitivement une grande qualité car gage d'universalité).
Merci beaucoup!
J'ai relu la BD entière hier, je ne sais pas trop quoi en penser, je crois que je suis encore trop dedans et que je n'ai pas encore assez de recul pour la redécouvrir.
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