Vous n'êtes pas identifié(e).
Je me rend compte que je n'ai pas encore pris le temps de vous remercier pour tous vos commentaires, je voulais poster la deuxième planche, puis finalement j'au eu la crève, j'ai pris de retard et j'ai fais mon malpoli.
Alors merci encore pour vos retours, c'est à ça que je carbure! ^^
Voilà donc (enfin) la deuxième planche de l'aventure:
Toute ma BD est déjà postée sur le forum (ici), tu ne devrais pas avoir de problèmes à trouver une case Kalamitymik.
Vu la situation, à partir du moment où tu pars d'une case existante sur ma BD et que tu redessine cette case au cours de ton histoire, tu es libre de faire tout ce que tu veux.
C'est cool que ce projet puisse enfin voir le jour!
Salut!
Je suis content de venir porter ma pierre à l'édifice avec cette nouvelle histoire dont voici la première planche:
On se posait la question de savoir si on laissait une sorte de "coloration" en niveaux de gris ou si on faisait le tout en strict noir et blanc (comme ça).
Vous en pensez quoi vous?
À part ça, toute critique est bienvenue!
Ça vient, ça vient ^^
J'aimerais vraiment faire un hommage à Lemmy, mais je manque de temps en ce moment.
J'ai repéré le sujet, je viendrais y poser ma contribution plus tard!
Merci! C'est pour bientôt! ^^
Désolé de ne pas m'être manifesté ici, mais je me suis proposé sur ce scénario il y a déjà quelques mois.
Je travaille dessus présentement.
De Gornaud, pour ma part ce n'était pas fluide parce que je devais parfois passer plusieurs secondes à déchiffrer un mot, pas parce que le texte était inintelligible.
Désolé si je me suis mal exprimé.
(pour le scénar rien ne presse de mon côté, c'est quand tu veux, je me tiens prêt à sévir quand tu le souhaiteras ^^)
Ah ah! Pour avoir passé du temps dans une famille accroc aux idées New Age, je trouve ça plus vrai que nature ^^. Et encore, la vérité est parfois plus aberrante, à l'image de Judy Zebra Knight qui se croit possédée par une entité lémurienne...
J'ai bien ri!
Parfois le texte est vraiment difficile à lire, ce n'était pas fluide.
Je suis également perplexe sur l'avant dernière case.
En fait, toute la dernière planche tombe comme un cheveux dans la soupe. Je pense qu'une bonne réplique bien conne de la part du gourou quand ils sortent du cimetière ferait une bien meilleure conclusion que cette planche.
How much time et non pas how many time, qui veux dire combien de fois.
Le mieux reste encore how long.
Vraiment truculent!
Les thèmes se suivent avec un naturel à la fois forcé et coulant de source.
Le grotesque s'allie à la dureté de la réalité, comme si la farce nous aidait à accepter ces faits si invraisemblables qu'on peinerait à les accepter en temps normal.
J?arrête là ma dithyrambe. Bravo à vous deux!
Moi ça me dirais bien, le sujet m'inspire.
Je te contacte par mail.
Néocolonialisme géopolitique te voilà! ^^
Bien joué!
Je ne suis vraiment pas certain que "Tonight is dinner at seven" soit correct.
J'entendrais plus "Tonight's dinner is at seven". ou encore "Tonight, there is/there's a dinner at seven".
Je peux me tromper évidemment, mais ta formulation me semble pour le moins inhabituelle.
Pour ma part je trouve l'idée plutôt bonne.
C'est comparer l'inofensif qu'il y a à porter une barbe ou un bout de tissu sur la tête face aux ravages de sociétés bien trop médiatisées qui détruisent le monde à grand coup de déforestation, de pollution, de maltraitance animale, de gaspillages des ressources en eaux, de contamination des terres et des océans aux pesticides, et j'en passe. La liste est encore intolérablement longue.
Si vous trouvez cohérent une société dans laquelle porter des poils au menton mène à la discrimination et où enrichir les entreprises qui peu à peu privent toutes les générations futures d'un avenir est "normal", alors peut-être que vous devriez vous questionner sur votre "cohérence".
Après, il est vrai que je ne jetterais pas forcément la pierre aux américains tant TOUS les consommateurs des ces sociétés se rendent coupables du pillage de la planète en les finançant, qu'ils soient glabre ou non.
Mais on parle tout de même d'une culture, qui est massivement adoptée comme la norme dans nos pays occidentaux.
Alors ouais, on se plaint d'une culture parce qu'elle n'a pas les même fondements démocratiques que la nôtre mais on accepte à bras ouvert une autre qui dévaste le monde légalement et ouvertement sous couvert de profit.
Critiquer en oubliant de se regarder soi-même.
La fameuse poutre qu'on a dans l'oeil pour ceux qui ont reçu une éducation catho.
OK...
Pourquoi?
Pourquoi hiérarchiser les voyageurs en fonction de leur choix touristiques?
Pourquoi aller sur des sites touristiques mériterait le mépris mais que faire des activités touristiques sportives (randonnée) serait bien?
En quoi ce genre de distinction est-elle différente de tous les autres snobismes?
Bah le personnage peut aussi explorer, visiter, découvrir, vadrouiller, se balader, apprécier, etc.
Bref pleins d'autres mots possibles que "tourisme" qui semble reprendre ici tous son sens méprisant. N'oublions pas que "touriste" est devenu une insulte (un super bouquin sur cette thématique: ici).
Ouais enfin on sait déjà que le personnage part POUR la randonnée, en plus d'être le titre, on l'apprend au magasin d'équipement sportif, au repas de famille etc. Mais bon soit, en ces conditions je ne peux qu'attendre la planche suivante.
Cela dit, l'emploi du mot tourisme restera une erreur (désolé d'être à ce point lourdingue).
Si ton aventure se passait sur un paquebot ton personnage ne dirait pas "en attendant d'arriver à destination, j'en profitais pour faire une croisière".
Le personnage est DÉJÀ en croisière, tout comme dans ton récit, il est DÉJÀ en train de faire du tourisme.
Ma remarque était justement que si ce n'est pas important, je ne comprend pas pourquoi tu y consacres une planche. (et inversement, si c'est important, pourquoi faire passer l'idée que cela ne l'est pas?).
Par exemple tu n'aurais pas fais une planche à l'aéroport du genre: "en attendant le décollage, j'en profitais pour aller au toilettes, boire un café, faire un sudoku, lire mon guide de voyage..."
Pourquoi le faire ici? Pourquoi donner cette impression de secondaire?
Si cela est montré, si cela fait partie du récit, je trouve dommage d'en amoindrir l'impact pour une simple question de vocabulaire.
Je ne comprends pas trop l?intérêt de la vignette "J'en profitais pour faire un peu de tourisme en chemin".
Du moment où ton personnage a pris l'avion et jusqu'au moment où il retourne chez lui, tout ce qu'il fait EST du tourisme non?
Pourquoi "un peu" d'ailleurs?
Pourquoi cette distinction entre cette partie du voyage et le trek?
Cela me donne l'impression de lire en filigrane que cette partie du voyage n'est pas importante, que c'est "seulement" du tourisme et pas de l'aventure (le trek est clairement identifié comme le "but"). Pourtant, on a cette énumération des lieux visités, qui du coup ressemble fort à une page d'agence de voyage ou tout simplement à l'album photo d'un touriste fier de son séjour.
Bref, cette simple distinction de tourisme, suivie de la liste des lieux visités me donnent deux sentiments contradictoires, comme si tu me disais: "le personnage a fait tout ça, mais on ne va pas passer 3 planches dessus, c'était juste du tourisme".
Oui mais alors pourquoi le montrer quand même?
Ou plutôt, pourquoi insérer cette notion de tourisme qui sort ces actions du reste du voyage et donc du récit?
Belle planche sinon! (Y'a quand même un problème de perspective sur le pont en première case, si on voit le dessous de la voûte du pont à droite, on devrait voir le dessus à gauche).
Pour lutter, je prefere dessiner des femmes fortes, plutôt qu'opprimées, rattachées une image positive plutôt que négative
Cela marche toujours mieux pour faire avancer le schmilblick.
Mouais... Est-ce que propager ce genre d'image ce n'est pas justement encourager l'idée selon laquelle une femme devrait être plus forte que ses oppresseurs, qu'une vraie femme est assez forte pour ne pas se faire emmerder?
D'autre part, je vois mal comment on peut dénoncer les oppresseurs sans montrer d'oppression...
Surtout que ce n'est pas parce qu'une femme se montre forte face à l'oppression qu'elle n'est pas opprimée!
Bref...
Toujours aussi bon.
Pour moi ce point est essentiel, et même si traité avec caricature il est nécessaire de l'aborder tant les luttes féministes ont tendance à être décrédibilisé d'un revers de manche.
Au final on reproche à la victime d'avoir conscience d'être une victime et de s'en plaindre, c'est ce qui est montré ici, donc pour ma part, je ne vois rien à redire.
Et pour le côté actuel, quand on voit la popularité croissante de personnages anti-féministe actuellement (cf: Soral), je pense que cette caricature a encore tout à fait sa place de nos jours.
Bon par contre, De Gornaud....
Pour te donner un contre-exemple, je n'aurais pas repris un personnage noir avec des lèvres rouges disproportionnées, parce que ce genre de caricature me semble au contraire très courante dans l'imagerie raciste.
Heuuuuu......
Je trouve les planches 1 et 7 anecdotiques.
Sinon cela me fait énormément penser au final de Fight Club (le bouquin, pas le film).
Par rapport aux critiques apportées à la planche 7, pourquoi ne pas faire parler le personnage?
Par exemple le voir penché en avant semblant parler à son miroir (sans que l'on voit le reflet): "Tu vas arrêter de sourire oui?!", puis de s'empoigner violemment la lèvre dans la case suivante, tu peux enchaîner avec des "tais-toi! tais toi!" avec une oreille qui tombe dans l'évier et... je crois que c'est amplement suffisant pour qu'on ait comprit l'idée ^^
Bon c'est juste un exemple, mais je pense aussi que la succession de découpes d'organes n'est pas forcément le plus intéressant.
Mouhaha! C'est juste parfait, continuez les mecs!