^^

Je ne sais pas, je me dis que c'est quand même très difficile de créer un personnage, lui donner une personnalité, un charisme, des manies... La question ne se pose pas vraiment avec les BD historique puisque le personnage a déjà existé (enfin, "existé" on parle de l'histoire antique là :d). Enfin pour se faire il faut savoir dessiner, je m'entraîne mais je ne suis pas très bon, la route est encore longue et sinueuse ^^

Et bien je ne savais pas qu'autant d'auteurs le faisaient, ça me donne force à poursuivre dans cette idée ! Merci

On ne peut plus sérieux, et je continue de m'en étonner à chaque fois que ça arrive ^^ Oui j'ai vu pour pain(t), il manquerait plus qu'il dise qu'il est à la fac lui aussi

J'imaginais cette guerre dans l'antiquité, les romains conquérants du début l'ère chrétienne. Mais pour le coup les incohérences sont d'autant plus grandes puisque les soldats foncent, je n'ai pas parlé des archers ni des balistes, ils foncent dans le tas de manière un peu "barbare" (ce qui est assez drôle puisque les romains qualifiaient de barbare ceux qui n'étaient pas des leurs). A vrai dire j'imagine des scènes qui ont encore un ton impersonnel (le narrateur est inconnu), peut être que je les intégrerai à une histoire, mais peut être que ce sont des elfes qui se battent contre des orques, des nains contre des trolls, ou que sais-je moi, leurs armes de jet sont peut être des géants borgnes et unijambistes qui lancent des rochers, l'imagination n'a de limite que l'infini. Dans la confidence, je crains de ne pas arriver à rendre mes personnages attrayant, ce pourquoi mes histoires sont ainsi.

Une idée de Musso qui m'avait énormément plu, c'est lorsqu'il faisait parler son personnage écrivain (Tom) et qu'il dit que sur chaque personnage qu'il a créé il possède un dossier complet, avec les moindre détails (de la marque de leurs couches étant bébé, de quelles musiques ils écoutaient adolescent, jusqu'à la façon qu'ils ont d'éteindre leur réveil ou de tenir leur petite cuillère pour manger un sorbet au fruits rouges sans fraise arrosé de chantilly), et que le public n'en connais qu'une infime partie. Construire un personnage dans son ensemble avant de le présenter, forcément, suite à cette idée, j'ai du mal à vous présenter un personnage qui me paraîtra insipide, décoloré (attention je n'ai rien contre Charli Chaplin !!), impersonnel...voilà la raison, mais je compte bien surmonter cette crainte et vous présenter des gens formidables

Il ne sagit pas d'une guerre en particulier, je me suis contenté d'imaginer ce que ça pouvait être en m'aidant de films que j'ai vu, ou de livres lus. Ça peut paraître stupide, mais j'avais l'impression d'y être et j'essayais de le décrire au mieux que je pouvais. Même si cela reste toujours perfectible, d'ailleurs j'ai déjà modifié pas mal de choses avec mes relectures. Et merci, ravi que ça te plaise

PS : Tu vas rire, mais en lisant le "poste des nouveaux" j'ai pu lire que étais en licence d'histoire ? Le hasard de ce monde, je ne cesse de me répéter qu'il est petit mais je me laisse toujours surprendre. Nous avons sûrement du nous croiser dans nos "superbes" couloirs de la faculté puisque je suis en licence d'histoire à Blaise Pascal également.

^^

C'est un autre type de lecture disons, Francis Ponge est poète, ça se lit comme l'on boit un bon vin, à petites gorgées (je trouvais la métaphore sympa, je ne suis pas amateur de vin pour autant).

Les idées sont bonnes, je prends, après il faut voir comment je peux les amener mais merci.

Hors conversation, voici un nouvel écrit :

La tension régnait plus que le silence de mort. La nuit fût douce comme si les astres avaient souhaité nous faire un dernier présent.

Ce fût la fraîcheur de la rosée de l?aurore qui nous extirpa des songes dans lesquels nous nous étions réfugiés. Nous évitions de croiser le regard des autres de crainte d?y lire notre propre détresse, notre propre terreur. Nous nous préparâmes à la bataille, nous vérifiâmes plusieurs fois si nos armures furent bien sanglés, si nos liens furent bien serrés, que nos épées se trouvâmes bien dans leurs fourreaux. L?air portait une odeur de mort. Le brouillard se levait peu à peu laissant transparaître les feux de nos ennemies.
Nous nous tenions l?un à côté de l?autre, bouclier dans une main, l?autre sur la pomme de nos épées.
Nous avancions à pas rythmés et réguliers sur l?herbe fraîche mouillée par la rosée du matin. Un soleil se levait au loin, à l?horizon, baignant le champ de bataille d'une lumière de sang. Les rayons de l?astre se reflétaient sur nos armures. C?est là que me vint la pensée "que peuvent bien ressentir nos adversaires face à une armée d?armures étincelantes...". Cette fois ce fût la voix de notre générale qui m?extirpa de mes pensées. Il prit alors la parole d?une voix claire, sûre, d?une voix courageuse et porteuse d?espoirs. Dans un discours enflammé il réchauffa nos c?urs de la flamme ardente du courage, si nous pensions fuir en nous levant, maintenant, nous pensions mourir sur le champ de bataille l?épée à la main.
La foule éclata telle la tempête qui se déchaîne, ses foudres s?abattraient sur quiconque oserait aller à son encontre. Dans un flot de fierté mêlé de fureur et de rage nous manifestâmes notre dévolution. Il en eu suffit d?un pour donner le ton et ce furent 50 000 voix qui s?élevèrent à l?unisson, scandant le nom de la victoire.
Le signal fût donné, l?intensité de nos voix se mêla au rythme du son de nos épées sur nos boucliers. La guerre avait commencé, les pas s?enchaînèrent de plus en plus en vite, nos c?urs étaient chargés de courage, nos pas devinrent des enjambés, nous finîmes tous par courir tel des prédateurs élancés contre leurs proies, le cri de nos ennemies se fît de plus en plus proche.
Et là, le choc, la collision des hommes armés élancés à toute vitesse les uns contre les autres avec pour seule idée de tuer son ennemie. Puis survint le son des épées taillants et pénétrant la chair, brisant les os. Le massacre commençait, un flot violence se déferlait à présent sur les hommes, l?espoir de retourner dans nos foyers animait nos corps, la haine animée nos bras. L?instant de la bataille, nous n?étions plus humains.

"Nous nous faisons appeler les Nocturnes.

Qui sommes nous ? Personne ne le sait. Je vais vous dire qui nous sommes. Force de rôder toutes les nuits sur l'internet, nous avons eu envie de nous rendre utile...
        Tout est parti d'une simple idée, on créé un rassemblement, un centre de discussion qui ne se veut être qu'un modeste lieu d'échange, quelque chose qui n'avait pas grande prétention, nos actes supplantant nos paroles, du jour au lendemain, nous voilà à la tête d'une entité rassemblant plusieurs millions de membres. Nous ne sommes pas une secte. Nous sommes une entité qui se veut bienfaitrice. Peut on parler de marginaux lorsque nous représentons alors  presque un septième de la population mondiale ?
           Nous sommes partout, peut être vivez vous avec un voisin, un collègue, un proche qui est des nôtres.
           Quel est notre but ? Venir en aide à la masse. La libérer de l'emprise des "puissants", faire éclater cette oligarchie. Nous sommes leur conscience en éveil. Pour se faire, nous avons du commencer par conditionner nos corps, les premiers n'ont pas eu cette nécessité car elle était devenue naturelle au fil de leurs "nuits du net", mais certains ont connus notre organisation et pour y adhérer ont du se conditionner à dormir très peu. Nous sommes les Nocturnes, tout est dans notre appellation. Levez vous à 6h, 5h ou même 3h, vous ne vous lèverez jamais assez tôt, nous sommes là, à chaque heure de la nuit. Lorsque que vous dormez, nous travaillons, notre réseau s'étant de jour en jour, nous sommes organisés. Durant la journée nous agissons comme les Diurnes, et l'autre phase du globe prend le relais. Pour remédier au problème de langage, non loin de moi le plaisir d'apprendre une bonne vingtaine de langues, mais avec des professeurs nous avons préférés créer notre propre langage, par soucis de sécurité et d'efficacité.
        Nous infiltrer ? Nous savons tout sur vous. Ne nous blâmez pas. Accusez donc les organismes chez qui nous avons eu les informations à vôtre sujet. Je vous l'ai dit, nous sommes partout. Nos capacités et nos ressources sont illimitées.
                     Joignez-vous à nous ou redoutez nous, mais qu'est-ce que je dis. Vous ne nous connaissez pas. Dormez en paix."

Petit passage à chaud sur une annonce (le destinataire est à choisir), je dois encore la revoir et l'étoffer mais en voilà le squelette. Je pense que ce sera sous forme d'une annonce radio, mais il reste des incohérences et contradictions dans le message. La suite est vaste, on peut toujours enchaîner sur un quelconque complot, les idées germent !

Pour moi ce sera René L'aventurier parce qu'avec lui on va enfin se sortir de la m***e :d

Ca reste vraiment trop défectueux et statique

Tu m'as bien fait rire avec ta tronçonneuse mais c'est vrai qu'à force d'avoir le nez dessus on finit par ne plus voir ce qui cloche (même si là c'est flagrant ^^)
En voilà un autre,

Je crois que ton PC refuse que à ce que tu deviennes aveugle haha sans rire (quoique) je ne peux pas remédier à ce problème ça vient de mon scanner que je peux pas plus fermer du fait que c'est sur un carnet, désolé

Haha bourreau ! Je vais m'y atteler mais avant je poste trois créations, bourrées de défauts mais elles sont de moi ! Mis à part le pantalon et les chaussures pour lesquels j'ai repris l'idée et le coffre...

Je retiens, merci pour tes conseils. Dans le dessin ce qui me plaît vraiment c'est pouvoir illustrer ma pensée, j'aime aussi écrire, d'ailleurs ce que je fais en ce moment, et je trouve qu'une image peut parfois en dire plus que des mots, j'adore les détails, vraiment beaucoup à tel point que je veux absolument les faire avant même l'esquisse de mon dessin, j'exagère bien sûr. Je me frêne pas mal sur mes réalisations parce que je ne sais pas faire donc je laisse de côté, et en ce moment je suis en cession BAFA ce qui ne me laisse pas beaucoup de temps pour poster mais nous avons des projets, affiches à réaliser, et m'aperçois que lorsque je n'ai "pas le choix", et que je me lance en abaissant ces barrières, "fictives" en définitive, je suis capable de mieux. Je suis conscient que me chemin est long, mais c'est celui qui je décide d'emprunter. Haha j'ai bien raconté ma vie...Encore merci.