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Salut je viens d'arriver sur le forum : 2 semaines , comme je l'ai dit dans ma présentation je suis novice alors voici quelques WIP (version draft) pour mon projet de l'année. merci pour votre aide et critiques du scénario, du choix des illustrations de l'organisation des planches, du manque de pertinence ....., quelles quelles soient je prends tout pour m'améliorer.
J'ai longtemps hésité à poster du boulot non finalisé, mais avant de me lancer dans les encrages, colo je préfère travailler sur la compo, le choix des plans , les études pour donner du sens, donc ce n'est pas "très fini ni esthétiquement propre" si c'est un mauvais choix de ma part dites le moi.
Je vais essayer l'aller le plus loin possible à partir du texte suivant
[spoiler]
LE PAPIER
Trop confiance est la perte de bien des hommes, méditait Aldo la tête sur le rebord du trottoir humide. L'oeil à moitié fermé par la violence des coups qu'il venait d'encaisser. Les loupes de ses lunettes réglables sans doute cassées à quelques mètres de lui.
Malgré ses 1,80 m et sa carrure d'athlète, il s'était fait surprendre. Certes pas par orgueil où vanité, il en était incapable, mais simplement par manque de vigilance. Etalé sur les pavés, il passa la main sur son front légèrement dégarni, puis sur son nez aquilin s'assurant au passage qu'il n'était pas cassé, avant de s'arrêter sur sa lèvre ourlée et désormais fendue d'où perlait quelques gouttes de sang.
"Oulala tu t'es pris une belle raclée" lâcha t-il dans un souffle, en se caressant le menton où pointait une barbe naissante. Il récupéra son chapeau, puis il s'assit sur les marches du perron de l'immeuble victorien, où il était entré moins d'une heure plus tôt, et s'interrogea sur ce qui l'avait motivé à ramasser "LE PAPIER".
Les images se bousculèrent dans sa tête.
Deux heures plus tôt, à mille lieux de s'imaginer la matinée qu'il allait vivre, il peinait à sortir de son lit. Le soleil accroché a un ciel bleuté et voilé par quelques nuages émergeait lui aussi péniblement par les jalousies de la fenêtre de la chambre d'Aldo. Dans deux jours le printemps serait là.
A chaque réveil, l'image de d'Alyson quand elle n'avait pas hanté sa nuit, lui revenait systématiquement et pas moyen d'y échapper. Cela faisait des semaines, qu'Aldo était obnubilé et il y avait de quoi. Et cela, depuis qu'un beau matin l'inspectrice Devon Allen s'était plantée devant sa porte pour lui annoncer la mort son ex. Les souvenirs des deux ans qu'ils avaient vécu ensemble lui revenaient en boucle.
Leur coup de foudre, l'emménagement trois jours plus tard, l'amour passion pendant la première année. Les petits mots tous les matins sur l'ardoise près de la porte....
Où en était l'enquête ? Pourquoi n'avait-il aucune nouvelle ? Telles étaient les questions qu'il se posait tous les matins ?
"Cela ressemble à un accident" avait t-il écouté abasourdi sur le pas de la porte, alors que la jeune inspectrice remettait en place les lacets en cuir de la manche de sa robe. La piste criminelle n'était donc pas écartée.
Il se laissa retomber sur son lit fixant le plafond poussant un énorme soupir. La buche achevait de se consumer dans le poêle et éclairait faiblement sa chambre décorée de panneau de bois riveté d'écrous en laiton, alternant avec des plaques d?acier caractéristiques de la décoration des appartements de l'ère rétro industrielle. Sa nuit avait été agitée et il n'était pas réellement reposé. Il avait des cernes et ses yeux verts étaient devenus ternes comme éteints.
L'air hagard, il se dirigea à tâtons dans le couloir, pour aller dans la cuisine. Il faudrait bien qu'un jour il prenne le temps de payer la note de gaz. Le deux pièces d'Aldo n'était pas très grand, mais le désordre y était apparent, à l'image de sa vie depuis qu'ils avaient rompu.
"Aie " maugréa t -il alors qu'il venait de s'éclater un orteil dans la chaise où il avait laissé la veille ses vêtements en vrac, en voulant éviter la pile de livres, qui aurait du ranger. La douleur acheva de le réveiller.
En 6 4 2, après avoir avalé son thé froid, enfilé sa gabardine, et mis son haut de forme, il prit le chemin de l'université où à 30 ans il était l'un des plus jeune professeur de littérature ou plus précisément de dramaturgie.
"LE PAPIER" qu'il avait préparé la veille pour ses étudiants portait sur l'identification de l'élément déclencheur dans le récit, et ce qui pousse le protagoniste à agir. Perdu dans ses pensées, abrité sous son parapluie, il ne vit pas qu'une voiture filait sur lui à toute vapeur.
"Elle n'est pas bien celle là !" pesta t-il lorsque la minicountryman streampunk 68 cuivre ornée de boulons, d?écrous, passa à coté de lui en trombe, l'éclaboussant au passage. Aldo reconnu immédiatement la rouquine qui conduisait même si elle avait le visage ensanglanté. C'était bel et bien l'inspectrice Allen. Les rares véhicules individuels qui existaient était réservés aux forces de police où à de richissimes magnats.
Alors lorsqu'il vit un papier s'échapper par la fenêtre passager, rongé par la curiosité, Aldo ne pu s'empêcher de se précipiter pour le ramasser, il déplia le "PAPIER" et il y lu avec stupéfaction les mots griffonnés : 17 rue morgue, Alyson Hannigan.
Quel rapport pouvait-il y avoir entre Alyson, l'inspectrice Devon et le nom de la rue du roman d'Edgar Poe ? C'était à deux pas, et il le savait bien. Il tenait quelque chose d'insolite, peut être une piste. Il lui fallait savoir.
La curiosité avait toujours animé quand elle ne le dévorait pas, le trentenaire aux cheveux châtains coupés courts.
D'un pas rapide il descendit la rue morgue en évitant les flaques d'eau qui s'étaient formées et s'arrêta devant le perron de l'impressionnant immeuble orné d'une énorme horloge en laiton, prit le heurtoir à pleine main, et toqua.
"ohé, y a quelqu'un, y a quelqu'un ? " hurla t-il, affichant un sourire avenant laissant apparaitre ses dents blanches et régulières qui contrastaient avec son teint hâlé.
Une main s'agita derrière le carreau.
[/spoiler] que j'ai écrit il y a déjà deux ans. Sur les conseils avisé de Item Mansuz et Tomy http://www.bdamateur.com/forum2/viewtopic.php?id=16709.
J'ai commencé à faire un timeline, avec les images associées.
Le début du timeline

et quelques images en mode jeté avant de démarrer mes études
- Aldo découvre la maison victorienne.
- Wip Aldo peine à sortir de son lit, le soleil ...
- et une recherche sur l'univers moins réaliste steampunk

Item -> j'ai déjà en tête quelque cases de façon intuitive , je vais faire ce tri. Pour la phrase je voulais dire "Trop de confiance en soi est ...." , il manque le en soi. L'idée était d'avoir une accroche pour lancer mon flashback, c'est perfectible j'en ai conscience, c'est figure de style qui vu ta réaction n'est suremet pas très pertinente, Bon ben j'ai pas trouvé mieux, pour le moment.
Mansuz -> Mon idée était de partir d'un texte sur un univers que j'ai en tête, et comme pour un livre, il y a des adaptations en film, j'imagine que c'est pareil pour faire un BD.
Tomy -> Super cette démarche , c'est exactement ce que je cherchais un cadre méthodologique pour faire le tri, je vais digérer tout cela et m'y ateler
j'avais commencé à faire des croquis d'Aldo se passant la main dans la nuque , puis un plan un peu plus serré , et des recherches de position, et un plan sur la voiture ... un peu dans n'importe quel ordre.
Merci à tous les trois pour votre aide.
Bonjour Belzaran, comme je l'ai posté dans critique de scénario, mais sans doute n'est-ce pas le bon endroit, puisqu'il s'agit d'un début de RP que j'ai écrit il y a bientôt deux ans, autour de l'univers que j'aimerais développer, il y a déjà assez de matière pour remplir quelques cases et faire les recherches associées. Aucune idée sur comment mettre ça en planche , en gardant le m^me niveau de précision par l'illustration, mais j'imagine que cela viendra.
J'ai commencé à faire des recherches au plaisir de vos. Je suis avide de vos conseils^^ Je m'oriente vers un style réaliste.
LE PAPIER
Trop confiance est la perte de bien des hommes, méditait Aldo la tête sur le rebord du trottoir humide. L'oeil à moitié fermé par la violence des coups qu'il venait d'encaisser. Les loupes de ses lunettes réglables sans doute cassées à quelques mètres de lui.
Malgré ses 1,80 m et sa carrure d'athlète, il s'était fait surprendre. Certes pas par orgueil où vanité, il en était incapable, mais simplement par manque de vigilance. Etalé sur les pavés, il passa la main sur son front légèrement dégarni, puis sur son nez aquilin s'assurant au passage qu'il n'était pas cassé, avant de s'arrêter sur sa lèvre ourlée et désormais fendue d'où perlait quelques gouttes de sang.
"Oulala tu t'es pris une belle raclée" lâcha t-il dans un souffle, en se caressant le menton où pointait une barbe naissante. Il récupéra son chapeau, puis il s'assit sur les marches du perron de l'immeuble victorien, où il était entré moins d'une heure plus tôt, et s'interrogea sur ce qui l'avait motivé à ramasser "LE PAPIER".
Les images se bousculèrent dans sa tête.
Deux heures plus tôt, à mille lieux de s'imaginer la matinée qu'il allait vivre, il peinait à sortir de son lit. Le soleil accroché a un ciel bleuté et voilé par quelques nuages émergeait lui aussi péniblement par les jalousies de la fenêtre de la chambre d'Aldo. Dans deux jours le printemps serait là.
A chaque réveil, l'image de d'Alyson quand elle n'avait pas hanté sa nuit, lui revenait systématiquement et pas moyen d'y échapper. Cela faisait des semaines, qu'Aldo était obnubilé et il y avait de quoi. Et cela, depuis qu'un beau matin l'inspectrice Devon Allen s'était plantée devant sa porte pour lui annoncer la mort son ex. Les souvenirs des deux ans qu'ils avaient vécu ensemble lui revenaient en boucle.
Leur coup de foudre, l'emménagement trois jours plus tard, l'amour passion pendant la première année. Les petits mots tous les matins sur l'ardoise près de la porte....
Où en était l'enquête ? Pourquoi n'avait-il aucune nouvelle ? Telles étaient les questions qu'il se posait tous les matins ?
"Cela ressemble à un accident" avait t-il écouté abasourdi sur le pas de la porte, alors que la jeune inspectrice remettait en place les lacets en cuir de la manche de sa robe. La piste criminelle n'était donc pas écartée.
Il se laissa retomber sur son lit fixant le plafond poussant un énorme soupir. La buche achevait de se consumer dans le poêle et éclairait faiblement sa chambre décorée de panneau de bois riveté d'écrous en laiton, alternant avec des plaques d?acier caractéristiques de la décoration des appartements de l'ère rétro industrielle. Sa nuit avait été agitée et il n'était pas réellement reposé. Il avait des cernes et ses yeux verts étaient devenus ternes comme éteints.
L'air hagard, il se dirigea à tâtons dans le couloir, pour aller dans la cuisine. Il faudrait bien qu'un jour il prenne le temps de payer la note de gaz. Le deux pièces d'Aldo n'était pas très grand, mais le désordre y était apparent, à l'image de sa vie depuis qu'ils avaient rompu.
"Aie " maugréa t -il alors qu'il venait de s'éclater un orteil dans la chaise où il avait laissé la veille ses vêtements en vrac, en voulant éviter la pile de livres, qui aurait du ranger. La douleur acheva de le réveiller.
En 6 4 2, après avoir avalé son thé froid, enfilé sa gabardine, et mis son haut de forme, il prit le chemin de l'université où à 30 ans il était l'un des plus jeune professeur de littérature ou plus précisément de dramaturgie.
"LE PAPIER" qu'il avait préparé la veille pour ses étudiants portait sur l'identification de l'élément déclencheur dans le récit, et ce qui pousse le protagoniste à agir. Perdu dans ses pensées, abrité sous son parapluie, il ne vit pas qu'une voiture filait sur lui à toute vapeur.
"Elle n'est pas bien celle là !" pesta t-il lorsque la minicountryman streampunk 68 cuivre ornée de boulons, d?écrous, passa à coté de lui en trombe, l'éclaboussant au passage. Aldo reconnu immédiatement la rouquine qui conduisait même si elle avait le visage ensanglanté. C'était bel et bien l'inspectrice Allen. Les rares véhicules individuels qui existaient était réservés aux forces de police où à de richissimes magnats.
Alors lorsqu'il vit un papier s'échapper par la fenêtre passager, rongé par la curiosité, Aldo ne pu s'empêcher de se précipiter pour le ramasser, il déplia le "PAPIER" et il y lu avec stupéfaction les mots griffonnés : 17 rue morgue, Alyson Hannigan.
Quel rapport pouvait-il y avoir entre Alyson, l'inspectrice Devon et le nom de la rue du roman d'Edgar Poe ? C'était à deux pas, et il le savait bien. Il tenait quelque chose d'insolite, peut être une piste. Il lui fallait savoir.
La curiosité avait toujours animé quand elle ne le dévorait pas, le trentenaire aux cheveux châtains coupés courts.
D'un pas rapide il descendit la rue morgue en évitant les flaques d'eau qui s'étaient formées et s'arrêta devant le perron de l'impressionnant immeuble orné d'une énorme horloge en laiton, prit le heurtoir à pleine main, et toqua.
"ohé, y a quelqu'un, y a quelqu'un ? " hurla t-il, affichant un sourire avenant laissant apparaitre ses dents blanches et régulières qui contrastaient avec son teint hâlé.
Une main s'agita derrière le carreau.
Salut,
Bon ben voilà, je pensais bien trouver des ressources de type tuto : permettant à partir d'un récit
de type narration passer à une planche BD, en gros un tuto du style la bd pour les nuls
avec : les définitions
- un synopsis, un timeline , et comment passer du récit à la BD, mais je n'ai pas trouvé, si quelqu'un à des liens sur le web je prends. J'ai posté un RP que j'ai rédigé et que j'aimerais bien illustrer.
/ Pseudo:Lazu
// Prénom réel: Vincent
//
//
Ce que tu aimes: Les vacances, les yaourts à la mangue, le dessin, la peinture, le graphisme, la sculpture, l'écriture, la bienveillance
// Ce que tu n'aimes pas: l'intolérance
//
Raconte-nous un peu ta vie: Je suis autodidacte et n'ai aucune formation artistique. Je suis sur un forum de dessin depuis 3 ans , après avoir fait un an de graphisme, sur un forum qui a fermé, et j'ai envie de travailler sur la scénarisation (j'ai le bouquin de lavandier et eu entre les mains celui de Mac Kee ) .je fais aussi des affiches , j'ai une tablette Wacom Graphire IV et j'ai beaucoup de mal à l'utiliser, et suis toujours bien incapable de faire un lineart que ce soit à la plume, ou à la tablette, j'ai regardé des vidéo sur livestream, mais cela va trop vite pour moi, pour le moment je cherche à apprendre, mais cela me plait aussi d'aider les autres quand je sais.
J'aimerai un jour être capable de faire une BD, dans l'univers steampunk c'est mon passe temps, alors que vous m'avez l'air d'être des pro , merci pour votre indulgence ^^
// Je fais de la peinture à l'acrylique après 3 ans de cours 2h/par semaine dans une association.
// Depuis combien de temps dessines-tu? 6 ans donc, je suis débutant mais prêt à tafer dur pour m'améliorer et à rependre en fonction des remarques car je suis persévérant.
// Auteurs : Sfar, Béhé,
// Style : Plutôt réaliste, mais je me suis essayé au manga