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Je vous propose ci-dessous de petits scenarios et anecdotes humoristiques ou autres (03), à dessiner en planche. A vous de choisir ce qui convient le mieux... Dites moi ce que vous en pensez.
Mon but est de creer une BD dans un style analogue aux "femmes en blanc", (traits de crayons style Franquin, Tillieux, Leloup, Guimard, etc), mais bien sur ici on parlera plutot des "hommes en noir", de leurs frasques, de leurs bourdes, de leurs pièges et de leurs roublardise.
Il va de soit que j'ai une autre histoire bien plus longue, dont voici un préambule (01) avec pas mal de suspens et de rebondissements, mais une chose a la fois, si on veut aboutir à du concret rentable qui puisse etre éditer...
Le projet est une satire de moqueries, tantot tragique, tantot dramatique, mais surtout comique et caustique, a propos des moralités et perversions du monde juridique belge...
(style de personnages : avocat de Labavure... maitre du Jabotenrhumé... huissier de Labourde... notaire de Lacravate... juge Van ToucheMonpote... procureur de SaisPassafleur... substitut de Lapeinecapitale... Commissaire Manquedefoi... Inspecteur Touchepasmameuf... et j'en passe...).
Mon humour est plutot caustique, basé sur les jeux de mots phonétiques, et calembours analogiques de la langue francaise... (bien plus riche que nous) > (inspirations avec Devos).
J'ignore si vous connaissez un dessinateur(trice), illustrtateur(trice) pro ou jeune qui veut se lancer, et qui cherche un sujet qu'il(elle) pourrait partager avec moi ? Au cas ou, si vous saviez faire passer le message en partage autour de vous, merci.
Bien cordialement, Phil
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1,- Synopsis
L'histoire se déroule dans un tribunal de Justice de Paix d'une commune a facilité linguistique, par exemple BXL.
Ce tribunal est constitué de 1 Juge femelle, 1 greffier femelle et 1 assistante femelle aussi. (contractuelle)
L'interressé (male paupérisé) est appelé à la barre pour expliquer sa situation en defaut de paiement. Il commence son exposé...
Dans la salle d'attente, juste à coté, ou dans le fond de la salle d'audience, une mère berce son bébé qui hurle, et la Juge ne peut comprendre l'exposé du type cité.
La Juge (dans son exces d'austérité) :
- Monsieur, je n'ai pas le temps de vous écouter, je ne comprends rien, il y a un bébé qui pleure au fond de la salle d'attente, à votre age vous devriez savoir ce qu'est la patience !
Le Type Cité (outré par cette outrecuisance) :
- Madame la Juge, sommes nous dans un tribunal ou dans une nurserie ?
La Juge (excédée par la rétorque) :
- Monsieur, ici c'est moi qui fait la Loi ! je suis Lady Justicia !
Le type cité, humilié par le manque d'impartialité sombre dans un moment de colère, attrape la tignasse crolée de la Juge, et lui flanque une giffle avec l'autre main (la droite, celle de la vérité de lapalisse...)
La Juge sous l'effet de surprise est outragée par son acte, et rouge de colère s'apprete a faire appel aux autorités.
Le Type Cité (dans une zen attitude, (il s'est défoulé))
-- MADAME ! La Loi a été inventée par un dictateur pour casser les pieds de la démocratie !
Structure du projet
Epoque : années 00/10
Style de dessin : plutôt réaliste
Nombre de tomes : 1 (One shot)
Nombre de planches découpées : 2
Thèmes du projet : avocats, huissiers, notaires, juges, bourdes et delires
Scénario terminé : non
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Controverse de la morale du premier scénario... (thème conflit sexiste)
2,- Synopsis
L'histoire se déroule dans un tribunal de Justice de Paix d'une commune a facilité linguistique, par exemple à Bruxelles.
Ce tribunal est constitué de 1 Juge male, 1 greffier male et 1 assistant male aussi. (a l'ancienne)
L'interressée (femelle desepérée) est appelée à la barre pour expliquer sa situation en defaut de paiement. Elle commence son exposé... (plus long évidement)
Dans la salle d'attente, juste à coté, ou dans le fond de la salle d'audience, une mère berce son bébé qui hurle, et le Juge ne peut comprendre l'exposé de la dame citée.
Le Juge (dans une saine plénitude) :
- Madame, puis je me permettre de vous interrompre, il y a un enfant qui pleure dans le fond de la salle !
Le Dame Citée (outrée d'avoir été interrompue) :
- Monsieur le Juge, sommes nous dans un tribunal ou dans une nurserie ?
Le Juge (dans une zen attitude avec sourire) :
- Madame, Veuillez vous assoir s'il vous plait. Je vous demande de laisser passer cette maman avant vous.
La Dame Citée, humilié parce qu'une autre femme va etre servie avant elle, hurle sur le Juge au scandale parce qu'elle doit rentrer à la maison préparer le repas pour son mari et ses enfants et blablabla...
Le Juge sous l'effet des habitudes (un peu plus sévèrement, mais pas de trop)
- Madame, cette maman doit aussi nourrir son bébé... Nous serons ensuite plus au calme pour entendre votre exposé !
La Dame Citée, (dans une rebèle attitude, (remise à sa place))
-- Monsieur ! La Loi a été créée par un homme dictateur pour juger les femmes qui tentent de créer la démocratie sous une autre didactature !
Structure du projet
Epoque : années 00/10
Style de dessin : plutôt réaliste
Nombre de tomes : 1 (One shot)
Nombre de planches découpées : 2
Thèmes du projet : avocats, huissiers, notaires, juges, bourdes et delires
Scénario terminé : non
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Scénario Tribunal de Police pour un PV ( il peut s'étaler sur une ou deux planches ? ) :
3,- Synopsis
L'anecdote commence par plusieurs citoyens qui ont pour habitude de stationner leur véhicule sur le parvis de l'église en dehors des heures prévues pour les offices religieux.
Ce qui evidement énerve le commisaire de police du canton...
Et celui-ci par espièglerie du respect de l'excès de zèle de la fonction publique, s'habille avec son viel uniforme d'agent de police verbalisant de l'époque.
Il rode entre les véhicules mal stationnés à son goût, et verbalise à volonté afin de se donner une bonne raison d'avoir fait une bonne action ce jour là !
Il rentre à son commisariat, change son uniforme pour revetir son autorité de commisaire, et encode les informations dans le système informatique de l'état prévu çà cet effet.
Il va de soit que chacun des verbalisés reçoivent un avis de paiement pour stationnement illicite sur le parvis de l'église.
On ne sait expliquer autrement que ce commisaire a reçu une quantité de réclamations d'irrégularité de procédure, parce qu'il n'existait aucun panneau d'interdiction de stationnement à l'endroit précis du parvis de cette église.
Nul n'a payé l'amende cette fois là, mais tous ont été conviés au Tribunal de Police pour justifier d'un motif de non paiement de l'amende abusive.
Toujours est il que dans son insistance d'abus d'autorité, le commisaire avait écrit par courrier que selon la loi, il était interdit de stationner sur les parvis des églises, et que prétendre le contraire serait faire preuve de manque de bonne foi.
L'un des verbalisé s'était fait représenté par un Avocat à l'audience en groupe, et celui-ci devoir plaider la cause de son client répliqua au Magistrat en fonction :
A non mais des fois Monsieur le Substitut, le Commissaire prétends que manquer de bonne foi sur le parvis d'une église relève de la compétence de la police locale ?
Il n'en est rien Monsieur le Substitut, ca relève plutot de la compétence du clergé une fois ! Non ?
Vous avez raison Maitre, le manque de foi de ce commisaire, c'est scandaleux tout de meme...
Structure du projet
Epoque : années 05/10
Style de dessin : plutôt réaliste
Nombre de tomes : 1 (One shot)
Nombre de planches découpées : 2
Thèmes du projet : avocats, huissiers, notaires, juges, bourdes et delires de police
Scénario terminé : non
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4,- Synopsis résuumé d'une histoire complète
L'anecdote se passe début des annees 70, à l'époque du feuilleton zorro.
A la sortie des écoles primaires, il y a une église, puis un peu plus loin le sentier de certains écoliers avec une usine desafectee au début du sentier.
Là, certains mercredi apres midi, un type masqué avec un chapeau et sa toge se deguise en zorro, en fait c'est un avocat pervers nu sous sa toge.
Il attend et épie les gosses, il en repère un qu'il aborde, puis qu'il amuse dans son rôle à se faire passer pour zorro. Ensuite il se fait ramener a la maison par le gosse tout fier de présenter le héros zorro à sa mère.
L'étalon fait se qu'il doit faire avec la femme au foyer devant le gosse, puis il planque une trace de son passage dans le bureau du mari.
Le samedi suivant, le mari trouve la doc perverse, mais il croit que c'est un tour du gosse.
De ce pas, il va illico à la brigade des moeurs, qui eux évidement n'ignorent pas les frasques de son épouse infidèle lors de ces absences professionnelles prolongées.
Evidement les flics se moquent de la situation du mari cocu. Ils lui font croire que c'est la faute du gosse.
Puis le pere désapointé retourne chez lui et ne trouve rien de mieux que de punir son gosse parce qu'il est persuadé que c'est sa faute...
Mais la punition du gosse est de taille, elle consiste a l'enfermer quelques jours dans la cave.
Cette punition a pour impact de rendre la mère complètement dingue et folle de rage.
Ce qui donne à cette époque une bonne raison au mari de sanctionner sa femme en la privant du contact avec son gosse, sans comprendre que ce gosse avait du assister à la scène.
Plus tard le gosse grandit, et dès qu'il peut, il s'enfuit faire sa vie ailleurs, loin de ces fous.
Puis un jour par l'ironie du hasard, le passé de son enfance lui revient en pleine figure.
Il découvre que le pere lui en veut toujours, sans avoir compris son irresponsabilité.
Il lui lance des menaces de chantage avec des harcelements juridiques au travers d'avocats.
Le fils se révolte sur son pere et tente d'expliquer son irresponsabilité, mais le père se choisit un avocat pour accuser et noircir son fils devant les cours et tribunaux.
Là commence le coté roquanbolesque, car cet avocat choisi au hasard n'est autre que le fils de l'avocat pervers des mercredis après midi à la sortie des ecoles... (à suivre)
Structure du projet
Epoque : années 60/70
Style de dessin : plutôt réaliste
Nombre de tomes : 1/? (Serial)
Nombre de planches actuelles découpées : 40
Thèmes du projet : avocats, huissiers, notaires, juges, bourdes et delires de la vie juridique
Scénario terminé : non
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etc...
merci ! a tres bientot.
bonjour,
j'ai quelques scenarios a te proposer, je cherche un dessinateur un peu style "femmes en blanc" pour une controverse d'un autre monde que je connais bien malgré moi...
si ca te dis, mon email est jourberts@gmail.com, je peux t'envoyer quelques exemples.
cordialement
bonjour,
j'ai quelques scenarios a te proposer, je cherche un dessinateur un peu style "femmes en blanc" pour une controverse d'un autre monde que je connais bien malgré moi...
si ca te dis, mon email est jourberts@gmail.com, je peux t'envoyer quelques exemples.
cordialement
bonjour,
j'ai quelques scenarios humoristiques a vous proposer pour debuter.
Puis une longue histoire d'intrigues avec des rebondissements de roles dans une zizanie sans fin.
Je cherche un dessinateur ou illustrateur un peu style "femmes en blanc" pour une controverse d'un autre monde que je connais bien malgré moi...
Un style un peu realiste avec de nombreux personnages autour d'un avocat mal stereotypé, qui bourde dans le style gaston.
Quelques morales a la clé, de l'humour, parfois satirique et marginal.
De quoi satisfaire l'anticonformisme et l'audace, mais surtout exprimer que la Loi a ete inventée par un dictateur pour pourrir notre democratie. Bien qu'on nous pretend le contraire...
Si cela vous dis, mon email est jourberts@gmail.com, je peux vous envoyer quelques exemples de scenarios, et voir ce qu'on peut faire ensemble.
cordialement a tous
ok, pour moi c'est tres bien,
je t'envoie un scenario en privé. je cherche un dessinateur ou illustrateur depuis trop longtemps...
Bonjour,
J'ai ci-dessous un petit scenario dans un style inhabituel mais moralisateur, sauf qu'il est pas dans les beaux arts... mais avec de droles de lézards...
Je cherche donc un dessinateur et/ou illustrateur pour donner vie à ce scénario.
C'est l'histoire d'un dessinateur talentueux, un petit technicien tout simple.
Dans son étude, il dessine un palais de justice pour les tortionnaires de son enfance.
Jusque la tout se passe bien, sauf qu'un des tortionnaires est jaloux de la reussite.
Reussite incompréhenssible parce qu'elle ne répond pas aux normes du conformiste, ni aux criteres de ce tortionnaire vicieux.
Le tortionnaire est un pervers narcissique, avare, demonaique et paranoiaque.
Il mandate une serie de docteurs en droit, des Huissiers, des Avocats, des Notaires (hi-HAN) (le clan des anes) (tanpis pour la coincidence...lol).
Le but est de le persécuter sur ses valeurs et le déstabiliser de ses objectifs, et ainsi prouver qu'il n'est rien aux yeux des autres.
Le dessinateur tente de revendiquer ses droits, ses valeurs, son role, mais son avocat le trahi avec le pervers, par vice cupide et appat du gain, parce que le pervers est plus riche que le dessinateur.
Le dessinateur doit rendre des comptes et passe aux yeux de tous pour un dangereux criminel.
En fait le pervers lui a fait porter le chapeau devant un tribunal diabolique !
Depuis, il doit vivre avec le casier judiciaire de son tortionnaire plus habile que lui en matiere de vices juridiques, de critiques mesquines et culpabilisations en tout genre.
Le dessinateur a tout le systeme contre lui, progressivement il s'ecroule sous les ponts et broie des idees noires de vengeance, des trucs déprimants au possible.
Il se fait jeter de partout pcq personne ne comprends cette situation inhabituelle.
Il se fait inculper partout, pcq la source juridique d'information négative est contre lui.
Il termine sont parcours devant la hierachie judiciaire, les dignitaires, soit Substituts, Procureurs, Juges (SPJ) (encore tanpis pour la coincidence...lol).
La roue tourne et l'occasion est trop belle...
Ici, la vengeance est un plat surgelé destiné à comparaitre au micro-onde...
Les Magistrats lui demandent de s'exprimer sur cette notion de harcelement malsain...
Mais que se passe t'il avec vous ?
Enfin il peut dire qui il est, et ce qu'il a dessiné pour eux, pour le systeme...
Soit un Palais de Justice gigantesque au nom de la connerie humaine !
Il peut donc revendiquer son droit humain a l'existance.
Le clan des anes tente desesperement de le harceler encore et toujours selon les criteres du pervers, pour le faire échouer dans la misère, le pousser au suicide, voire au meurtre.
Ce qui arrangerait bien le coté démonstratif pervers narcissique...
Puis ils prennent conscience de leurs malversations et de leurs préjugés ambigus.
Progressivement, ils doivent un par un se justifier à la hierarchie du systeme.
Ils s'empetrent dans des justificatifs incomprehenssibles et des aveux presques logiques.
Ils se denoncent eux meme leurs bourdes, par une serie d'incoherences incontestables.
Ils n'ont plus d'autre choix que de revoir leurs notions de moralisateurs detraqués.
Le pervers narcissique jaloux doit imperativement passer devant une serie de tribunaux pour justifier ses actes, devoiler ses startagemes et avouer ses crimes du passé...
Le clan des anes est suffisement opportuniste que pour 'tourner leur veste' et se rendre compte qu'ils ont ete dupes par le pervers... Ils se retournent alors contre lui.
Le pervers nie, mais les preuves sont là !
Mais depuis le temps, le tortionnaire est devenu presque aussi insolvable que sa victime !
Le jugement dernier est tel que ces vereux du clan des anes doivent tous se cotiser pour payer la facture en dommages et interets au prorata de leur témérité commanditée par ce pervers...
A poil sous la Toge, les Zéros prodéos du barreau se doivent de porter le chapeau de ce toqué de Zorro !
Moralité : les avocats n'ont qu'un barreau, leur clients en ont parfois plusieurs...
Avocats ou Melons, on sait pas à l'avance s'ils sont ronds, s'ils sont bons ou s'ils sont cons ?
En temps de crise, les meilleurs se vendent à l'épicerie du coin pour très peu d'honoraires !
Après les avoir dégustés, on peut faire pousser un avocatier digne de ce titre de mégère...
Qui osera mettre en ?uvre ces planches illustratives ?
J'y intégrerais les bons textes dans les petites bulles...
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