Quel meilleur endroit pour cacher un tresor que là ou on l'a trouvé par Lpp
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Nous étions trois, il y avait rock le taillant le plus charpentier de nous trois ; ce mec était une masse d’homme du genre a te retourner une bagnole sur la gueule, puis « grain d’orge » l’intello du groupe, et le plus poilu aussi avec de long cheveux et un visage de poupon, il était historien enfin du moins il était allé jusqu'à la maîtrise qu’il avait fait sur le catharisme
Et puis moi, moi qui ne peut me définir, comment peut-on définir son absolu subjectivité, c’est vrai ça. Comment savoir ce qui vous caractérise vraiment ? oh bien sur on peut se dire gentil ,honnête ou bien monté mais que dise les gens qui vous on vu vivre ….ou qui on vu ta bite ? Quand vous êtes mort, tout devient plus relatif, tout y compris vous ; je suis ce que j’ai décidé d’appeler une subjectivité relative temporaire, pour dire clair je suis un mort qui de par sa mort d’une extrême violence a le droit de transmettre ses dernières pensées à un branleur afin qu’il en fasse un chapitre d’un improbable livre, ah oui car ceci n’est qu’un chapitre, et ce n’est qu’a ma mort qu’on doit a cette nouvelle de peu d’intérêt de n’être qu’un chapitre .Car ,ce secret que nous avons déplacé, je me rends compte avec le recul qu’il ne pourra pas laissé de survivants, n’est ce pas ici même le principe du secret.
Nous voyagions, tout les trois en bus depuis que nous étions sorti de l’école c'est à dire depuis sept mois et nous enchaînions les chantier au grés du vent et du besoin, tels des anarchistes, trois tailleur de pierre, les anarchiste du bâtiment.
Nous étions complémentaire, nous nous arrêtions dans les campagnes et nous retapions vieux moulins, fermes et campagne contre nourritures terrestre et spirituelle, boissons et tout amélioration du quotidien,c'était ce que l'on apelle dans le metier un chantier à charge, maintenant on dit ca "au black" j't'en fouttrais moi du black, on nous nourrissait et puis nous apprenions encore notre metier, bien sur il y avait souvent une enveloppe qui nous attendait et nous economisions pour acheter plus gros vehicule ou parer a toute panne qui s'avererait tres couteuse sur ces engins
nous avions longé les Pyrénées pour redescendre à rennes le château où grain d’orge avait quelque chose à nous montrer, un héritage à récupérer comme il disait, la nuit où nous sommes arrivés nous avons garé le bus dans une prairie au pied de rennes nous avons tout déballé, fait du feu et grain d’orge a commencé à déblatérer son histoire qui en fait était la raison de notre présence
« Mon arrière grand père m’a légué une lettre dans laquelle il explique que rennes le château est le centre d’un grand secret : le plus énorme de toute l’histoire de l’humanité, il a travaillé dans la région et un curé lui aurait expliqué les raisons de la grande richesse de l’abbé »
« Ah ouais le trésor de l’abbé Saunière c’est ça ? »
« Ouais mon arrière grand père n’a pas pu vérifier ces dires car les habitants étaient très soupçonneux à son égard, et puis trop de monde cherchait des resquites du fameux trésor »
« Alors on va creuser ? »
« Oh non, j’ai fait mes recherches, je vous ai parlé de ma thèse sur les cathares, je crois tout simplement que s’il y a quelque chose à trouver, ce sera dans l’église, on va voir ça demain, mais y’a une chose qui me trouble c’est que tout a l’air de conduire à un caveau secret, mon grand père finissait ses lettres par sa phrase fétiche, « du damier faussé au tombeau secret »
« Tu penses au tombeau du Christ ? »
Trop tard grain d’orge était parti dans ses pensées," bois donc un coup, mon bon ami" du vin bien sur, du vin qu’un paysan nous avez donné, du vin et du riz agrémenté de légumes à l’occasion, comme si la chiasse de la vinasse et la constipation du riz s’équilibrait dans nos estomacs
Le lendemain nous avons fait un rapide tour du village mais la villa de l’abbé qui soit dit en passant est un bien piètre ouvrage architectural ne nous intéressait guère, nous sommes rentré dans l’église, nous n’étions pas seul, un couple de quadragénaire prenait des photos du diable qui trône dans cette église,sorte de detournement symbolique nous faisions un vague tour du propriétaire grain d’orge nous indiqua le damier, le diable et la croisée d’ogive
Le couple sortit, et grain d’orge se précipita sur la porte d’entrée qu’il ferma et bloqua en mettant un banc en travers.
Bon nous y voilà, que voit-on
-Le socle c’est du marbre de carreire, là du marbre de Caunes. Là cette dalle là elle est… c’est du gré mais elle est comme marqué, c’est …grain vient voir
-C’est d’époque wisigoth, et regardez elle est comme sur vis hellicoidal , regarde les lettres elle sont comme pleine de grasse
-Crete de coq!(ca c'est moi!) viens voir
J'ai accouru comme si sa vie en dependait
-Je me doutais qu'un certain desequilibre etait à l'origine de tout ca, la c'est le damier, tout le monde remarquera le faux depart irregulier, met toi dessus
Je m'execute
-Que vois tu?
-Rock le taillant!
-T'es con comment veux tu rater un gars de deux metre de cent vingt kilo, meme chabal partirait en courant,cette eglise elle est minuscule et que nous dit la symbolique du damier?
-Du ciel descendra ton salut!
-Et?
J'ai levé la tête
-La croisée, elle penche.
-Et elle nous indique?
-L'austel est un faux niveau
-ROCKKKKKKKKKKKKKKK!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Cet hurlement d'outre tombe , poussé d'un commun et unicordal accord, a eu l'effet esconté rock se retourna brusquement, lui qui tatait le diable comme on tate les femmes consentantes, lui qui portait toujours son taillant en bandouliere car comme il dit "on sait jamais y'a toujours un petit truc à layer", fracassa ce petit diable "qu'est un bon diable"
putain de merde,
-bon l'austel attendra
-Y'a un truc
Un parchemin, on dirait .... des livre de comptes
-Je peux?
-Fas y regale toi
BLAM BOURK
-y'a autre chose
-Tiens c'est plus vieux ca
On tape à la porte, sans doute un gardien ou un truc dans le genre
Vite à l'austel
-Grain depeche toi si t'as encore un truc a voir ici
-Le damier, la croisée desequilibrée tout nous indique une sortie
C'etait comme si le vent s'etait levé d'un coup un ventass a te decorner un buffle, les volets exterieurs frappaient de plus en plus fort, et les coups redoublaient sur la porte, tant et si bien qu'il fallait se resoudre a l'idée d'affronter peu etre cent personnes pour s'en sortir, ce n'etait pas un orage ou quelque chose de naturel
-Là rock met un coup, l'austel est posé sur un vis hellicoidal
-Je le savais
-Rock tu peux passer?
-Ouais allez
ON savait pas trop ou on aller tomber et on entendait les hurlements qui redoublaint à mesure que nous rampions, cet fois nous le savions les habitants etaient devenu fous, nous avions reveillé le monstre
-Rock qui rampait devant dit" y'a des pieces, c'est comme le petit poucet , je les prends on verra"
-Le tresor? dis je du fond
-Non y'en a six, sept, huit neuf,dix tiens c'est bouché, attends y'a du joint
Et blam!!!
Nous atterimes dans le cimetierre, nous sortions d'un caveau, un rapide coup d'oeil en arriere, c'etait le caveau de l'abbé sauniere et il etait vide
Des hurlements arrivaient de vers l'eglise
Vite, grain sauta le premier, dans une pente abrupte , nous le rejoignimes nous avions bien trois kilometre a descendre avant d'atteindre le bus
C'est dans la foret, que je me suis fait attrapé et la derniere chose que j'ai vu, je revais de la voir depuis que je connaissais rock, je l'ai vu collé une grosse praline à un mec en toge d'abbé du genre des gars dans "les rivieres pourpres"(mais plutot le 1 pasque le 2 c'est vraiment de la merde)le genre de mandale à te fracasser la machoire le nez et la paumette suivi d'un gros coup de taillant à plat SCHUING
La seule chose que je regrette si ce n'est de ne pas avoir pratiqué de sodomie, c'est de ne pas savoir la nature de ces
parchemins et l'origine de ces pieces
CHapitre 2:
C'etait un ami ce mec, un vrai ,un de ceux qui te prend avec lui dans son lit si tu sais pas ou dormir, un qui pense a te garder du pain, qui pense a te remettre le lait au frigo le matin pasqu'il sait que toi tu le bois froid ton lait
C'est pour ca que quand je l'ai vu ces trouduc de curés, en train de le tabasser, j'ai pété un plomb, c'est pas un truc que je fais courament de massacrer quelqu'un a coup de taillant, un taillant je l'explique pour les novices est une sorte de hache a double tranchant que l'on se sert pour tailler la pierre tendre, je l'ai toujours sur moi on sait jamais
- 04/02/2008 16:48 GelWC
- Mais c'est pas mal ça, ça m'plait bien, ça s'arrête la ?