Meurtre au cap d'agde par Lpp

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Meurtre au cap d'agde


J'étais à l'époque privé à Paris, j'avais été contacté via Internet par un couple de riche Hollandais dont la fille avait disparu durant l'été, alors qu'elle était parti avec son copain en vacance, je pris donc un espèce de Thalys direct pour Rotterdam, bien cher d’ailleurs, en première évidement mais il est vrai bien confortable, j’étais parqué dans un compartiment où huit personnes comme moi avaient eu les moyens de se réserver une moelleuse banquette. Au départ de Paris, et bien que le compartiment soit réservé pour tout le trajet, nous ne fumes que deux à prendre place, moi et cette fameuse rousse plantureuse au courbe Angeline mais au yeux diablesque, des yeux d’un vert bouteille, son visage d’une douceur rappelant les cuisses d’une jeune fille apeurée parsemé de taches de rousseur comme autant de coup de pieu assassin que l’on s’imagine planter dans les méandres du monde. Je n’arretais pas de la devisager faisant d’incessant aller retour entre ses cuisses et un livre insignifiant me servant uniquement de couverture sociale ,comme une assurance de ne pas avoir à engager de conversations, qui, de toute facon s’avererait aussi sterile que mes couilles, à partir d’une ville en Belgique nous fumes rejoint par un groupe d’africains je ne penetrais plus dans le compartiment que pour recuperer avec parcimonie quelques affaires , je l’imaginais bien cette rousse et tendre se faire culbuter à l’africaine mais quelle ne fut pas ma deception a chacune de mes incursions de les voir toujours chacun a leurs place les uns a l’exterieur des autres. Puis nous arrivames, n’y avait il eu que mon cerveau pour imaginer un tel deballage de chair, j’ai du mal a le croire
Le couple, avec qui j’avais rendez vous habitait dans un immeuble bourgeois de banlieue, j'ai récupéré le nécessaire pour l'enquête, une photo récente, 1500 euros pour le défraiement, et l'adresse du petit copain en question. Ce jeune homme qui se prénommait Hans était du genre m'as tu vu, blond platine, body buildé, fringué à la mode, l'adresse donné était celle de ses parents il m'amena dans un coffee shop, il semblait abattu et tout en tirant nerveusement sur son pétard il m'expliqua qu'il était persuadé que sa fiancée l'avait quitté mais qu'il ne comprenait pas pourquoi elle ne réapparaissait pas et il m'expliqua le déroulement de leurs vacances:
-"nous voulions descendre la cote de Nice à Séville, nous avons fait la tournée des boites de nuit, on campait des fois en camping des fois dans la nature, et nous avons découvert le naturisme, la nuit surtout, ça a beaucoup plu à Kim, faire l'amour dans l'eau salée avec la peur de se faire surprendre... Ca lui a tellement plu que nous avons décidé d'essayer le naturisme en camping. On nous a dit que le haut lieu de cette pratique était le cap d'Agde, comme nous n'en étions pas très loin nous y sommes allé"
-"A quelle date êtes vous arrivé au cap d'Agde?"
-"Nous sommes arrivé le 15 Juillet, je m'en rappelle car quand nous sommes arrivé, sur le fleuve à proximité de la gare il y avait des gens sur des bateaux qui se tapaient à coup de bâton, ça nous a laissé perplexe, il parait que c'est une coutume chez vous"
J'avais déjà entendu parler de ses débiles résidu d'un temps archaïque où des hommes à moitié orang-outang se tabassaient sur des barques à grand coup de gourdins pour se disputer un coin de pêche
-"Donc vous avez pris une place de camping dans le village naturiste?"
Le pauvre gars avait l'air tellement malheureux, que je n'étais plus du tout soupçonneux à son égard
-"vous vous êtes disputé à quel sujet?"
-"J'ai voulu essayé l'échangisme, il y a tellement de boite qui y sont consacré, et ça s'est mal passé je me suis laissé entraîner, mon fantasme était de me retrouver avec deux femme et le sien était d'être prise entre deux mec, la première soirée était pas mal on a fini dans un jacuzzis avec une dame d’une quarantaine d’années mais notre relation s'est détérioré"
-"Comment s'apellait cette boite?"
-"je ne m'en rappelle plus, Kim a commencé à s'emporter quand j'ai commencé à revoir la vieille blonde avec qui nous avions baisé, un soir nous nous sommes disputé puis je ne l'ai plus revu"
Ce qu'on retient du Cap d'Agde c'est les plages naturistes et on a raison. La rumeur cours sur le libertinage ambiant dans ce lieu, il parait que sur certaines plages dès les18h passé ça baise à couilles rabattues, il parait que des coins sont réservés au homosexuels, que l'on affiche sa préférence selon le bras sur lequel on porte sa serviette, à gauche pour les suceurs à droite pour les sucés, et encore une fois on a raison
Il parait aussi qu'il y a autant de clubs à partouze que de boutiques souvenirs, et bien là la rumeur a tort, il y en a bien plus. Et chacun a sa spécialité, certes la plupart sont des clubs échangistes basiques comme on en trouve à tout les coins de chaque département, mais il y a le Palacio pour les gang bang, lieu où il y a en moyenne trois gars pour une nana, le Liberty pour les voyeurs et les exhibitionnistes où il y a des cabines à vitres teintés, les homos aussi ont leurs clubs avec back room lieu où l'on peut sucer des bites par botte de douze.
Je suis arrivé au Cap au alentour du 15 Août, les parents de Kim avait bien insisté, leur fille devait préparé son déménagement pour Bruxelles où elle devait intégré une école de journalisme à douze milles euros le semestre, elle devait prendre un appartement le 10 Août, je commençais donc mon enquête par le commissariat de Agde ville mais la réponse qui me fut faite par un inspecteur était criante du je m'en foutisme ambiant dans ce coin
-"ici l'été on frise l'asphyxie, la population est presque multiplié par 100, une fois les étudiants partis on atteint presque la population de la grande ville voisine, la criminalité fait un bon hallucinant, les jeunes de banlieues arrivent en même temps que les touristes "
-"et pour mon affaire, que pouvais vous me dire?"
-"cette jeune fille est majeure, on ne pourra lancer des recherches que lorsque la disparition nous aura été signalé depuis un mois, je vous incite à faire une annonce dans les médias, cependant je veux bien distribuer la photo dans mes services"
-"je vous remercie"
Me voilà bien mal avancé ; une jeune fille qui disparaît après une dispute dans un camp naturiste au beau milieu du plus grand regroupement de pervers polymorphe d’Europe. Je pris une chambre dans un hôtel avec piscine et obligé de tomber le short dès la barrière de sécurité passée et , entre nous c'est plutôt agréable de ne pas avoir de tissu qui colle aux couilles, la chaleur était étouffante je commençai donc ma visite par la plage histoire de me rafraîchir, j'avais pris l'habitude de mettre ma serviette sur l'épaule juste au cas où; tout ces corps nu me mettait en émoi, je partis, une fois mon érection calmée par une vieille rabougris qui s'était installé à coté de moi, vers l'office de tourisme où je demandais la liste des clubs libertins du site et accessoirement la liste des bonnes tables ; la jeune fille ,qui répondait aux questions ,d'ailleurs plus en hollandais qu'autre choses, me fit un sourire des plus évocateurs, du genre on sait pourquoi t'es là toi!Je suis ensuite passé par le camping où les deux jeunes avaient pris leurs quartier et le gardien me confirma qu'il n'avait plus revu les deux jeunes comme prévu après le 31 Juillet date limite de leur réservation, il se souvenait d'ailleurs de la dispute qui avait été virulente, il se souvenait que la jeune fille était parti en emmenant son sac à dos laissant son amant déchu en plan.
Je suis passé par une épicerie hors de prix, juste histoire de m'approvisionner en alcool, deux pack de dix bière et une bouteille de scotch, retour à mon hôtel où je picollais pour me donner du courage je savais que je ne pourrais pas entrer dans tous ces clubs montrer la photo à tous les baiseurs puis me barrer comme si rien n'était il fallait la jouer fine , plus je buvais plus je pensais qu'il me fallait un informateur quelqu'un qui connaisse bien les lieux, j'avais assez bu je pouvais me jeter à l'eau, mais avant ça il me fallait manger, je partis donc en quête d'un restaurant où l'on ne servait pas ces saloperies de fruit de mer et autres grillades de poisson bouffeurs de merde ; la chose étant faite je me baladais en quête du premier club à rayer de la liste. Le soir les vêtements sont tolérés, je passai devant le Palacio la boite à double pénétration mais je me la réservai pour plus tard, je passe ensuite devant le Liberty, ça c'était dans mes cordes, je pénètre dedans, la devanture était plutôt soft avec un panneau lumineux qui annonçait la couleur: un gros oeil qui clignote, le videur m'a accueilli assez sèchement,
"Pour les hommes seul c'est 18 euros  "il avait une tête de gros poupon pervers au crâne rasé aux yeux dégouttants qui attendait la bonne occase d’envoyer valser les règles de base de la déontologie à savoir «le range ta bite quand tu travailles » une fois à l'intérieur, on passe par la caisse puis on arrive dans un bar, le serveur était très avenant, c'était pour moi la première fois que je pénétrais dans un club de ce genre, je commande un whisky à l'eau puis
J’engage la conversation avec le serveur:
-"y'a du monde ce soir?"
-"ben plus ou moins les habitués, c'est la première fois que je vous vois, vous êtes en vacance?"
-"oui."
-"vous êtes venu pour mater? En général les mecs qui viennent seul c'est pour mater"
-"ça fait longtemps que vous travaillait ici?"
-"ça fait quatre ans, mais pendant la saison morte j'étudie les lettres moderne à Montpellier"
Je recommande un autre whisky
-"Vous savez où je pourrais trouver un sex-shop?"
-"en général les gens qui utilisent des ustensiles les ont dans leur bagage mais je pense qu'il doit y avoir moyen de trouver ça"
Je vide mon verre cul sec
-"bon je vais aller faire un tour"
-"ok, bonne soirée"
Quand on rentre dans la salle, tout ressemble à une boite de nuit, un dance-floor avec des tables entouré de divan et un bar il y avait ce soir une vingtaine de personnes, dont cinq ou six femmes toutes en petites tenues, je m'avance vers le bar, je m'assois ,commande un énième whisky ,dans un coin derrière le bar un homme me fit un signe de tête je lui réponds un peu perplexe, quelle ne fut pas ma surprise quand quelques minutes plus tard une somptueuse blonde se releva, il l'embrassa goulûment puis vint s'installer à mes cotés
-"c'est la première fois que tu viens"
-"je vois qu'on peut rien vous cacher"
-"je me présente, Mario, je suis le patron de la boutique"
-"ah ouais"
-"ouais tu veux que je te fasse visiter?"
-"volontiers"
On passa derrière le bar, on s'engouffra dans un couloir, la blonde nous suivit, on arriva dans un carré vip entouré de vitres teinté ainsi il pouvait mater tout ce qui se passait dans son club
-"elle te plait ma femme?"
-"elle a des seins à se damner"
-"tu m'étonnes au prix où ça m'a coûté, tu veux qu'elle te suce elle adore ça"
-"on verra ça plus tard"
la blonde partit sans doute vexée de n’avoir pu me montrer l’étendu et la profondeur de son talent, on la revit plus tard derrière la vitre teintée en train de pomper un mec et de se faire bourrer par un black mais Mario continuait de me parler impassible
-"tu sais ici je connais tout le monde alors quand je vois une nouvelle tête ça me fait plaisir, j'aime lier connaissance avec de nouvelles personnes, t'es pas comme les autres, je l'ai tout de suite vu"
-"on peut rien te cacher"
Je sentis derrière ma tête un tube d'acier froid
-"t'es là pour quoi enculé ?"
-"mais enfin Mario"
-"c'est le gros Robert qui t'envoies?"
-"nnnnn.Non"
-"t'es flics?"
-"non c'est pas vraiment ça je suis privé je suis là pour retrouver une jeune fille qui est peut-être passé chez toi"
-"me prends pas pour un naze j'aime pas les parisiens flambeur dans ton genre, je suis sur que c'est le gros qui t'envoies"
-"non Mario je te jure que je te dit la vérité je suis là pour retrouver une gamine hollandaise qui a disparu, c'est ses parents qui m'envoies j'y suis pour rien dans tes embrouilles"
Il enleva son flingue de derrière ma tête
-"ça va je te crois mais tu sais ici faut faire gaffe, tu savais pas que les mafieux tentaient de s'immiscer dans le milieu pour refourguer leur putes comme si les vieilles salopes de toute l'Europe ne suffisait pas….. J’ai tout de suite vu que t’étais pas un pervers comme les autres, t’as un je ne sais quoi dans le regard, quelque chose d’animal ça doit être ton boulot qui fait ça
J'avais failli me chier dessus mais je sentais que mon affaire allait faire un bon
Le Mario commanda une bouteille par un interphone que je n'avais même pas vu
-"Francis, amène nous une bouteille de ...."
-"tu bois quoi?"
-"whisky"
-"une bouteille de jack Ste plait"
-"J'étais sur que t'étais un mec envoyé par le gros, excuse moi"
-" et si ça avait été le cas?"
-"BAM BAM"
-"et c'est qui ce gros?"
Un espèce de mec gringalet avec un pantalon en cuir déboula dans le salon avec la bouteille de Jack et deux verres, nous nous servîmes
-"ah oui c'est vrai que t'es nouveau, le gros robert c'est le mec qui possède quasiment tout les clubs à partouze de la région si on enlève les clubs gay, il produit des pornos justement dans ces clubs, et puis quelques boites de nuit dans le cap d'Agde, il a aussi deux magasin de bateaux dans le coin, ce gros porc essaye de me racheter le club depuis dix ans"
-"OK, avant tout il faut que tu me dises si tu as déjà vu cette fille"
-"franchement ça me dit rien, mais tu sais y'a tellement de passage, mais honnêtement si je l'avais baisé je m'en souviendrai"
-"et tu baise toutes les femmes qui passent dans ton club?"
-"les jeunes oui"
-"ok, ben admettons que Kim n'est pas passé chez toi, son copain m'a dit qu'ils avaient essayé les boites échangistes donc ça veut dire qu'ils sont forcement passé chez le gros robert"
-"et alors ?"
-"je suis persuadé que le gros a un rôle à jouer dans mon affaire, et si tu me files un coup de main ça se pourrait bien qu'on le fasse tomber"
-"là mon gars tu m'intéresse, dis moi ce qu'il te faut je suis ton homme"
-"avant tout, je dois te prévenir que je ne te garantis rien j'ai pas envie de revoir ton flingue, ok"
-"ça marche maintenant je sais que t'es de mon coté"
Sa blonde se ramena, elle s'assit entre nous deux et mit sa main sur mon sexe qui devint tout dur Mario me fit un clin d'oeil et me dit
-"tu vas voir elle suce comme une reine"
Et c'était putain de vrai ,j'ai pas senti ses dents une seule fois, elle m'a pris entre ses seins, ça se sentait qu'ils n'était pas naturels, et puis j'ai jouis à moitié sur ses seins et sur son visage et son mari la regardait avec dans le regard plus d'amour qu'un couple d'octogénaire se tenant par la main sur un de ces vieux banc, son club s'était rempli entre temps beaucoup de curieux m'assurait-il mais tant qu'ils payaient,nous avons bu la bouteille en matant des femmes d'age mur se faisant prendre des fois par trois mecs mais des fois juste par un seul gars j'avais l'impression qu'elles savaient qu'on les matait, j'ai même cru qu'une des brunes plutôt bien foutu d'ailleurs me regardait droit dans les yeux, ça faisait bizarre.
Je pris congé puis je rentrai à mon hôtel, je n'avais vraiment pas sommeil donc je suis ressorti en emmenant un pack de bière , envie de me promener sur la plage il était près de trois heures du mat, j'étais apparemment tombé sur un coin de pédé, j'ai été obligé de refuser de me faire sucer une bonne quinzaine de fois, et franchement si la blonde ne m’avait pas tout aspiré j’aurais bien essayé parait que y’a pas meilleur suceur que les homos passifs mais j’ai enfin trouvé un coin tranquille face à la mer pour finir de me saouler en attendant que le jour se lève,
je m'étais endormis et quand je me réveillai les mères commençaient à débouler sur la plage avec leurs marmots et moi je titubais tel un sale clodo avec cependant une bouteille de shyvas dans les mains" t'en vois beaucoup toi des clodos avec une bouteille à 45 euros dans les mains" me fis-je remarquer on devait remarquer de suite que je n'étais pas un habitué de la pratique d'abord à la couleur de mon cul mais aussi au fait que malgré la chaleur étouffante j'avais gardé mon T-shirt laissant ballotter de droite à gauche tout le désespoir du monde , trop peur de m'écrouler entre deux dunes le cul à l'air autant me mettre un écriteau avec marqué :"cul le plus serré d'Europe"
Je suis finalement arrivé jusqu'à l'hôtel tant bien que mal et je m'écroulai sur le lit tout juste défait. C'est la femme de chambre qui m'a réveillé en venant faire le lit , il était midi passé j'avais dans la bouche une impression de sécheresse , il me fallait boire un truc de frais, je descendis donc à l'accueil pour qu'on me monte un verre de coca et deux croissants; je commençais à élaborer un plan pour tenter d'approcher le gros robert, j'avais eu l'adresse d'un sex-shop en dehors du camp, je m'y précipiterait pour prendre des renseignements , » «  le jeune homme qui m'accueillis était très efféminé je commençai à lui poser des question sur la façon de me procurer des vidéos amateur
"Tu sais ici on a tous ce que tu veut"
"Non je cherche quelque chose de particulier"
"Dans quel genre des vierges? Des vieux?"
"Je cherche dans le violent"
"Le sm ?"
Non pas vraiment"
Je remarquai qu'il y avait tout une collection de zob'production"
Au final je serai parti avec toute la collection soit 19 cassettes
"Tu sais où je pourrai les joindre"
"C’est une production du coin, je crois que je dois avoir l'adresse du siége social"
J'ai fait quelque emplettes, dont une bonne partie de la collection zob'prod, les parents de Kim m'avait envoyé une rallonge budgétaire , la disparition de leur fille avait été signalé il y a bientôt un mois et la police allait prendre ma relève, j'entamai la dernière ligne droite de cette enquête et je n'avais pas grand chose hormis la certitude que Kim avait été tué suite à une soirée chez le gros robert qui avait mal tourné et qu'elle faisait sans doute le festin d'une bande de poisson côtier
J'atterrit donc dans une boite échangiste du Cap celle dont la spécialité affiché est le Gang Bang, réunion des plus grandes et souvent plus très jeune salope d'Europe, le club était glauque comme aucun endroit que j'ai pu voir, très sombre un bar , un dance-floor entouré de banquettes et puis des salles ouvertes aux quatre vent, je vois de suite qui est le gros robert , il trône dans son royaume tel un squale au milieu d'un banc de morue, je décide d'y allé cash, je vais le voir il me fait les gros yeux, et je lui dit que j'aimerai produire une vidéo spéciale et que j'aimerai travaillé avec lui
"Et quel genre de vidéo tu voudrais?"
"Du genre qui part en couilles avec une jeune fille et plein de gars"
"Me prends pas pour un con, tu sais très bien que des vidéo de ce genre j'en ai fait plein et pour 20 euros tu pourras te branler sur de jeunes roumaines se faisant banger à souhait"
"Ecoute moi bien, j’ai les moyens je veux choisir la fille et les gars et je veux un de tes bateaux"
"Bon allez, va voir ma secrétaire et si tu fait l'affaire tu sera invité pour une soirée spéciale sur mon yacht, on en reparlera en temps voulu"
La putain d’elle, sa secrétaire m'a sucé à la suite pendant une heure et demi sans doute pour voir le calibre de ma bite et aussi pour voir si je tenais la route, elle m'a tellement pompé que j'en ai eu mal à la queue toute la soirée,comme si sa vie dépendait de cette pipe mais j'ai eu droit à mon ticket pour la soirée orgie sur le bateau"le festin" » 
J’avais reçu à mon hôtel un message de Mario
« Viens au club ce soir, j’ai du nouveau »
Je rentre dans son club, ce soir c’est soirée gang bang, ça me rappelle une chanson, je salue le portier qui ne me fais pas payer je suis attendu ça se voit, je salue le barman qui me tend un whisky a l’eau et me dit de passer par le couloir Mario m’attend dans son salon de voyeurisme personnel
Il est super excité
« Tu savais que la zob’ avait ouvert un site Internet ?
C’est la grande nouveauté dans le milieu du cul et le gros robert si lançait a fond dedans
Mario n’en revenait pas il était comme un gosse, il sautillait sur son canapé
Son bateau était putain de grand je ne sais pas combien de mètres mais alors dans le port j'avais l'impression qu'on ne voyait que lui, ça doit rapporter gros les vidéos sans compter la vente de bateaux
Dés mon arrivée on m'a donné un masque blanc sans doute trop de notables dans ces soirées
J'avais une impression bizarre de déjà vu, ce bateau, j’en connaissais tout les recoins,je savais où était les caméras je sentais comme un sentiment de culpabilité tout de suite relayé par une érection à casser un mur en voyant les filles arriver à la queue leu leu, toutes plus plantureuses les unes que les autres sans doute des européennes de l'est l'une d'elles n'avait pas plu de quinze ans, elles avaient le regard hagard sans doute le GHB
L'un des mecs à poil avec le même masque que moi s’approchai
"ça fait longtemps qu'on t'as pas vu"
Dur est le retour à la réalité
"Ca fait longtemps que t'es au cap?
J’étais littéralement hors de moi, je me rendit compte que je souriait en regardant droit devant moi la psychose qui reprenait ses droits sans doute c’est dur de se rendre compte à quel point on est un enculé, surtout quand on s’est au fond de soit qu’on est le pire
"Y’a une rumeur qui court dans la zob, parait que tu t'es fait payé par la famille d'une des gamines pour la retrouver, t'es pas chier quand même"
"Ta gueule, j'ai repéré une petite dans le lot on va voir ça de plus prés".

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01/02/2008 02:17 Lpp
Je ne veux pas imposer de restriction d'age car je considére qu'un ado qui a accées au net a forcement vu plus d'horreur qu'il n'y en a danns mes histoires.
Cependant je dois vous prevenir que l'histoire est tres perverse et cru
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