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Il y a déja Alcante...
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Y a aussi les bouquins sortis sur Le Gramophone, la boîte d'éditions québécoise fondée par Antoine Corriveau et Félix Laflamme. Ca se trouve en librairie, donc je considère ça comme pro.
Y a aussi quelques BDA qui ont placé des B.D. dans des magazines, mais de manière sporadique, donc c'est plus une "expérience" pro qu'une réelle professionalisation.
<Edit> Ah, et puis y a Delanay qui est bien parti pour publier un de ses scénars aussi...
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<Edit> Ah, et puis y a Delanay qui est bien parti pour publier un de ses scénars aussi...
ne vendons pas la peau de l'ours...
mais merci, cela fait plaisir de lire ça
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lors d'une rencontre, Alcante m'avait parlé l'autre jour d'un autre gars de BDA qui avait publié chez Glénat, mais il n'était plus trop sur et cela date des tous débuts de BDA.
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En BDA, il y a aussi Raphaël Terrier, Grazo, Nelson, ...
Oui, encore que R. Terrier, on le voit pas trop sur BDA, il s'est inscrit un peu à l'arrache et ne passe pas vraiment souvent. Mais il a effectivement publié "(A)Mère", à la Boîte à Bulles.
Nelson va effectivement publier un truc en France, à Bamboo je crois.
Par contre, Grazo, je suis pas au courant... :kbrain:
<Edit> Aaah ! Comment ai-je pu oublier Foogy et Jehanno, qui ont publié un album chez Des Ronds dans l'O, la nouvelle boîte d'éditions... :kcoke:
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Arg ! Tu m'as devancé pour Foogy, Jehanno et Zanapa.
[size=8]A propos des boîtes d'édition, si quelqu'un peut mettre à jour la liste des éditeurs ...[/size]
Grazo a déjà édité plusieurs albums, avec son scénariste.
[size=8]Et moi, un seul, à 1000 ex.[/size]
Arg ! Tu m'as devancé pour Foogy, Jehanno et Zanapa.
[size=8]A propos des boîtes d'édition, si quelqu'un peut mettre à jour la liste des éditeurs ...[/size]
Grazo a déjà édité plusieurs albums, avec son scénariste.
Et moi, un seul, à 1000 ex.
Ah ué tu as publié un album ? il y a longtemps ?
.. allez hop, t'as un lien ? ... héhé
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Ben oui, il est dans le BDM ou BEDETHEQUE.COM ou ...
Tu peux même le lire en ligne (suis trop sympa, moi) : AD VITAM AETERNAM
C'est vieux (1997). On ne se moque pas du contenu (dessin et scénar) :kpleure:
Personne n'a mis de lien vers le boulot de Nelson; donc, je me permets de le faire...
:khamster:
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Yes, JFM, les éditions Fun en Bulles... Je me souviens maintenant que quelques auteurs avaient publiés des albums (dont Olivier Iung, non?).
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Je ne veux pas faire le rabat-joie mais il faudrait tout de même savoir qu'est-ce qu'on entend par grand saut parce que, pour certains nommés plus haut, on a affaire plus à de l'auto-édition que d'autres chose. N'importe qui peux économiser ses sous et se payer un bel album. Selon moi, le vrai grand saut, c'est lorsque quelqu'un d'autre est prêt à dépenser ses sous pour éditer ton travail.
Ãa ne veux pas dire que le travail des autres est moins bon, par contre :kyeah:
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Hum, d'accord avec OMr, les exemples cités sont plus de l'auto-édition qu'autre chose :kevil: Bref, Alcante est à ce jour le seul BDA à avoir franchi la porte d'une "major". :kyeah:
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Ben oui, il est dans le BDM ou BEDETHEQUE.COM ou ...
Tu peux même le lire en ligne (suis trop sympa, moi) : AD VITAM AETERNAM
C'est vieux (1997). On ne se moque pas du contenu (dessin et scénar) :kpleure:
Je me moquerais pas, c'est sympas en tout cas, il ya vraiment de belles cases bien fouillés !!! et tout ça en 97... et ba...
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Alcante est à ce jour le seul BDA à avoir franchi la porte d'une "major".
Il y a Nelson aussi, même si Bamboo est plus petit que Dupuis [size=8](ai vu naître Bamboo dans les festivals, ça m'rajeunit pas).[/size]
... et Raphaël Terrier (mais la boîte à bulle n'est pas une "major")
Aller dans une "major" n'est pas une fin, en soi.
1) une "major" n'édite pas tout (ex : actes sud publie des one shot genre "BD moderne" de 148 pages). Ca n'entre pas dans les collections des majors.
2) Un petit éditeur saura parfois mieux défendre son auteur et ses livres (ou simplement aura plus de temps pour le faire), qu'une major qui en publie des milliers et jongle avec les imprimeurs et soldeurs (je ne dis pas ça pour Pandora Box qui a bénéficié d'un tirage et d'un lancement exceptionnels). C'est une généralité.
3) l'autoédition peut être un choix (liberté totale). Il y a des sites et associations d'autoédition et des milliers d'artistes qui vivent de ça, en toute indépendance, dans tous les domaines.
dons pas de :kevil: sur ceux qui font quelque chose, petit ou grand. :kpolice: tsss tsss tsss
[QUOTE] Il y a des sites et associations d'autoédition et des milliers d'artistes qui vivent de ça, en toute indépendance
Heu... dans le domaine de la BD j'en suis pas sur ! lol
Cela dit, les petites associations sont très importantes, telles qu'elles soient ! Il ne faut pas oublier d'où viennent un Sfar, un Trondheim ou encore un David B... ce sont des types qui ont tout de même changé le monde de la BD ces dernières années.
Ensuite, il est vrai que pour un type qui va sortir du lot, il y en a deux cent qui resteront éternellement dans l'ombre. Mais c'est la loie du milieuà
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Oui, c'est pour ça, que je disais "dans tous les domaines" (musique ...)
Effectivement, les BéDéistes qui vivent de l'autoédition, y en a pas des masses. :kpleure:
Quand t'es musicien, tu peux faire des concerts, en plus des disques (voire passer à la radio et avoir des droits).
Quand t'es BéDéiste, euh ... les performances, ça n'attire pas les foules lol
Mais ils gagnent ou se font lire parfois bien plus qu'en étant chez un éditeur (mais bon ... faut aller sur x festivals, se démerder pour diffuser, ... la galère ... ce que faisait Bamboo au début).
Claire Brétecher s'autoéditait.
Après, reste à savoir pourquoi on fait de la BD (se faire plaisir ?, être lu ?, exhutoire ?, finances ? tout à la fois ? concessions ou pas, sur son oeuvre ?, etc)
L'association, ex petite structure, faisait (et fait toujours) effectivement de très intéressantes productions qui ne rentraient dans aucune collection des majors.
Maintenant, les grands éditeurs s'y mettent (poisson pilote, tohu bohu, encrages, ...)
NB : au fait, PAWA, tes BDs vues sur ton blog, sont géniales :kyeah: Bonne chance pour ton fanzine en couleurs ! :kclap:
NB bis : L'album de Raphaël, [size=8]auquel j'avais d'ailleurs un peu participé en tant que correcteur partiel par mails interposés[/size], a failli avoir le prix Goscinny et France Info en a fait une belle pub, dimanche dernier. C'est un album totalement atypique (graphiquement et scénaristiquement). Une major n'édite pas ce genre, car elle s'adresse d'emblée à large public (même si des petites productions peuvent aussi toucher un large public (ex : Marjane Satrapi)).
<Je ne veux pas faire le rabat-joie mais il faudrait tout de même savoir qu'est-ce qu'on entend par grand saut parce que, pour certains nommés plus haut, on a affaire plus à de l'auto-édition que d'autres chose. N'importe qui peux économiser ses sous et se payer un bel album. Selon moi, le vrai grand saut, c'est lorsque quelqu'un d'autre est prêt à dépenser ses sous pour éditer ton travail.
Ãa ne veux pas dire que le travail des autres est moins bon, par contre>
Pour continuer cette discution voilà mes propos concernant le grand saut...
? mes début pour financer mon premier album j'ai dû rechercher des commanditaires pour le financement, laissez-moi vous dire que ça n'a pas été facile , mon premier album m'aurait coûté 4000$ pour 800 exemplaires si je n'avait pas eu cette chance d'avoir été commanditer par mon patron de l'imprimerie dont je travaillais. Il me commenditait la couverture couleur reliure allemand (collé) Gratuit et je payais juste le matériel pour l'impression, les films, le pelliculage et les plaques faitent par moi , j'ai payé le pressier pour m'avoir imprimé l'album pendant une fds à l'extérieur de ces heures de travail, et finalement je payait la reliure et le papier et l'encre. Pour 800 exemplaires cela me coûtais 1500$ au lieu de 4000$.
Méchant rabais et c'est finalement grace à ce prix que j'ai pu m'offrir un si bel album. avec la vente de l'album nous avons aussi fait des ti-shirts dont 3 dessins sur différent ti-shirt, nous avons ammasser suffisament d'argent pour publier le second et le 3 ième et le 4 ième albums sans avoir a recourir à des commenditaires. Voilà la chose dont plusieur devront faire pour pouvoir imprimer leurs premier album en auto-publication. sinon le seul recours est d'avoir un éditeur qui soit près a payer pour te publier. Mais aujourd'hui l'impression est toute autre, nous procédons a l'impression numérique (au lazer) et le résultat est aussi beau et bon que l'impression offset (imprimer sur des presses, Imprimerie). Mais la reliure est seulement brochée, ce qui baisse la qualité comparer a la reliure allemand (collé). Sans cette nouvelles technologie je n'aurai surement pas pu publier 3 autres albums et aussi pouvoir collaborer au fanzine ZINEZAG qui a été aussi imprimé au lazer.
Ceci dit, j'ai fais le grand saut, le grand saut de m'autopublier et c'est toute une aventure,c'est là que tu acquières de l'expérience et que tu vois si tu a la force de continuer pour pouvoir montrer au éditeur que tu n'est pas un débutant. Peut-être pour le moment je publie à petit tirage mais je réussi tout de même a tout vendre et a réimprimer d'autres albums avec la demande. Le roulement est commencer et ce n'est qu'un début. Mais comme tout auteurs je rêve un jour de pouvoir publier chez un éditeur et en couleur, Mais pour pouvoir publier chez un éditeur faut être meilleur que les meilleurs ou aussi bon, dans mon cas j'ai encore beaucoup a améliorer mais peut-être un jour je deviendrai meilleur et j'aurai ma chance.
Le gros problème est aussi la publicité, être présent au salon du livre de Sherbrooke depuis 2 ans m'a remis sur la map et ainsi me faire connaitre d'avantage dans ma région. Surtout avoir eu le même stand à coté de Tristan Demers (le créateur de Gargouille) j'ai pu optenir une entrevue à la télé et dans les journaux. Alors si je focalise encore plus sur la publicité, j'aurai sûrement la chance d'être apersu par un éditeur sérieux, qui sait, l'avenir nous surprend toujours.
Grazzzz
:kyeah:
BDA
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C'est vrai qu'on fait tous de la BD pour être lu... Que ce soit par ses parents, par ses amis, par ses voisins ou par toutes autres personnes. Alors, être publié, c'est être lisible par plus de monde. Ca peut commencer par un journal un peu pourrave édité par un collège ou un lycée, puis continuer par un fanzine et (summun pour celui qui rêve de ça) être publié par un éditeur. Mais avant d'en arriver là, il faut du temps et c'est normal (déjà que la production BD est énorme, si on publiait n'importe quoi, qu'est-ce que ça deviendrait? Enfin, on a déjà sorti des BD "L5" et "Star Academy"; donc, finalement, ça a déjà un peu commencé...).
Tout ça pour dire qu'on passe tous par différentes étapes. Certains choisissent l'auto-édition et je dis "pourquoi pas?". Surtout que d'après ce que nous dit grazo -à part en étant plutôt aisé-, ça a l'air d'être pas mal la galère aussi. Certains ont encore la chance d'éditer périodiquement ou d'avoir été édité. Si l'on veut, j'ai moi aussi déjà publié (en collaboration avec 4 autres personnes); puisque mon nom ainsi que les références de l'album figurent sur le site de la Bibliothèque Nationale de France. Or, je peux vous dire que cet album (censé être tiré à 5000 exemplaires et distribué dans toutes les écoles et collèges de la région PACA) est pour moi une pure merde. Enfin, c'est vrai que j'exagère et qu'il s'agit plus d'un outil publicitaire que d'une réèlle BD, mais, en tous cas, ça fait une expérience; et l'expérience, dans ce domaine, est une chose très précieuse...
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Ah, au fait, personne n'a parlé de Ydel je crois... Voilà donc l'erreur réparée :
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