Vous n'êtes pas identifié(e).
Tu dessines, point, tu nais avec un crayon dans les mains, d'autres c'est une guitare, tu prends pas ta gratte à chaque fois pour te faire applaudire, je sais pas.
Chapeau a ces pauvres mamans qui ont recours à la chirurgie reparatrice après tout ça !
sans argumenter pendant des lignes, je ne pense pas que la télé-réalité ait quelque chose à voir ici.
toi Swan, apparement tu te poses pas trop de questions sur certains trucs (tu n'es pas le seul et ce n'est bien évidemment pas un mal) mais ça veut pas dire qu'il n'y a pas de réponses.
après, l'utilité de connnaitre la réponse, c'est un autre débat...
Peace & love attitude
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sans argumenter pendant des lignes, je ne pense pas que la télé-réalité ait quelque chose à voir ici.
toi Swan, apparement tu te poses pas trop de questions sur certains trucs (tu n'es pas le seul et ce n'est bien évidemment pas un mal) mais ça veut pas dire qu'il n'y a pas de réponses.
après, l'utilité de connnaitre la réponse, c'est un autre débat...
Mais qu'est ce que tu veux que je me pose des questions ?
Qu'est ce que tu veux que je m'enquiquine à allé démarcher des éditeurs pour me voir publier un album ? Pour me le faire démonter sur bdparadisio par une bande de connards qui ont rien d'autres à foutre que de tapper des conneries sur un clavier à longueur de journée ? Franchement.
Quand je vois certains auteurs j'ai l'impression de voir les fausses stars de la réal tv, celles qui se font 150 000 balles la semaine pour montrer leur cul dans une ferme. Pareil.
Maintenant on fais des bouquins sur le milieu de la bd.
tel auteur copie le style de machin, rholala, po bien.
Et l'auteur qui répond "même pas vrai gnagna"
Absolutely fabulous franchement non ?
"C'est vous qui voyez"
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Tout à fait d'accord avec les propos de Swan et El Yanosh; tout est dit, faisez vou plaisir et au pire allez de l'avant dans le dessin/scénar, le reste il vient s'il doit venir.
I'll face the pain with open mind,
Coz' otherwise I'd die inside
The perfect irony in life
I know the answer to the future,
Now is to be solved by us
The seven pilgrims of mankind
Manticora - HYPERION
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Quelque part, la "reconnaissance" n'est qu'un mot, donc un concept, donc une illusion. Et dans le fond, pour moi seul prévaut le travail. Donc, en tant que tel, le terme "reconnaissance" mérite-t-il qu'on y consacre un post?
A vrai dire, je ne le sais pas, j'irais même jusqu'à dire que j'en douteà Et pour autant, je ne puis m'empêcher d'avoir envie de contribuer au débatà Paradoxe? contradiction? Quoi qu'il en soit, allez, je me lance. Accrochez vos ceinturesà
Perso, dans ma démarche, (je ne m'autoriserai pas à parler en ce domaine au nom de mon coauteur), je vois plusieurs niveaux différents de reconnaissance, dont l'importance est extrêmement variable. Rappelons pour l'anecdote que l'écriture est mon activité exclusive depuis bientôt 7 ans (et 5 à quatre mains).
-La reconnaissance d'un éditeur ou d'un producteur? J'ai passé l'âge de croire au père noël. Si un jour un éditeur me voue une certaine reconnaissance, ce sera grâce au pèze que je lui aurai permis de gagner. Ce n'est pas que ce soit mal, mais c'est quelque part accessoire. D'un autre côté, cette hypothèse implique également que j'aurais moi aussi touché des fruits matériels de mon travail. Pas essentiel psychologiquement, mais matériellement, ce ne serait quand même pas du luxeà
-La reconnaissance du public? Si je l'avais cherchée, je n'aurais pas été bassiste dans une vie antérieure, j'aurais tout fait pour être frontman. De même, je n'aurais pas choisi de pisser la copie dans mon bureau-enfumé-parce-que-dehors-il-fait-trop-froid-pour-que-j'aèreà
-La reconnaissance de mes proches? Ahà Là, sujet sensible. Le problème ne se pose pas au niveau de mon épouse, mais plutôt de ma proche famille (bien que j'aie bientôt 42 berges). Je sais que cette génération est matérialiste, je sais aussi qu'ils se demandent tous quelle mouche me pique ("à ton âge !") de persister dans une voie qu'ils considèrent comme économiquement non viableà Je sais enfin que tant qu'ils n'auront pas un "produit fini" entre les mains ou sous les yeux, ils considéreront que je n'ai toujurs rien foutuà Et encore, le "produit fini" est pour eux une condition nécessaire, mais non suffisanteà Il leur faut "le succès"à Bon, sur le principe, je n'ai pas de comptes à leur rendre, mais d'un autre côté, je les aime, et je n'aime pas les voir se faire du mouron pour moi, alors que -fric ou pas fric- je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie.
-La reconnaissance de mon coauteur. Ce qui fait qu'il a toujours envie de bosser avec moi, et qu'il est toujours heureux que je l'aie attiré hors des sentiers battus de la vie professionnelle vers les pistes de l'écritureà Là oui, c'est du lourd, et ça compte pour moi.
-La reconnaissance des dessinateurs qui travaillent avec nous, enfin. Le fait qu'ils apprécient notre travail et se font plaisir à mettre en image nos billevesées. Ãa c'est très, très important.
En fait, les deux derniers points sont essentiels pour moi. Ils sont une partie du moteur qui m'anime, et m'incite à travailler toujours plus pour faire que chaque jour soit un apprentissage sur la voie d'un travail, et par extension d'une vie, encore meilleurs.
Voilà, j'ai été un peu long, mais j'avais envie de partager cette opinion avec vous. Elle vaut ce qu'elle vaut, et bien sûr chacun est bien entendu libre, et à juste titre, d'en penser ce qu'il voudra.
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très beau témoignage que celui d'Inquz. Cela vallaait la peine de le lire.
Alors j'élargis un peu le sujet, en étant un peu provocant (mais aussi auto-critique): au delà de la reconnaissance, écrivez-vous et/ou dessinez vous pour compenser une déficience dans un autre manque d'expression ? :kevil: Le smiley est de rigueur parce que cela peut paraitre un peu tranchant comme question.
Je m'explique: depuis tout petit, je dessine, seul dans mon coin. J'ai très longtemps été timide, un peu associal, renfermé, solitaire. Alors j'ai dessiné et écrit, pour moi et ma famille. Et beaucoup. La timidité m'ayant fichu la paix vers mes 20-25 ans, j'ai progressivement laissé tombé le dessin, jusqu'à ne plus dessiner du tout et perdre la main. Une constante: je ne suis pas à l'aise pour les grands discours, et donc j'ai une déficience dans le mode d'expression orale.
Par la suite, après mes études, j'ai écrit, écrit, produit des rapports, encore, encore et encore, et très vite, en français et surtout en anglais. A présent que l'on me demande moins d'écrire mais plutôt d'agir, j'ai un manque et je me remets à écrire des scénarios pour BD (impossible de me remettre au dessin, cela fait près de 10 ans et j'ai plus le temps) pour compenser.
Bon, ce post est ultra perso et m'économise une visite chez un psy que je n'aurais de toutes manières jamais faite mais je suis persuadé que beaucoup sont dans mon cas. Je ne sais plus qui ici se qualifie d'ex-autiste. :ksantabud:
Allez, je vais terminer ce tome 1, le dessinateur que j'ai contacté veut en savoir plus, même si il n'est pas officiellement disponible. a+
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Je suis trés sensible aux deux précédents témoignages...C'est sûrement aussi du à une proximité d'âge et je pense que cela pèse beaucoup lorsqu'on aborde le thème de la reconnaissance(entre autre)...Moi j'ai 35 ans et je me suis fait ratatiné des dizaines de fois au point de laisser tomber comme beaucoup d'autres pendant pas mal de temps les crayons....Et puis le regard condécendant de la famille proche et moins proche, les sempiternelles phrases du style "tu fais quoi de la bd! ça sert à quoi tu gagne combien,...Blah Blah Blah...avec ta licence pourquoi t'as pas fait prof?) :kevil:
Et puis le temps qui passe les enfants qui arrivent et quoiqu'on en dise le doute, l'amertume parfois (si on est d'un naturel condition anxieux comme moi...) et la nécessité d'avoir un boulot alimentaire...
Tout cela influe sur le besoin de reconnaissance (si minime soit il) dont à besoin tout créateur et même être humain engagé dans la société (je ne parle pas de politique politicienne mais bien au sens grec de la vie dans la cité).
En même temps je ne me voyais pas du tout comme certains de mes potes faire l'impasse sur sur une vie sociale, car même si je suis un ours j'aime les gens et les renconterer une fois le temps... Célibataire, vivre en coloc sous prétexte d'atelier bd en commun, tout orienter vers la bd et l'illustration au point de devenir un devenir un moine stacanoviste dont les sujets de conversation se limite au grammage du papier au dernier Bédéka, ect ect (lieux commun sur lesquels c'est pas la peine de s'étendre) pas pour moi je ne peux pas. Et je ne parle pas des conditions financières dans lesquelles vivent certains... Tout ça pour percer être reconnu...Le prix a payer est trop lourd et puis en voulant rajouter du glamour au côté libertaire de la condition d'artiste on se trompe de cible ...Les éditeurs il n'attendent que ça que vous fonctionnez à la reconnaissance (parce que c'est pas pour votre cousin ou votre concierge que vous bossez c'est pour eux malheureusement) Le jeux est faussé d'avance ils ont le fric vous avez le talent qui va gagner si en plus vous ête en qu^ête graalistique des lauriers de l'auteur qui dédicasse en festival c'est cool c'est vrai en surface en profondeur vous faite de la promo gratuite pour le grand mufti des doublons, ce qui n'arrive quasiment jamais ailleurs...Si en plus vous rajoutez le jeunisme permanent qui règne dans le milieu (attention coco t'as passé 25 ans comme au foot tu ne vaux plus grand chose sur le marché!). Aute chose aussi , et cela a été abordé dans le post sur la critique constructive, plus vous entrerez dans ce milieu et plus vous verrez qu'il fonctionne en grande partie sur l'hypocrisie, et je parle bien des auteurs entre eux!! J'ai rarement vu (a part chez les VRP peut être) un groupe d'individus pouvant se casser les uns les autres avec autant de violence (cf BD Paradiosio qui en est l'ultime caricature) et je pense que c'est parce qu'il foncionne trop en vase clos tournant autour de son nombril, entre merde la bd c'est de l'art quand même !! Et Oui mais on n'est pas comme ces artistes contemporains tout de même (bo(b)do´ Vs Bang au stadium ce soir...)alors je vous dis rien à foutre de la reconnaissance en tant qu'objectif de métier!! Bullshit tout ça!
La seule reconnaissance respectable est celle du public (et encore quand je vois l'engouement pour la télé réalité j'ai des doutes sur l'éclairage du public?!?), mais ce ne doit pas être le moteur de la création. Maintenant il faut faire des compromis , il n'y a pas d'art sans monde de l'art et donc sans argent... Amertume aigreur sûrement parfois réalisme aussi!
Contrairement à ce qu'a dit Corriveau (bien que je comprenne le sens de sa pensé) je ne pense pas la pute en m'intéressant à différentes collections et en adaptant mon style en fonction de cela. A moi de trouver le juste milieu en ne dénaturant pas mon graphisme (et là je pense à qq'un de proche au violon qui y arrive trés bien , parce qu'il fonctionne à l'envie, Obion qui a une série pure Héro´c Fantasy, et sort en même temps une série Humour chez Delcourt,Mike aussi peut faire cela...) et en n'acceptant pas toutes les dérives (ce que je viens defaire en en n'acceptant pas les critiques trop accerbes d'un éditeurs et ne voulant pas modifier mon dossier dans une direction qui ne me convenait pas, fierté? oui! mais pas couillon non plus!) detoutes façon si vous plaisze à un éditeurs il vous le fera savoir et ne lâchera pas le morceau comme ça (mais tjrs en gardant le controle en vous faisant poireuter et recommencer votre dossier plusieurs fois, ce que vous ferez sans dicernement si vous fonctionnez trop à la reconnaissance le talon d'achille des auteurs!!)
Fonctionnez à l'envie (comme Swan, mon héro, mon modèle de détachement...).
bordel!
Dessinez, écrivez et vis versa avec les moyens et la disponibilité qui est la votre et si vous estimez que c'est as trop mal n'hésitez pas à montrer vos boulots sans vous prendre la tête (y a tjrs un meilleurs que soit)...Et le site BDA est là pour ça!!
Contrairement à d'autres...
a+
lol la colère :knana:
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Oui enfin détachement, comme tu y vas.
Publier un album c'est cool, c'est le côté vip concour de bite en festival qui est emmerdant.
Quand tu commences à vendre tu rentres dans une spirale, les critiques te cassent si tu fait pas dans l'intello, on te classe dans un clan ou un autre, tu crée un blog pour répondre aux attaques des niaiseux, bref c'est la spirale.
Sans compter la paye, si on peux appeler ça une paye, effectivement.
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Et alors le coup de l'âge ça ça me fait bien marrer, genre à 25 ans si t as pas publier t'es un has-been, mais mdr franchement.
L'album, tu le fais pour les autres ou pour toi ? Si on part comme ça tu fais plus rien.
Pour ça que la reconnaissance... plus tu montes haut plus la chute est rude.
Dessiner pour sa propre guele et être fier de son dessin c'est toi ton premier public.
"C'est vous qui voyez"
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Pour moi la reconnaissance, c'est une sorte de remerciement pour un acte, une parole, un écrit, une bd qui nous as réellement transformé et aidé a devenir autre chose. C'est un fait plutot rare en réalité. Avez-vous déja connu ce genre de transport avec l'oeuvre d'un BDA ?
Etre connu découle d'un autre sentiment ou besoin. Ce sentiment peut trouver ses racines dans un profond mal-être, dans ce cas difficile de condamer le phénomene, ou bien sûr venir d'un egocentrisme particulierement exacerbé.
En revanche avoir un public qui reçoit ses oeuvres, les lits, les commentent c'est assez important. Ca motive pour continuer d'une part et surtout ça nous evite de pratiquer la bande déssiné comme une activité sterilement monomaniaque.
Ma femme n'a peut-être jamais lu ou regardée une seule de mes productions, ma famille non plus mise à part mon cousin. BDA m'a permis d'avoir des avis et m'a encouragé a continuer. J'ai de la reconnaissance pour l'ensemble des membres de BDA, merci a tous
En même temps comme l'a souligné Swan (le détaché si si ) publier un album c'est cool (surtout quand on aime le livre en tant que support ahhh le support papier quel chaleur et quelle fierté sur l'étagère)...
Et puis je dis beau coup de choses sous le coup de la colère...
lol el lâche :kclap:
sauf quand je parle de la casse dans le milieu là je déconne pas c'est affligeant par moment mais il y a aussi de bonnes rencontres c'est comme partout...
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Hmmà Pour ce qui concerne la casse, je crois que malheureusement dans tous les milieux c'est pareilà Ãa doit tenir de la nature humaineà (hélas?)
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La reconnaissance, pour moi, c'est de voir que des lecteurs aiment ce que je fais.
Quand j'ouvre, fatigué et énervé par une journée de travail, ma boîte mail et que je trouve ça :
Bonjour Monsieur Philip.
Je m'appelle ****, je n'ai pas de pseudonyme mais je peux en trouver un, j'aime bien les lapins, j'aime bien les trucs débiles, j'aime bien les lapins débiles, j'aime bien les pléonasmes. Mais pas les fourmis, les fourmis sont des animaux répugnants. J'aime bien ce que vous faites, par conséquent.
Bien : j'ai passé deux heures à lire des épisodes de Lapin, là, et il est tard maintenant, et j'ai un rendez-vous important demain matin, et je pense que quand je vais me mettre à rire comme un poney toutes les cinq minutes, demain matin, pendant mon rendez-vous important, eh ben ça ira pas, et si j'explique que mais non c'est à cause du yaourt qui met des patch qui puent dans le frigo et de la boîte de conserve qui dit blok, eh ben ça ira pas encore plus.
Donc j'aimerais bien recevoir tout les jours mon Lapin ; par petites doses, ce sera moins virulent, et ça m'évitera de gâcher des rendez-vous importants comme ça à l'avenir en me mettant dans des états improbables.Ah oui, comment j'ai connu Lapin : ben j'ai tapé "forum" dans Google, et le quatrième lien, c'était vers Lapin. Ce qui ne laisse pas d'être étonnant. En même temps, en latin, forum, ça veut d'abord dire "marché" et "place du marché", et au marché on va acheter le lapin du dimanche, alors c'est normal. Si l'on pose que Google est tenu par un latin. Bien entendu. Et que la tradition du lapin du dimanche est universelle.
Je suis vraiment très fatigué.
Je vais donc me coucher, en vous saluant bien, même si vous avez le même prénom qu'un des 2be3. Et en vous disant encore que c'est chouette, ce que vous faites.
****
ça me remonte ma journée grave !!!
Ou ça :
Pour info, j'ai rencontré Lapin parce que j'ai un ami culturisé, intelligent et généreux, j'ai nommé le seigneur *****, que je ne remercierai jamais assez pour ce cadeau.
Voilà, ça y 'est enfin! J'ai lu les 992 épisodes de Lapin!
Lapin est désormais mon Maître. Je sacrifie une plaquette entière de beurre tous les jours devant son autel, je remplace tous les 'lol' stériles par des 'muhahaha' harmonieux, je rajoute toujours plus de boosters et je prends des bains de bière !
Lapin est beau, Lapin est grand, vive Lapin !
Pour marquer mon total assujettissement à Lapin, je veux prendre du Lapin in my face tous les jours que Lapin fait !
Phiip je t'en supplie donne-moi ma dose de Lapin quotidien à cette adresse pas trop pourrite : ***@***
LAPIN JE T'AIME!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Des vraiment beaux et gentils messages comme ça, j'en reçois un ou deux par semaine.
Et il n'y a rien qui me remonte le moral (et qui nourrit mon égo aussi, hein ? faut toujours penser à l'égo) plus que ça !!
Phiip ?
Oui ?
le portail lapin : 2000 bds disponibles depuis le 05 mars 2005, 9 séries régulières !! Dont la moitié de lapins, certes...
le Zine Lapin, plus de 700 articles idiots, 6 romans complets. A faire : le test lapin.
Et lapin en anglais, c'est rabbit comics.
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J'imagine bien que c'est cela qui te fait fonctionner Phiip !Quand on voit la production que tu nous sors, si tu ne le faisais pas pour recevoir de temps en temps un peu de reconnaissance, ça deviendrai carrément du masochisme à ce niveau là ! lol
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J'imagine bien que c'est cela qui te fait fonctionner Phiip !Quand on voit la production que tu nous sors, si tu ne le faisais pas pour recevoir de temps en temps un peu de reconnaissance, ça deviendrai carrément du masochisme à ce niveau là ! lol
c'est pas la reconnaissance qu'il cherche Phiip, c'est la domination totale du monde ! (d'abord du monde numérique puis du monde !)(d'abord du monde numérique des strips puis du monde numérique puis du monde !) (d'abord du monde numérique des strips francophones puis du monde numérique des strips puis du monde numérique puis de monde !)
egg -- et oui
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la reconnaissance, ca fait du bien Õ son égo, nous avons tous besoin de reconnaissance pour avancer, dans n'importe quel domaine ...
mais dans notre cas la reconnaissance entraine la notoriété
et ca c'est autre chose ...
dès que tu atteinds une certaine notoriété ta vie peux changer...
c'est le début des emmerdements
tu n'es pas reconnu pour toi même mais pour ce que tu représentes
on te sollicite pour 3 sous, on te fréquente parce que "ca fait bien" tout le monde te dis "bonjour" alors que tu ne connais pas ce "tout le monde" donc on te casse si tu ne dis pas "bonjour" et soit tu prends la grosse tête et tu es mal vue, soit tu acceptes et tu te fais exploiter, soit tu l?ignores et peut ëtre que tu passes Õ côté de cette agréable reconnaissance...
la reconnaissance c'est la cerise sur le gõteau, la notorité c'est l'épée de damoclès
Mon site perso
et ma page facebook qu'il faut aimer les mec !!! https://www.facebook.com/pages/Kari-cat … 9201377621
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gna gna gna gna gna, c'qu'on veut c'est du pognon ouais
they laughed as I integrated / I laughed as they disintegrated
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Ouai du pognon ! Plein de pognon, et une piscine avec des femmes nues autour ! ouééééé !
Quoi que... pour atteindre ce genre d'objectif, je pense qu'il vaut mieux devenir chanteur de rap que dessinateur de BD.
Non, je ne pense pas que nombreux soient les dessinateurs de Bd qui "souffrent" des effets néfastes de la reconnaissance...
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