Vous n'êtes pas identifié(e).
Je crois que ma faiblesse en scénario est de mettre de l'Action. ça s'éternise peut-être un peu... trop de dialogues pas assez d'action. mais on dirait que je peux pas faire autrement... j'ai l'impression que tout ce que je fais dire aux persos doit être dit... même si ça enlève de kl'action... pour bien comprendre.
peut-être parce que je suis pas un fan des BD qui ont un dénouement trop simple... faut faire simple pour qu'il y ait de l'Action? aidez-mouâaaaaaaa!
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bin, ça dépend de la belette ma poule ! si elle passive, pour de l'action, t'auras de l'action.....si elle est active, yeahaahahahahahah ! top ouane de l'action !!!
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Y a un sujet pour les générateurs d'aneries ma foogynette!!!
Pour ce qui est de l'action... dans le scénario et bien c'est important quand meme, ça peut permettre au lecteur de ne pas s'endormir! les scénaristes controles toujours le rythme de l'histoire... pour gèrer au mieux et respecter les doses de suspence, d'action... temps mort et autres ébats..."littlelesque"
.
Alors tu peux mettre beaucoup de dialogue, mais de temps en temps glisse une peau de banane... ou un truc avec des pong, des bong, et des des tongawa!!! pour dynamiser l'histoire.
(en fait, j'en sais rien... je ne suis pas spécialiste en la matière!!
)
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Tout dépend aussi de la longueur de ton s.... (Mais non Foogy, je parle juste de scénario ! )
Si tu bosse pour un album, il faut conserver une sorte de rythme qu'on retrouve fréquemment.
- 3 pages de blabla
- 1 page d'action/révélation. C'est en général sur ces pages que s'articule ton histoire. En fait, un album peu se résumer bien souvent à ces pages, en général une 10-12zaines d'évennements qui font toute l'histoire.
Nicodrën, le korrigan de Kernevé
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Je ne susi pas de cet avis, évidément il faut un peu d'action, mais il ne faut pas non plus se forcer à en mettre, surtout si ç agêne l'histoire, j'ai personnelment le même problème avec un scénar, une fois fini, je me disais qu'il ya avait vraiment pas ssez d'action le stomes, mais en les relisant, ma foi, ils sont géniaux ! Parce que l'histoire et le déroulement se suffisent à eux mêmes.
Moi je dis, faut écrire comme ça vient, avec ses tripes, petit exemple, "le triangle secrte" question action c pas génial, pourtant c'est une très bonne BD.
Bein evidement, d'un autre côté, pour compenser, je fais des bd ultra violentes.... B)
Pour résumer, mon credo reste "il ne faut pas faire ce que les lecteurs aiment, il faut qu'ils aiment ce que l'on fait"
Peace & love attitude
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Bah je suis moyennement d'accord avec toi Amentet (étonnant non ?)
Ce que je veux dire c'est que c'est pas mal aussi de caresser le lecteur dans le sens du poil pour mieux le prendre à revers.
Prend un scénario comme celui de "Seven" par exemple, au début ça reste du grand classique, ok on a le concept des 7 pêchés capitaux etc, etc...
Là ou ça deviens vraiment tordu, en tout cas à mon sens, c'est quand le tueur se présente de lui même au flic. Et qu'ils leur réservent une surprise finale complètement en rapport avec le concept originel du film (le dernier pêché avec l'envie, sous entendu, buter le tueur ou pas).
Je veux dire on part sur un scénario somme toute classique et on termine sur un truc complètement tordu.
Stephen King dans ses romans fait un peu la même chose, il pose le decor, toujours d'une banalité affligeant (petit bled, petites gens, petites ambitions) et il s'accroche ensuite à un détail pour en faire un truc complèement monstrueux (lire le roman "Bazaar" par exemple).
Pour une BD je crois que c'est pas mal d'assomer un peu le lecteur, de le confortter dans ses croyances pour se demerder ensuite à le faire se remetre en question.
Pour moi une bonne BD c'est une BD qui me dérange, qui me gêne et me force à me poser des questions et surtout à me remettre en cause sur des certitudes que je croyais acquises. "Black Hole" par exemple en le lisant m'a permit de meiux cerner la réactions au quotidient de personnes se trouvant confronter au problême de la mutation.
Donc pour en finir et revenir au sujet d'origine je pense que par exemple faire trainer une histoire sur 50 pages en installant une atmosphère assez lourde et faire une 51 et dernière page très violente peut être une très bonne chose (type "Seven" même en faisant sauter les passages d'actions dans ce film, la scène finale reste un must et porte le film à elle toute seule).
Voili, voilou.
<!--EDIT|SwaN|mardi 29 octobre 2002, 00:37-->
"C'est vous qui voyez"
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je ne vois absolument pas le rapport avec ce que j'ai dit... <_<
En tout cas je vois pas le rapport avec le fait que tu sois pas d'accord, j'ai jamais dit qu'il falllait faire classique et pas mettre d'action.
En plus moi aussi je fais des effets "surprises" donc, je ne vois pas ce que je viens foutre dans cette histoire !
en plus,e ne prenant du recul, apparement, nos avis concordent (grosso modo, scène sd'action eparpillées pas strictement necessaires)
Peace & love attitude
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Ma réaction viens de ta phrase :
"il ne faut pas faire ce que les lecteurs aiment, il faut qu'ils aiment ce que l'on fait"
Perso je pense tout le contraire, il faut faire ce que le lecteur aime et attend jusqu'à le desarconner et en faire ce que l'on veux.
là, c mieux ?
"C'est vous qui voyez"
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Je ne pense pas que le problème soit " mettre de l'action ou pas ".
Un bon scénario, c'est avant tout une narration qui a du RYTHME et qui ne lasse pas le lecteur (c'est surtout lui qu'il faut considérer).
Le rythme ne dépend pas forcément de la présence ou non de scènes d'actions : il dépend de la capacité du narrateur à varier l'action et les atmosphères, à parvenir en haleine le lecteur en dévoilant petit à petit les clés qui permettent de comprendre l'histoireà
La présence de scène d'actions dépend aussi du type de BD ; dans une bd humoristique ca me paraît pas forcément nécessaireà. S'il est justifié d'en mettre, il ne faut pas le faire gratuitement : à mon avis, une scène d'action bien faite doit aussi apporter qqchose à la narration.
Voili, voilo.
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Mais didiou!! "mettre de l'action" c'est donner du rythme à ton histoire!!! le terme "action" n'est pas uniquement destiné aux coups de poing du superhéros qui va sortir de derrière un buisson!!
On entend par "action" : "évenements-mouvement"... donc rythme! non ??Une histoire sans "action" est un genre de narration avec description des situations ... et des personnages. (ex: En contemplant le hall du muséum, Bob repensas au jour où.... il faisait froid et il avait terriblement mal à la tete...) Pour mettre de l'action dans la phrase ci-dessus, il faut que dans la scène (case) du hall du muséum, tu rajoutes une mini case "gros plan" sur Bob ou on le voit se tenir la tete (migraine) et tu fais dire à Bob : "Ah! ça me rappelle ce jour froid..."
Je pense que le mode narratif tue un peu "l'action" car on raconte et on illustre l'histoire. Tandis que si tu arrives à minimiser la voix "off" et à bien doser ce que va dire le personnage et ce qu'on a pas à lui faire dire parce que le dessin le fait... et bien là tu aides ton lecteur à rentrer dans l'histoire ... y a de l'action... pas trop de blabla... c'est donc moins chiant à lire
C'est toute la différence entre une bonne BD et une pas bonne!!! Le dosage des mots, des images, des actions des temps morts....
Je suis de l'avis de Swan... nous écrivons et dessinons pour etre vu et lu, pour les autres... Amentet, ça m'étonnes que tu écrives des histoires en aucultant le fait qu'elles doivent etre comprises par ceux qui te lisent!!!
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Ca n'ajoute rien au débat mais je suis toutà fait d'accord avec Zanapa !
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Swan> oiui, ca va mieux comme ça
Zanapa> attention, tu m'as mal compris, moi je fais le maximum pour me faire comprender par le elcteur, d'ailleusr, en passant, ej susi du même avis que toi pour la voix off, moi je la mets que quand c'ets vcariment indispensable, par exemple, si le type pense tout un truc très long.
Pour en revenir a notre histoire, par, "il ne faut pas..." j'entend qu'il ne faut pas se conforter aux modes du lecteur uniquement, par exemple, en ce moment, l'heroic fantasy marche bien (je crois, je suis spas sur, en tout cas, y'a pas longtemsp ca cartonnait), et ben c pas pour ca qu'il faut se dire "tiens, je vais faire de l'HF ".
Voila, voila, en fait je disais ça de manière générale, ça n'a un peu rien à voir avec le sujet mais bon...
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Désolée amentet si j'ai mal compris mais il faut que tu saches que c'est ma spécialité de mal comprendre !!! Si, si... ça m'arrive souvent!!!
D'un autre coté, comme au festival de St malo... on m'a fait la remarque "pensez au lecteur! il ne détient pas toutes les informations du scénariste", je me permets d'insister sur ce point!!!
Mea culpa.... mais je la referai surement....
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y'a pas de mal !
Bah, le lecteur on s'e fout, c un con inutile (le type qui tient à la vie, lol)
Ouais, cela dit, encore heureux qu'il connaisse pas tout, sinon, y'auarit plus de mystère.
Evidément, il y a un juste milieu, cela va sans dire...
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alors voilà: il est clair qu'il ne faut pas submerger le lecteur avec de long discours à la Black et Mortimer sinon, il risque facilement de décrocher... Cela dit, il ne faut pas forcément équilibrer le rythme de l'histoire en y mettant une bonne scene d'action au rythme accéléré... En fait, comme l'a dit, euh... je ne sais plus... dans un message avant, ça peut être tout simplement l'illustration de ce qui est dit... ce qui me permet de donner ce bon exercice de scénario: c'est tout bêtement de se forcer à faire quelques histoires en muet... même adapter un scénario avec énormément de dialogue en une bd muette... ça permet de créer des cases qui se comprennent du premier coup d'oeil, on est obligé d'enlever tout le superflu... de plus, ça permet de bien travailler incosciamment son sens du rythme et des éllipses...voilà... Petit à petit, ça permet une grande liberté... a un moment, j'adorais tellement ça que sans le vouloir je ne faisait que du muet... Ensuite, quand on prépare une histoire avec dialogue, on peut aisément jongler avec les deux pour équilibrer le rythme du récit...
voilà...
Mon blog: TOUJOURS VERS L'OUEST
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ah oui! ça c'est pas une mauvaise idée les scànes muettes! faudra que je voies ça... en fait, quand j'y pense, j'en fais beaucoup dans un autre scénario sur lequle je bosse et ça me satisfait +... mais bon, c vrai qu'il ne faut pas en abuser mais c un bon tuyau
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Bon, ben moi j'ai autre chose à dire.
J'ignore si cela répond à l'interrogation initiale, mais je me risque.
J'ai (encore) des cours de scénario cette année. Ca fait la quatrième, mais ces cours sont taf différents de ceux de St-Luc. Ils sont destiné avant tout à la production d'une vidéo (court métrage en 3D).
La seule chose qu'on nous y a appris de manière théorique, et je crois que c'est vrai aussi pour la bd, c'est ceci:
"Protagoniste - But - Obstacle"
Parait-il qu'aucun scénario ne tient, n'intéresse un quelconque lecteur ou spectateur si il ne contient pas:
-Un protagoniste
auquel on s'attache. On doit ressentir un lien (que ce soit par amitié ou haine, il doit y avoir un lien fort), entre lui et nous pour qu'on s'intéresse à son sort (empathie)
-Un but
que le protagoniste poursuit, qui va nous tenir en haleine: c'est CA qu'on va chercher à atteindre. Le but doit être intéressant.
-Des obstacles
qui vont rendre difficile la progression vers le but, et qui vont nous faire trembler pour le protagoniste.
...et on peut faire varier cette structure à l'infin, avec ou sans action.
Exemple: le film "Les vestiges du jour" qu'on nous a présenté en classe ne contient pas un gramme d'action, n'empêche que beaucoup d'élèves l'ont apprécié. "Cube" par contre, qui contient beaucoup plus d'action en a ennuyé plus d'un: les obstacles n'étaient pas assez forts/variés/nombreux pour rendre intéressant le but, on s'est lassé.
J'ai l'impression intuitive que l'action est plus un "genre". On sait ce qu'on attend d'un film ou d'une bd d'action, et on s'attend à ce que l'ensemble de la bd soient décliné sur ce mode. Faire intervenir deux ou trois planches d'action, juste pour en mettre, dans une bd plus calme risque de faire apparaitre ces planches comme des étrangères à la bd. Elles doivent être partie intégrante, bien amenée (indissociable) de l'histoire pour ne pas choquer...
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J'ai tendance à penser comme doc foloweb aussi, et c'est valable pour tout y compris une planche à gag typique...
on améne vite le lecteur dans l'histoire... genre une grande vignette, en principe il connait le personnage (série en général), on l'améne sur une fausse piste par exemple, et la chute est imprévisible...
La plupart de mes gags Kaspeep sont sur ce schéma...
Là il n'y a pas forcément d'action même si ça bouge, il y a du rythme, et à mon avis, c'est plus ce qu'il faut donner en BD... l'action c'est juste une des péripéties de l'histoire... à moins de faire de la bd juste pour montrer de la baston en continu...
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Je suis assez d'accord avec Tym ! et " les recettes " de Dr Folaweb
Pour éviter toute méprise sur ce que j'ai ecrit, quand je parlais rythme, ca ne voulait pas dire de mettre des dialogues à la pelle. Ca veut dire varier la narration, varier les lieux, donner des indices, introduire de nouveaux faits et personnagesà..
Tout ca peut se faire sans mettre trop de dialogues et sans placer systématiquement des scènes d'action.
Voilà ce que je voulais dire et que j'ai surement mal dit ! !
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Note que ces "recettes" (j'apprécie les guillemets) semblent A CHAQUE FOIS SE VERIFIER. Ce ne sont pas des recettes en fait, mais presque un constat.
Cela ne sert pas à faire des histoires qui réusissent à tout les coups, mais les histoires qui marchent répondent à ces critères (j'ai aucun contre exemple)...
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J'suis d'accord, d'ailleurs, quand on applique des recettes, le résultats est en général garantie
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les scénaristes controles toujours le rythme de l'histoire...
Les scénaristes controlENT... hihihihi je fais le malin mais en fait moi c pas mieux
Sinon pour répondre à Antoine je dit que ça dépend...
Grnx
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