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bah j'en ai bien peur swan...les librairies spécialisées, de par le rouleau compresseur que font subir les grosses maisons d'éditions, laisse de moins en moins de place aux labels indépendants. les petits formats, qu'ils soient en N&B ou en couleur sont quasiment rejetés...je connais pas mal d'auteur dans le même cas que moi...place à la fantasy, à sfar et consors et au manga en règle générale :lewis:
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je ne suis pas tout à fait sûr... le truc c'est qu'aujourd'hui un petit éditeur indépendant doit se montrer autant pro que les autres dans sa démarche de diffusion. Car les librairies, même si elles ne veulent pas prendre de risques, s'ouvrent plus facilement aux indés qu'il y a quelques années (louée soit Marjane Satrapi, car quoiqu'on en dise, elle a popularisé la bd indé)...
Les librairies, ce qu'elles craignent, c'est plutot "l'auto-diffusion" et le dépot, même si financièrement parlant, c'est des fois plus avantageux pour eux.
Seulement les librairies sont plus à l'aise avec le système de la diffusion-distribution avec marges à la clé... c'est plus simple à gérer.
Je te parles évidemment de mon expérience. Par exemple, le Vélo 33b, pour un premier collectif d'un éditeur inconnu (le premier avait aml été diffusé justement, c'ets pour ça que je considère souvent le vélo comme 1er collectif), le livre a donc été autant placé en librairie que le Lapin de l'Asso... ce qui est très bien et prouve que les libraiires prennent des risques parfois.
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hum, tout cela est discutable...le rapport que j'avais avec les libraires était finançier, avec remise,etc...donc, nous avions un contrat moral en quelque sorte. hors, et pour avoir bavardé avec la responsable aujourd'hui même du phénomène l'association, c'est que leurs ventes ont augmentés grâce à un marketing efficace...plein de petit bouquin pas cher, et exposé façon carte postale...de plus, satrapi a une bonne image de la critique, ce qui facilite d'autant plus les ventes.
mais bon, on va s'orienter vers d'autres pistes... :khamster:
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