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#1 02/04/2011 00:54:37
699 mètres plus tôt
la Bd pour le webzine des révolution'ARTs sur laquelle je travaille en ce moment le storyboard.
C'est une histoire SF qui se passe dans le même contexte mais 400 ans plus tôt que mon autre Bd NeoTokyo.
j'ai absolument besoin de critique, surtout concernant la fin.
Il n'était pas question d'une happy-end et je crois que j'ai réussi mais c'est peut être un peu rude !
pfffiou ! je viens juste de finir de l'écrire je suis encore tout tourneboulé...je...j'ai pleuré
699 mètres plus tôt
24 décembre 2070, siège social du cnrs, paris, france.
Le professeur Prouheau, vérifie une dernière fois ses calculs. Seule la petite lampe de lecture de son bureau est allumée. L'homme est penché sur des documents scientifiques qui envahissent le bureau, son contour et les meubles disposés dans la pièce. Des armoires ouvertes, deux grands tableaux numériques remplient de formules compliquées.
Il soutient sa tête d'une main, et de l'autre, tiens un stylo qu'il mâchouille frénétiquement. Il est droitier. Il transpire et sent la sueur, ça faits des jours qu'il n'est pas sortie de son bureau. Il est une heure trente du matin. Le silence règne dans le bureau.
« Ce n'est pas possible, il doit y avoir une erreur quelque part . »
D'un geste brusque, il écarte la paperasse qui embarrasse l'écran tactile de son bureau. Il y écrit une formule avec un stylet.
« Ordinateur, calcule ! »
L'écran soudain teinté de rouge éclaire son visage. Il se décompose, il est abasourdie par ce qu'il lit, il devient livide.
« Il faut absolument que je les préviennent ! »
Bureau du secrétaire général des nations unis, new york, états-unis.
« So, calmez vous professeur Prouheau, ...annuler the mission ? You're fool !... vous dites qu'il y a une erreur dans la formule ? Voyons c'est impossible, qu'elles sont les conclusions du professeur Villier ?...il n'est pas au courant? ? Listen professeur, ce programme est commencer depuis 12 ans, la mise en application se fera tomorrow comme prévu. So, votre information doit avoir l'aval de votre département pour être validée ...vous êtes surmené mon vieux, reposez vous et tachez de profiter des fêtes ! Merry christmas mister Prouheau. »
3h00, Ménilmontant, paris 20ème, france.
Le Professeur arrive dans son appartement parisien. Se dirige en toute hâte dans la chambre, il n'enlève pas son manteau. Ouvre le placard, en sort deux sac à dos, les poses sur le lit et les bourres de vêtements chauds.
Sa femme au lit se réveille.
« Enfin tu rentres !...mais qu'est ce que tu fais ? »
« Habilles toi, il faut partir, il faut quitter paris le plus tôt possible. »
« Quoi !?! mais...et les fêtes, notre repas chez les Guellouchi ? Qu'est ce qui se passe, explique moi. »
« On a pas le temps! ...habilles toi nom de dieu ! »
« Je n'irais nulle part tant que tu ne m'aura pas expliquée ce qui te mets dans un état pareil ! »
« Ecoute, fais moi confiance s'il te plait. C'est à propos de l'événement qui va avoir lieux aujourd'hui, il y a une erreur dans la formule, ça ne va pas marcher ? je t'expliquerai en route. Mets toutes les conserves que tu peux dans des sacs et rejoint moi dehors. »
L'homme sort une boite du haut du placard, la pose sur le lit. Il vérifie la propreté de l'arme qui était à l'intérieur, y glisse un chargeur et arme le pistolet avant de le glisser dans la ceinture de son pantalon, dans son dos. Il met le second chargeur dans sa poche arrière, refouille dans le placard et met une boîte de balles dans la poche intérieure de son manteau.
« Qu'est ce que tu fais avec ça ? Tu ne m'avais jamais dis que tu avais une arme ! »
« Dépêches toi, je t'attend dehors. »
Le professeur attend sa femme.
Malgrès la neige qui tombe abondamment dehors, il fait une température agréable dans la voiture. Il y a une odeur de cuir mêlée à celle de fumée de cigarette encore chaude.
Tapis dans l'ombre et bien que le calme et le silence, seulement brisé par le bruit répétitif de l'essuis-glace, règne, il fume et à l'air nerveux et très agité.
Il regarde l'heure sur le tableau de bord de sa voiture hybride électro-diésel.
« mais qu'est ce qu'elle fout ! Une heure que je l'attend ! »
En jettant un coup d'oeil à travers le pare-brise vers la fenêtre allumé de son appartement son visage devient triste.
Puis fronçant les sourcils, déterminé.
« tampis pour elle ! »
Il démarre la voiture. Une voix demande :
« selectionnez votre carburant »
Il répond :
« électricité »
La perche électrique monte faire contact avec le grillage électrifié qui surplombe la rue.
Il démarre en trombe et s'élance sur l'avenue dans un bruit de dynamo et sous les étincelles produite par la perche.
En déboitant il renverse quelqu'un à vélo qui injure la voiture qui s'éloigne.
A bord, la voix de l'ordinateur de bord s'éveille à nouveau :
« vous venez d'avoir un accident , êtes vous blessé ? Les forces de police ont été contacté, veuillez couper le contact et attendre dans le calme. Vous venez de perdre 4 points sur votre ... »
Le professeur s'est saisi de son arme par le canon, et donne un grand coup de crosse dans l'écran de l'ordinateur de bord.
Aussitôt la voiture s'éteint puis s'arrête.
Le professeur descend, se plante au milieu de la rue et braque le chauffeur de la première voiture qui passe.
« Arrête toi ! Descend de là et fais pas l'malin ! »
Le chauffeur ne bouge pas il affiche un petit sourire narquois. Le professeur s'approche de la voiture, du côté de la portière pour en extraire son conducteur.
« Qu'est ce qu'il a, à sourire comme ça ce c... »
Au moment où il touche la poignet, il prend une décharge électrique, puis s'écroule inconscient.
Le professeur reprend connaissance dans la voiture de sa femme. Encore un peu dans les vap, il lui demande ce qui s'est passé.
Elle, au volant, lui répond qu'en descendant de leur appartement il n'était pas là et qu'elle la trouvée inconscient au bout de la rue.
Elle lui retourne la question.
Il répond en hésitant qu'il s'est fait carjacker et que son agresseur l'aura sans doute assomé.
Sa femme reste silencieuse et affiche une mine séptique.
A la sortie de la ville, elle lui demande où ils vont, il répond :
« vers les montagnes »
Plus tard, le couple s'est arrêté à une station service d'autoroute.
« bon alors tu m'explique ? Le réveil en pleine nuit. L'arme. Le départ précipité.
Tu as parlé de l'inauguration d'aujourd'hui... »
« Oui cette inauguration fait partie du projet « soleil liquide » sur lequel je travaille depuis des années.
Tu en as entendue parler ? »
« Bien sûr, ils ne parlent que de ça depuis des mois aux infos ! Ils veulent modifier l'eau pour en faire une source d'énergie. Hier ils montraient un test sur un verre d'eau modifiée. En plongeant le culot d'une ampoule dans cette eau, elle s'allumait !
Ils disent que cet événement va rêvolutionner la planète. »
« précisément, mais pas de la façon dont on croit !
Hier soir je vérifiais une dernière fois la formule d'électrification de l'eau, elle contenait une caractéristique qui n'a pas été pris en compte !
rend toi compte, soleil liquide rend caduque toutes les autres formes d'énergies : le pétrole, le nucléaire, même les énergies soit-disant propres !
dans l'aveuglement général et aussi improbable que cela puisse paraître, personne n'a pensé à vérifier les implications de la transformation de l'eau à grande échelle sur le climat !
donc, j'ai entrée la formule dans le calculateur central pour voir les prévisions du modèle climatique. »
« Que...que va t il se passer ? »
Un lourd silence, puis après un profond soupir il répond :
« ...le volume de l'eau va augmenter.
Le déclenchement des satellites, aujourd'hui à midi, va créer une réaction en chaîne qui...qui va tout détr... à partir de là on aura que quelques heures, peut être moins.
Les canalisations vont exploser, les océans, les fleuves vont déborder et envahir les terres, tu comprends ?
Le monde tel qu'on l'a connu va cessait d'exister à tout jamais. »
« ... »
A ces mots, la femme, tétanisée d'effroi, les deux mains sur le visage, s'écroule en sanglots.
Il l'a prend dans ses bras et ferme les yeux.
Il peut sentir son odeur dans son coup, des souvenirs érotiques lui reviennent.
Il ouvre les yeux.
« Aller laisse moi ta place, je vais conduire, il faut continuer. »
La voiture s'élance à pleine vitesse sur l'autoroute.
« mais il faut faire quelque chose, prévenir les gens ! »
« Qu'est ce que tu crois ? Qu'on va sauver le monde comme dans les films ? Il n'y a rien à faire, il faut partir, s'isoler.
Les gens vont s'entre-tuer pour les bout de terres qui resterons, il y aura des famines, des épidémies...
j'ai des amis qui ont une petite ferme dans la montagne, avec les gens du coin ont pourra former une milice et défendre la ferme contre les pillards.
On y sera dans deux heures, on peut y arriver ! »
« Tu as vu l'heure ? »
l'horloge au tableau de bord indique 11 heure 55
De puis ce moment, le professeur extrêmement nerveux, jette sans arrêt des coups d'oeil dans les rétroviseurs, et se répète à voix haute :
« on va y arriver, on va y arriver, onvayarriver onvayarriver... »
La femme regarde à nouveau l'horloge qui indique maintenant 12 heure 18.
Spontanément elle dit :
« Il s'est rien passé ! Haha ! »
Mais soudain la carrosserie de la voiture se met à grincer, comme si quelque chose la comprimait de l'extérieur.
« Qu'est ce qu'il se passe ? »
« j'en sais rien ! »
Puis elle vibre et fait des embardées.
« Qu'est ce que tu fais ? »
« Rien ! le...le sol tremble ! La terre tremble !! Raaah, ça devient incontrôlable !»
La voiture de devant fait aussi des embardées, puis perd le contrôle, part à droite, puis vire soudain à gauche et se fracasse contre le rail de sécurité central.
Ils traversent un nuage de débris, ils sont sur la voie du milieu, d'un coup surgit un véhicule accidenté arrêté au milieu, il donne un coup de volant pour éviter l'obstacle qui fuse comme une balle dans un cri de klaxon.
En faisant cet écart il percute un autre véhicule qui roulait à sa droite. Les deux voitures reste côte à côte quelques seconde, CHKRAAA ! La voiture de droite disparaît, arrêtée net par une autre voiture accidentée sur sa voie. Le professeur écrase la pédale du frein et tire le frein à main, trop tard ! Il frappe de plein fouet une voiture, la sienne par en tête à queue infernal, bruit de tôle, crissements de pneus.
La voiture s'arrête en travers.
Il relève la tête tachée de sang, un klaxon le fait sortir de sa torpeur, tourne la tête à gauche...la dernière chose qu'il voit est une calandre de camion poid-lourd.
FIN.
Dernière modification par zoy (02/04/2011 21:10:42)
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#2 02/04/2011 02:20:54
Re : 699 mètres plus tôt
Héhéhé yeah buddy.
C'est pas rude du tout, c'est comme y faut (en meme temps je viens de regarder un film du pote Rodiguez, le generique de fin tourne encore, alors bon... ^^ )
Nan, mais c'est bien bon. Un bon p'tit prologue pour Neo Tokyo. (dont j'attend de belles planches !)
Blog que c'est le mien. Avec des pin-ups, des tattoos, des zombies, des rockers, des pirates, de l'apocalypse. Du skate. D'la pizza & du café. Plein de café.
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#4 02/04/2011 03:26:13
Re : 699 mètres plus tôt
Attends, j'arrête les Rodriguez, et j'reprend Titanic. J'relis, et j'te redis ^^
(nan mais tu m'tends des perches pour flooder aussi, viens pas t'plaindre après 
)
Mais t'avais commencé tes planches sans avoir vraiment prevu le scenar du coup ?
( 'tain j'suis en traiin de galerer a dessiner une mouche -_- )
(ben oui, qui dit zombie, dit mouche ^^ )
Dernière modification par Shinou (02/04/2011 03:31:08)
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#5 02/04/2011 03:53:48
Re : 699 mètres plus tôt
quand j'ai commencé les deux première planche, je savais que l'eau allait montée et je savais pourquoi, mais c'est tout.
donc oui j'ai commencé en aveugle. mais maintenant que j'ai bouclé le scénar, je vais pouvoir le fignoler en faisant les crayonnés !
j'ai presque fini le storyboard. mais je sens que la scène de l'accident à la fin va m'en faire baver !!
ce que je cherche à obtenir c'est cette impression de vitesse et d'arrêt brutal d'un crash sur l'autoroute, quand le plan de vue est dans l'habitacle de la bagnole, vers une autre voiture à l'avant, qu'elle se crashe, donc s'arrête net et que le plan passe par le coté vers l'arrière en traveling rapide.
Si j'arrive à choper ça c'est bon !
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#6 21/04/2011 00:06:14
- QuakboyIII
- Chiure de gomme
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Re : 699 mètres plus tôt
Pas mal ce scénar!Pourtant,il y a des détails qui nuisent un peu au récit!Le premier,est le principe énergétique de propulsion du véhicule du professeur,un diésel-électrique;pour 2070 c'est vraiment minable!Ensuite second point le passage,où il tente de prendre un véhicule de force,à ce moment il reçoit une décharge électrique antivol qui l'assome;pour un professeur,ignorer ce détail ça ne convient pas!Enfin le dernier point,que le professeur perisse dans un accident de la route,c'est vraiment dramatique voir ignoble!Avec ce récit tu ne pourras pas faire un album de quarantes pages,tout au juste une dizaine!Restera plus qu'a voir ces planches de ce récit!Tiens j'ai un site de dessins sciences fiction jetes y un coup d'oeil et donne moi ton avis si possible!
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#7 21/04/2011 04:27:38
Re : 699 mètres plus tôt
salut, j'en conclus que tu as lu le scénar en entier, donc merci de m'avoir lu déjà
Pour ce qui concerne l'alimentation au diesel des véhicules il y a une raison toute simple c'est que justement l'histoire est portée sur l'invention (ou découverte) d'une nouvelle forme d'énergie "soleil liquide" et que pour bien mettre en évidence le coté fondammentalement revolutionnaire de cette énergie il faut la mettre en comparaison avec des ressources obsolètes comme le gasoil ou le nucléaire. En fait il s'agit de la période ou le pétrole va être abandonné.
En plus le diesel en 2070 je trouve ça pitoyablement probable donc d'autant plus intéressant, mais ce n'est que mon gout personnel pour le sale
Pour l'alimentation électrique des véhicules en ville qui fonctionnent comme des auto-temponneuses...bon, là c'est un caprice, j'avoue !
A un moment dans l'histoire, ils sont arrêtés à une station service où on pourra voir les différents carburant proposés. après plusieurs modif je vais garder ça :
les piles nuka (clin d'oeil à fallout) qui sont des gros tubes de j'sépakoi pour moteur nucléaire (utilisés par les poids-lourds)
des recharges électriques propres et des recharges polluantes mais moins chères.
et le diesel.
Pour le braquage de la caisse je me suis fais la même réflexion que toi, du coup j'ai changé...à la place il se fait tazer par la municipale.
En ce qui concerne la fin , en fait cette histoire n'est qu'un chapitre d'une histoire qui se déroule sur une échelle de plusieurs vie d'homme, j'avais prévu que ça ne ferait qu'une dizaine de planche, donc j'ai pris un malin plaisir à tuer le héros à la fin
Et en trois ou quatre chapitre je devrait normalement arriver à mes 48 pages...
si ça t'intéresse de voir les planches en préparation elle sont là
...je vais aller voir ton site
Dernière modification par zoy (21/04/2011 04:39:13)
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#8 25/04/2011 10:37:28
Re : 699 mètres plus tôt
Je m'arrête sur ce passage, particulièrement intéressant du point de vue de la technique scénario / adaptation en BD:
Malgrès la neige qui tombe abondamment dehors, il fait une température agréable dans la voiture. Il y a une odeur de cuir mêlée à celle de fumée de cigarette encore chaude.
Un passage romanesque: la BD ne peut restranscrire la chaleur ni les odeurs. De deux choses l'une, soit tu zappes ce passage au stade de l'adaptation BD et tu perds l'ambiance dont ces mots sont porteurs, soit tu les gardes d'une manière ou d'une autre (bulle de pensée du personnage, ou commentaire à part) ce qui impliquerait l'intégration, justement, d'un traitement romanesque du texte.
C'est cette deuxième solution que j'envisagerais par la suite. Tu me diras que c'est un détail, mais qui peut se révéler déterminant dans la présentation finale de ta future BD: sera-t-on dans l'action pure avec des dialogues, ou y aura-t-il aussi une dimension littéraire plus développée, une poétique de la narration et un aspect contemplatif?
Dernière modification par D. H. T. (25/04/2011 10:48:37)
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#9 25/04/2011 14:15:49
Re : 699 mètres plus tôt
c'est une remarque très pertinente.
je me sert de cette poétique de la narration quand j'écris mon scénario, déjà par plaisir de l'écriture et ensuite pour m'aider à visualiser l'image que je vais retranscrire en BD.
Cette émotion, cette sensation d'ambiance qu'on ressent avec les mots j'essaie de la traduire avec une image qui se suffit, sans aide des mots. Au risque bien sur, d'utiliser des codes graphiques qui sont mal ou pas interprété, ou que le lecteur passe trop vite à la vignette suivante sans attacher d'importance aux détails qui déterminent aussi cette ambiance.
Donc oui, concrètement il y a une perte.
Je vais quand même réfléchir à cette déterminante qu'est le rapport entre aspect contemplatif et scènes d'actions pour imposer un rythme...c'est très intéressant, merci d'avoir soulevé cet aspect des choses.
Quoi qu'il en soit j'ai pour idée de développer cette façon d'écrire dans d'autre récits, dans un style peut être plus : roman graphique.
Mais en utilisant cette méthode où le lecteur est plongé dans l'ambiance grâce à ses sens , en évoquant dans le récit : un gout, une odeur, une sensation...
Cette méthode qui n'a rien de romanesque d'ailleurs, puisque en fait il s'agit d'une méthode utilisé en PNL (programation neuro languistique) qui s'appelle : système VAKOG.
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