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Et pourquoi donc spécialement le lettrage ? il fait partie de la bd, c'est même dans la majorité des cas une composante essentielle. Un débat sur le cadrage, sur le clair/obscur, sur la temporalité inter-iconique serait donc tout aussi snobiste ?
Bonne réponse
Cependant écrire que le comic sans fait vomir et que c'est signe d'être non professionnel que de l'utiliser, je n'appelle pas ça débattre. C'est ce qui me dérange et que je trouve élitiste.
C'est comme les gens qui considère qu'un film en numérique ça ne peux pas être du "cinéma" parce que tu comprends, la pellicule c'est nettement plus pro et tout...
Ce que je veux dire, c'est que je peux trouver une BD géniale même avec une typo de merde. Bien sûr, si la typo me plait, c'est encore mieux, mais ce n'est qu'un élément parmi d'autres d'un ensemble, non ?
J'ai mon opinion sur la question et moi, c'est dans le dessin que je trouve l'intérêt de l'image BD, la typo, j'ai surtout envie qu'elle soit lisible...je trouve nettement plus important, par exemple, le style, la forme et la couleur du phylactère lui-même.
Désolé pour les typographes Je n'ai rien contre vous
Je suis un peu sur le cul de lire que des gens jugent une BD sur la police de caractères...je suis aussi sur le cul qu'on cherche des signes d'amateurisme dans un détail technique alors qu'une BD pro peu vous laisser froid (en gros on peut trouver ça nul) et que l'amateurisme peut cacher du talent, un bon scénario, etc.
Je trouve que les débats sur le lettrage c'est vraiment des histoires bidon pour faire genre je m'y connais je suis pro. Ca existe dans tous les milieux, c'est du snobisme élitiste.
Enfin vous faites ce que vous voulez
seulement dans les posts ci dessus, on ne parle pas de passionnés de BD, on parle d'éditeurs ^^
et les éditeurs, ils ont un portefeuille à la place du coeur.
Voui voui, enfin, pour moi il est clair qu'un "produit" de qualité à forcément plus de potentiel qu'un autre qui serait aussi joli de l'extérieur mais dont tu t'aperçois à l'usage que c'est creux et merdique. Enfin bon, je sais comment ça marche
Sinon en ce qui concerne l'importance du dessin, je suis tout à fait d'accord sur l'importance du premier regard. Je n'échappe pas à la règle d'ailleurs.
Cela dit, c'est pour ça que je cherche des gens qui aiment et savent bien dessiner, mais je pensais que eux pourraient préférer une "vraie" histoire qu'un simple suite de péripéties bien arrangée...
Enfin cela dit je fais déjà du cinéma underground, c'est super et ça rapporte que dalle, donc je ne compte pas trop m'investir autant dans la BD qui ne rapporte rien
Je demande pas la lune non plus, juste un petit bout de carton avec mon nom dessus je serait content
Bon allez, je vous ai assez pourri avec mes illusions, mais au moins maintenant on discute !
De mon coté, avec ma toute petite experience de moins d'1 an, j'ai l'impression que les dessinateurs veulent faire ce qu'ils aiment le plus : dessiner.. et ne pas se prendre la tête avec tout le reste...
Hé bien, Baskoy, je ne suis pas sûr que ce qui à trait à la narration par l'image soit de la prise de tête
Bien sûr, ce n'est que mon avis. Je comprend que le plaisir de dessiner peut exister en soi, mais pour moi le dessinateur à surement envie (aussi) de raconter une histoire.
Egg, t'es un enfoiré
En effet, les éditeurs s'intéressent au concret, ça leur évite de se faire ch...
Maintenant, quand je parle de scénario...c'est parce que je me dis qu'un éditeur à qui tu propose un one shot peut être intéressé par l'idée qu'un série est déjà sur les rails, au cas où ça marcherait bien.
Sinon, de manière générale, je suis un peu étonné d'entendre de la part de passionés de BD que le scénario ne semble pas tant importer pour vous. J'ai souvent rencontré des détracteurs de la BD qui reprochent le manque de profondeur des histoires dans la BD. C'est dommage si certains d'entre vous pensent la même chose
Salut,
Merci pour ton message.
En fait je me suis souvent posé la question de savoir si les dessinateurs était ok pour laisser le scénariste s'occuper de ce que j'appellerais la "réal" de la BD.
J'ai peut-être tort mais il me semble que la narration par l'image est quelque chose de très intéressant pour le dessinateur. Mais tu dois avoir raison. Je n'ai aucun problème à imaginer à donc à priori à storyboarder rapidement mes scénarios, je trouve même ça super intéressant, mais il ne reste plus au dessinateur (vous allez trouver ça bête) à dessiner, et du coup ils ne contrôlent pas vraiment la narration.
Je vais aller voir ton site tout de suite,
Galien
Allez, je vous livre l'essentiel d'un de mes projets, qui existe à l'état de roman.
LA CHUTE DES DERNIERS DIEUX
En deux mots :
C'est un récit de fantasy qui se déroule en fait dans un avenir hypothétique, sur Terre. Un conflit mondial ayant détruit la civilisation moderne, l'homme est plus ou moins reparti de zéro, et c'est à un stade médiéval que se déroule l'histoire. C'est une base très classique de parcours initiatique, avec le départ, le voyage, etc.
Les idées principales et les thèmes :
L'idée est de permettre l'existence de phénomène surnaturels en apparence mais scientifiquement explicables, de façon à mettre en exergue des phénomènes de superstition et la mainmise de la religion sur les populations, en utilisant cette superstition (ce qui n'est pas un idée nouvelle, je vous l'accorde). On peut donc dire que le thème principal est celui de la religion. L'héro´ne est le véhicule du doute, Melk le fanatique, et Anachorion l'athée.
Le protagoniste est une femme issue d'une société où l'égalité des sexes (en matière de droit) est un fait. Son voyage dans un pays étranger où les femmes sont dans une position dominée permet d'aborder le thème de l'égalité des sexes.
Un autre thème fort est celui de la responsabilité de ses actes et de la rédemption des actes mauvais. Melk a vécu toute sa vie sans douter de la justesse de ses actes. L'héro´ne va le mettre face à ses erreurs, et il ne trouvera sa rédemption que dans la mort.
Dans tout le récit, on retrouve le thème de la peur de l'autre, du racisme, de l'intolérance. L'héro´ne est souvent au c£ur du problème puisqu'elle n'a pas la même couleur de peau que les autres. Par la suite, ce sont les humains mutants qui sont la cible de la peur irraisonnée du peuple, et enfin, Anachorion et les siens.
D'autres thèmes sont abordés au travers des personnages, comme l'homosexualité refoulée, l'amour à sens unique, etc.
Le traitement :
Je m'intéresse bien sûr à un traitement très réaliste. Vu le sérieux des thèmes abordés, ça me semble plus intéressant. Il n'y a pas, comme expliqué plus haut, de surnaturel, pas de surhommes, pas d'exploits fantastiques. C'est un récit violent, mais si la violence n'est pas constante dans le récit, je tiens à ce qu'elle soit plus réaliste que fun. De la même façon, la sexualité est largement abordée même s'il n'est pas nécessaire d'en montrer trop, car là encore, elle est au c£ur de certains thèmes.
La structure (classique) :
Premier acte : exposition
Cothis, fille adoptive d'un prêtre de l'empire d'Arkhis (Egypte), a suivi les pas de son père pour devenir exécuteur du dieu serpent, juge des hommes. Un jour, lasse de tuer sur l'ordre de ses supérieurs, elle fuit le pays, en quête d'une nouvelle foi, même si son amour larvé pour Cothis est sa vraie raison, et qu'elle s'en rends compte sans vouloir se l'avouer.
Akron, un de ses ex-amants et lui-même prêtre du dieu de la guerre, la suit, dégouté par la guerre incessante avec les peuples voisins.
Ils atteignent la mer, au nord du continent, et la traversent, à la recherche d'une réponse à leurs questions.
Deuxième acte : la découverte du nouveau monde
Les Arkhisiens échouent sur les côtes d'Espagne. Dénués de tout, ils rencontrent Melk, un chevalier errant lui aussi en quête pour retrouver sa foi chancelante. Il voit en eux un message de son dieu unique et décide de les convertir à sa propre religion.
Ils parcourent les terres jusqu'en France où le culte de la Main (le dieu unique) lutte contre l'hérésie. Cothis et Akron, par leur culture différente et leur point de vue sceptique, amènent Melk à reconsidérer son existence et ses valeurs. Les ½ monstres ? désignés par la Main ne seraient-ils pas de simples humains transformés par les terres brûlées ? Les mages impies ne sont-ils pas seulement des scientifiques cherchant à domestiquer les forces de la nature ?
Finalement, la Main ordonne à Melk de former une armée pour attaquer le fief d'Anachorion de Fréjuss, un nécromant dont le pouvoir commence à s'étendre, au sud. Melk, qui a déjà perdu tous ses compagnons en combattant Anachorion, accepte la mission qu'il sait ne pouvoir réussir. Avant de charger les remparts de Fréjuss, il avoue son amour refoulé à Akron, puis mène l'assaut et meurt terrassé par les armes d'Anachorion.
Persuadés que le dieu unique de Melk n'existe pas plus que les dieux d'Arkhis, Cothis décide alors d'en apprendre plus sur les mages, et sur Anachorion. Avec Akron, ils pénètrent le fief de Fréjuss et découvrent une société de liberté et d'ouverture, dirigée par une noblesse éclairée.
Anachorion découvre la présence des Arkhisiens et leur montre son £uvre, tout en leur expliquant ses ambitions et la lutte constante qu'il mène contre la Main et son obscurantisme. Cothis réalise que la quête d'Anachorion à un sens. Elle décide de retourner en Arkhis et de renverser l'empire religieux afin de faire cesser les guerres qui meurtrissent le pays.
Malgré les mises en garde d'Anachorion et d'Akron, elle retourne en Afrique et rassemble les peuplades opprimées par l'empire pour organiser sa propre guerre.
Troisième acte : le retour au pays
Après de longs efforts, Cothis mène l'assaut contre la capitale de l'empire qui l'a vu grandir. Akron, qui semblait si fort, est tué par un projectile de baliste, et Cothis admet son égo´sme car elle sait qu'il l'a suivi partout par amour, alors qu'elle était incapable de le lui rendre. Finalement, elle se retrouve face à l'empereur, prêtre suprême de dieu soleil, et met fin à une dynastie millénaire.
Gros plan sur les personnages :
Cothis :
Très belle jeune femme, c'est un destin particulier qui lui permet d'accéder à la prêtrise puisque c'est une fille d'esclave. Une prophétie bidon clamant que tout enfant esclave né le jour de l'an mille de l'empire doit être affranchi. Elle est donc adoptée par le maître de ses parents, un prêtre du dieu serpent, et devient elle-même prêtresse. Très libertine, elle se fait remarquer et brise le c£ur d'Akron, à qui elle ne se livrera jamais. Lorsqu'elle voit que ancien professeur est assassiné pour des motifs politiques, elle romps avec l'empire et fuit vers le nord, vers la mer. Elle accepte la compagnie d'Akron dans son exil et se réjouit de l'avoir avec elle lorsqu'ils s'échouent en terre inconnue. Attirée par la beauté triste de Melk, elle enrage de le voir résister à ses assauts et finit par le suivre dans sa quête, persuadée que jamais elle ne retrouvera la foi. Lorsque par la suite, elle rencontre Anachorion, elle comprend tout le bien que la science et la raison peuvent apporter et décide coûte que coûte de renverser l'empire d'Arkhis et d'apporter la liberté et la vérité aux siens. Le prix en sera la perte d'Akron, pour qui son amour inavoué restera stérile.
Akron :
C'est un prêtre guerrier, d'une force exceptionnelle et pourtant d'une intelligence rare et d'une grande sensibilité. Après des années à combattre les peuples voisins d'Arkhis pour les évangéliser, il fuit, écoeuré par les massacres, et accompagne Cothis dans son périple, espérant malgré lui qu'elle l'aimera un jour. Blessé par l'attirance de Cothis pour Melk, il la suit pour la protéger malgré elle. Il la suit toujours lorsqu'elle décide d'espionner Anachorion et la suit encore lorsqu'elle se lance à la conquête de l'empire d'Arkhis.
Melk domine fili, chevalier Pro Dei :
C'est un homme grand et maigre, arborant une moustache triste. Elevé dans une tradition des paladins, il croit en l'existence d'un dieu unique, et respecte l'ordre établi de la Main, son église tutélaire. Il combat l'hérésie et les monstres, et lorsque la Main désigne Anachorion de Fréjuss pour ennemi, il monte à l'assaut avec ses compagnons. Anachorion, aidé par une technologie que la Main appelle nécromancie, massacre les paladins et laisse la vie sauve à Melk, pour qu'il porte son message : tous les envoyés de la Main qui viendront l'attaquer subiront le même sort. Ayant perdu tous ses frères d'armes, rongé par une homosexualité qu'on lui a toujours décrite comme une hérésie, Melk est un homme déchu, doutant de sa foi. Aussi sa rencontre avec Cothis et Akron lui donne-t-elle l'occasion de se racheter envers son dieu en lui offrant deux brebis. Mais son dieu ne se manifeste pas et Cothis lui désigne ses erreurs avec une cruelle simplicité. Finalement, il se prend de désir pour Akron qu'il sait amoureux de Cothis. Il entraîne finalement les deux étrangers dans une attaque suicide contre Anachorion.
Anachorion de Fréjuss :
Héritier d'une lignée de savants qui ont tenté de préserver des bribes du savoir passé, c'est un homme extraordinaire qui a transformé tous ceux qui l'ont connu. Il érige un fief indépendant sur la côte sud et tente d'édifier un état reposant sur des lois sociales et sur le partage des connaissances et des biens. Chaque nouveau converti augmente la haine que lui voue la Main, concile de prélats qui domine la région à l'aide de la religion et de la superstition, désignant tout être mutant comme un monstre, tout non-croyant comme un hérétique. Anachorion est sûr de sa cause, et c'est pourquoi il supporte le combat incessant qu'il doit mener contre l'incompréhension, et n'hésite pas à tuer les fanatiques les plus violents.
Hé bien, voilà enfin quelque chose
Tu as raison, cela dit je ne sais pas trop comment s'y prendre pour intéresser quelqu'un à un scénario sans en livrer l'essentiel. Bien sûr, qui suis-je pour veiller jalousement sur mes idées alors que les scénaristes sont légion ?
Il y a en effet des tas de BD de fantasy et de SF. On pourrait lancer un débat sur les raisons. A mon avis, c'est le seul média qui donne vraiment de l'espace à ces genres. Même si le SdA redore le blason de la fantasy au cinéma, ces genres restent officiellement des "sous-genres" peu vendeurs pour les détenteurs du trésor (éditeurs, producteurs...)
Je voyais plutôt une approche à petits pas en espérant qu'un ou deux dessinateurs me demanderaient un peu plus de détail mais c'est certainement présomptueux. En effet, beaucoup d'entre eux passent leur temps à dessiner (logique) et voient des centaines de blaireaux dans mon genre poster leur proposition de scénario. Je me doute qu'ils n'aient pas envie de s'embêter pour un type qui a peu de chance de les intéresser plus qu'un autre.
Pour ma part, je n'ai pas la prétention d'avoir des idées géniales. J'aime surtout les personnages, leur psychologie et leurs relations, c'est certainement dans ce domaine que je me débrouille le mieux, c'est pourquoi je pense qu'il est difficile de donner facilement une idée de ce que vaut mon travail.
Merci en tout JMG pour ton honnêteté et puis...pour avoir répondu, tout simplement.
A tout hasard, je vais me fendre d'un petit essai pour présenter un de mes projets.
A bientôt,
Galien
Hé bien, pas beaucoup de réponses mais c'était à prévoir, on est beaucoup à chercher un crayon, par ici
Bonne nouvelle, cela dit, j'ai commencé à travailler sur mon premier projet (fantasy parodique) avec un dessinateur Lyonnais et ça se passe très bien.
Par contre, pas de news de Krimo !
Bonjour,
Je suis scénariste et je cherche actuellement à monter un projet de BD pour le proposer ½ clé en main ? à un éditeur. J'ai une expérience du roman, de l'écriture dramaturgique (cinéma) et du jeu vidéo (dans lequel je travaille actuellement). Il me semble que la BD est en ce moment un medium intéressant pour une expression relativement libre, sous réserve d'avoir un style graphique susceptible d'intéresser.
Mes projets sont les suivants ( ne vous inquiétez pas pour l'éclectisme, c'est normal )
1 û Projet de BD heroic fantasy parodique. Pour ceux qui suivent un peu l'actu, le succès du ½ Donjon de Naheulbeuk ? peut vous assurer que ce n'est pas irréaliste. J'ai déjà un concept bien établi avec personnages, univers et synopsis pour deux albums. C'est un concept d'albums sans ½ fin ? théorique. Références jeux de rôle, cinéma, littérature, humour décalé, anachronismes.
2 û Projet de BD pseudo-historique. Il s'agit d'un projet pouvant intéressant l'éditeur SOLEIL et sa gamme ½ celtique ?. Le récit se situe aux environs du 5ème siècle et raconte la transition de la culture celtique à la culture romaine au travers de la vie d'un jeune homme issue de la gaule celtique et assimilé par la culture romaine. C'est un projet de 2-3 albums. Ambiance celtique, romanesque, dramatique.
3 û Projet de BD espionnage SF. Il s'agit d'un vieux récit destiné à la base à être un roman. C'est l'histoire d'un marginal, espion industriel freelance, qui se découvre par hasard (ou du moins le croit-il) être issu d'une opération d'eugénisme à grande échelle. Il enquête pour son compte personnel et met à jour un complot mondial tout en affrontant la réalité de sa véritable identité. C'est un projet à envergure variable, qui peut s'étaler sur plusieurs albums. Ambiance dramatique, hi-tech, sex & violence included.
4 û Projet de BD fantasy. Un modèle assez classique de quête initiatique qui part en vrille. Le jeune héros que tout semble destiner à la gloire découvre peu à peu que les mortels comme lui sont des jouets aux mains de dieux retors. Il se déshumanise au fil de ses aventures, finissant par devenir malgré lui le héros tragique d'un épisode d'une saga cosmique qui le dépasse. Projet initialement prévu pour 5 parties. Ambiance dark-fantasy, adulte.
5 û Projet de BD Space Opera. Il s'agit là d'une adaptation possible d'un roman extrêmement long mais probablement la plus construite de mes £uvres. En trois parties, chacune équivalent à priori à 5-6 albums. La faisabilité d'une version BD sous la forme actuelle est discutable, il est bien sûr possible d'adapter si un dessinateur se montre intéressé. Il s'agit d'une fresque racontant le parcours entremêlé de 6 personnages dans une crise intergalactique, dans un univers SF, avec une majorité d'enjeux et de thèmes liés au concept de l'Humanité. Un récit très orienté personnages. Ambiance particulière, de l'intime au grandiloquent, sexe & violence included.
6 û Projet de BD héroic fantasy à contre-pied. C'est un récit de fausse fantasy, très premier degré, dans lequel les poncifs de la fantasy et du JDR sont traduits dans la réalité par des phénomènes sociaux, humains ou des superstitions. Ambiance intimiste à héro´que (je suis comme ça), sexe & violence included (je suis aussi comme ça).
Pour recadrer, je voudrais pouvoir monter un dossier clés en main pour un éditeur, comprenant des designs de personnages, de décors et un synopsis, description de l'univers et document concept pour une série.
Contactez-moi pour plus de détails,
Merci et bon travail à tous,
Galien
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