Bonjour à tous, je suis à la recherche d'un dessinateur amateur pour un projet d'une bande-dessinée pour JACK, DETECTIVE (voir prologue ci-dessous.). Pour plus d'informations, veuillez me contacter par mail ; yohan.exmelin@laposte.net
(LE TRAVAIL PEUT-ETRE PAYE.)

PROLOGUE DE JACK DETECTIVE : RESPECTER ET CRAINT.

Jack Estrabon, c'est mon nom, je suis lieutenant à New York, je suis le flic' le plus craint et respecter d'Amérique, sans me vanter. Mon boulot est simple, je coince les salopards qui méritent à peu près tous la peine de mort mais au lieu de ça s'en sorte toujours à écoper de la prison à vie, où nourriture et confort sont offert. Je vis seul depuis cinq ans maintenant, ma femme, Adrianna, m'a quitte après vingt ans de relation, elle est partit avec mon fils, Adam, alors qu'il avait treize ans... Les raisons de leurs départ, j'en connais pas une seule valable... Je suis un solitaire, mon quotidien est mon boulot, sans ça, je n'ai plus rien, même pas de la famille, tous en France, j'ai un appel tous les ans de ma mère pour me souhaiter mon anniversaire et au passage me donner de ses nouvelles.

Une vie à peu près banale, jusqu'au jour où je rencontre Antonio lors d'une de mes enquêtes avec la police, il nous servait en tant que témoin de la scène du crime, Antonio, c'était un gars sympa, il avait déjà fait de la prison pour avoir pointé une arme sur sa femme et sa fille, quatre ans, son avocat ne devait pas être très doué et chere pour qu'il ait écopé quatre années de taule pour ça. Il disait toujours préféré la prison à la vie extérieur, selon lui, la vie dehors est bien plus écoeurante que celle enfermé derrière des barreaux. Cet homme- ci m'a amené droit dans le mur, c'était un ex-alcoolique, ça je le savais. Mais ce que ne savais pas c'est qu'il était retombé dans toute ces merdes que nous offrent la vie, alcool, drogue et jeux de casinos. Je le suivis dans ces travers, je devenais l'ombre de moi même au fil des journées, plus capable de coincé un seul salopard, je n'étais plus respecter ni craint. Défoncé à longueur de journée, innondé de dettes et seul.

Oui, seul. Antonio fut tué à cause d'une partie de poker qui avait mal tourné, il avait essayé de tricher, pas de bol pour lui il s'est fait choppé le soir même par l'un dès plus grands chef de la mafia. Le lendemain, on retrouva son corps dans son appartement, criblé de plus de six balles. Je fut évidemment incapable de coincer celui qui a tué mon seul ami, trop occupé à me bourrer la gueule et à foutre ma vie en l'air. Lassé de mon état au travail, le grand patron du FIB, me menaca de me virer dans le mois qui arrivé si je ne me reprenais pas en main dans l'immédiait. Ca en était trop pour moi, encore plus défoncé que tous les autres matin, je tuais l'un dès suspect de l'affaire qu'on m'avait confié, et qui devait être sans aucun doute la dernière. Très vite, le FBI, mes collègues, me menoté pour me guider pour une séance d'interrogatoire, où aussi, très vite, j'avouais mon meutre.