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Pour commencer: bonjour tout le monde! je suis de retour (enfin j'éspère)
Pour continuer: chers modérateurs, ne m'en veuillez pas trop si je me suis trompé d'endroit pour poster.
Pour aller plus loin, le sujet de ce post: je me demande jusqu'à combien de caractères un philactère peut contenir sans que le dessin ne souffre. Cela quand une seule personne parle dans la case et quand il y'a deux personnes qui communiquent.
Pour finir, je remercie ceux qui pourront m'aider.
"Je suis une nuit et une fôret d'arbres noire. Mais qui ne craint pas mon obscurité , trouvera sous mes cyprès, des sentiers semés de roses"
Zarathoustra (alias Nietzsche -- ou était-ce Nietzsche alias Zarathoustra?)
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Il n'y a aucune limite, la preuve :
- Case tirée d'une Bande-Dessinée de Maurice Tillieux -
^_^
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ouaip, ou alors il faut sortir certaines planches d'Edika, qui comble les vides avec une surenchère de textes tous plus absurdes les uns que les autres.
Techniquement il n'y a aucune limite. ? part la taille de la case, voire de la planche. Mais il ne faut pas oublier que l'on fait de la bande dessinée et pas du roman. Il faut donc savoir en dire sans avoir besoin d'en balancer des tonnes.
Jette un £il à certaines bandes dessinées dites ½ littéraires ? et regarde un peu la durée moyenne d'un monologue dans une case.
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Surtout que lorsqu'une bulle contient TROP de mot comme la case qui a été montré ci-haut(c exagerer mais bon...) ont n'a pas nécessairement envis de lire la bulle sauf, si c'est un auteur que t'aime bien, mais c une autre histoire, faut pas exagerer quand meme aussi!
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bonjour.
personnellement je ne connais aucune regles, théories, ou axiomes definisant la limite des textes dans une BD.
c'est un avis personnel propre à chacun je pense.
pour se le faire, je preconise la lecture, (jusqu'au bout) d'un blacke et mortimer, ou d'un achille talon, ou encore d'un tintin (limite)...ou d'autres que je ne connais pas encore. :doute:
De bon exemples de surcharges de texte, je pense.
bref pour moi moins on en mets, et plus l'image parle d'elle meme, mieux c'est ^_^
voila l'avis d'un nain bleu. :khamster:
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Une chose très importante quand tu écris ton scénario, c'est de penser au rythme.
Dans une scène d'action, des dialogues plus long que "ah!" "a´e!" et "mince!" ralentissent la lecture alors que les choses sepassent vitent. Si au contraire tu veux suggérer un long temps (ça peut être des mois, ça peut-être des années...) forcer le lecteur à ralentir en mettant beaucoup de texte peut-être une bonne idée.
Entre ces deux exemples extrêmes, il y a toute une palette de rythmes avec lesquels tu peux jouer. Et bien sûr, toute règle étant faite pour être brisée (ou contournée) tu peux faire l'exact inverse, en écrivant une scène d'acion très lente (l'équivalent d'un ralenti au cinéma) ou en faisant passer des mois entre deux cases (parce que parfois le temps passe vite).
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Fernando Van Di Spiazzi a déterminé le nombre N de caractères permis par case avec la formule suivante :
N = (L x l)x0,234/ph x np +12/nc
où L et l sont respectivement les longueur et largeur de la case, ph le nombre de philactères de la case, np le nombre de personnages présents et nc le nombre de cases de la planche.
Comme cette formule a été déterminée pour des textes en néerlandais, je propose d'appliquer un coefficient de 1,08 pour les textes en français ; ceci dit, c'est un coefficient tout à fait personnel et je comprendrais qu'on le réfute.
Plus sérieusement, il faut éviter à mon sens des accumulations non justifiées de texte dans une partie de la BD, genre à la fin comme on voit parfoit et qui donnent l'impression que l'auteur veut torcher son histoire ! même des grands font cette horrible chose : Tardi et Sokal pour ne citer qu'eux.
Djiheff (JeF wESh)
'LA DODO LE PA LA, 3ème partie : ça y est !
http://weshblog.canalblog.com/
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Plus sérieusement, il faut éviter à mon sens des accumulations non justifiées de texte dans une partie de la BD, genre à la fin comme on voit parfoit et qui donnent l'impression que l'auteur veut torcher son histoire ! même des grands font cette horrible chose : Tardi et Sokal pour ne citer qu'eux.
n peu extrémiste, comme position, Djiheff
Bah moi, j'aime beaucoup les passages littéraires façon articles de journaux chez Tardi ...
Alors chacun ses gouts, je dirait, plutôt...
(par contre c'est vrai qu'a la blake et mortimer, je trouve ça lourd...)
... je dirait, l'important, plutôt, est d'avoir une démarche (que ça plaise ou non, on ne peux pas toucher tout le monde...)
à regarder par exemple le découpage de la série des "anita bomba",
dont les chapitres commencent apr une citation, et les extraits de journal ont la part belle...
(quand à l'excuse du "résumé", pas oublié que la bd européenne à généralement un format assez court...
savoir utiliser l'ellipse, voire le texte, permet de tenir cette contrainte du très peu de pages, sommes toutes, quand on a beaucoup à dire, mais pas la palce d etout raconter)
d'autre part... perso, une bd toujours racontée de la même façon, de manière trop homogène, peux aussi lasser.
et puis, bon, je suis un peu pour les expérimentations de format, alors...
pourquoi pas ne pas essayer d'aller plus loin que l'habitude dans la dialectique texte/image ?
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