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certes mais la plupart du temps les publications amateurs ont des tirages moins importants en nombre d'exemplaires, non ?
"Que l'on soit nul en dessin, que l'on soit jeune ou vieux, quel que soit le métier que l'on exerce, on peut dessiner des mangas." Osamu TEZUKA
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Oui, mais cela ne veut pas dire qu'elle rapporte moins à leur auteur.
Admettons que le prix de vente et la qualité d'un album soit les mêmes chez un éditeur pro et chez lulu.
Avec 2% de droits d'auteur chez l'éditeur pro, il te faut vendre quarante albums pour gagner ce qu'un seul album vendu chez lulu te rapporte !!!
Et si on multiplie par cent le nombre d'albums vendus chez lulu, cela revient à dire qu'il faut vendre 4000 albums chez l'éditeur pro, soit à peu près l'équivalent d'un premier tirage !
Dernière modification par Dr_Folaweb (13/01/2007 23:28:55)
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Je suis ravie de voir autant de réponse merci, j'aurais une autre question :
pourquoi certaines maison d'édition refuse que l'ont envoye des planches par mail et ne veulent que par courrier postale est ce pour une question d'organisation ou parce que il y a plus de risque d'envoyer par mail que par courrier postale
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Peut-être préfèrent-ils ne pas emcombrer leurs boiteàmails avec des planches pas toujours très légères (un tif couleur compressé, cela tourner autour de quoi, 14 Mo ?).
Perso, tous mes échanges se sont fait par mail.
Dernière modification par Dr_Folaweb (14/01/2007 04:49:15)
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oui c'est ce que je me dit aussi, merci doc'
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Est ce que certains bda, dans le cadre de l'auto-édition, ont déjà fait des devis auprès d'imprimeurs ?
Parce que lulu.com, avec les frais de port, ça me semble assez cher. En fait, je trouve que lulu.com manque de transparence sur le coût final d'une bd avec leur coût de fabrication + commission + frais de port...
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c'est ce que j'ai découvert en écrivant à un bda qui avait déja fait sa
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Le problème de l'auto édition, c'est qu'il faut assurer la diffusion tout seul et la promotion auprès des libraires. Et ça, c'est pratiquement impossible. Ensuite, les coups d'un petit tirage restent élevés. Sur un tirage de 500 exemplaires, le vendeur ne touchera pas beaucoup plus en bénéfice que s'il avait publié chez un éditeur reconnu (même beaucoup moins si on entre en compte les avances sur droit souvent calculés sur 5000 exemplaires vendus). Et pourtant, une vente de 500 exemplaires pour un album auto édité est un très gros succès.
Il faut être réaliste sur le plan financier : il n'y a pas d'exemple d'album auto édité qui ont rapporté de grosses rentrées d'argent à leurs auteurs. Il faut nécessairement passer par un éditeur pour rencontrer le succès et même les auteurs à succès continuent à travailler pour les éditeurs. Il ne s'amusent pas tous à s'auto éditer (ou alors, comme Morris et Uderzo, en fondant leur propre maison).
Maintenant, réussir à se faire éditer par un grand éditeur n'est même pas un gage de succès : il faut ensuite réussir à se faire remarquer auprès des lecteurs. Les meilleurs éditeurs peuvent soutenir les albums grâce aux services de presse parfois très efficaces mais même comme cela, je crois que la proportion de premier album "rentable" (quel horrible mot) est assez faible.
Enfin, imaginons : Dargaud vous publie et le lectorat a entendu parler de votre album et veut l'acheter. Ce n'est toujours pas la succès garanti car il faut avoir séduit également les libraires. Sans eux, votre album ne sera pas suffisamment exposé en rayon, pas défendu ou pas recommandé une fois le stock épuisé. Et sans album en rayon, aucune vente n'est possible.
Bref, c'est pas gagné )
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Bonjour. Je remonte ce post pour savoir si certains d'entre vous ont trouvé des imprimeurs de qualité et bon marché. Pourquoi ne pas partager nos expériences?... Je vais commencer avec Lulu et vous tiens au courant. A bientôt.
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ce constat me fait limite pleurer a chaude larme ....faut vraiment etre un guerrier quoi ....
mon blog; http://isma-scomixhouse.over-blog.com/ , mes bds[urlhttp://www.manolosanctis.com/bd/147/goldfist-une-destinee[/url]
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