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#28 11/01/2004 01:19:47
Re : Walt Disney
tiens au fait il faudrait que vous lisez cet article:
http://www.liberation.com/page.php?Article=166495
Apparament Disney (ou Pixar) a encore fait des siennes !!!!!!
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#29 11/01/2004 02:18:43
Re : Walt Disney
Oui ça ne m'étonne qu'à moitier puisque qu'il y'avait eu une affaire similaire à propos du film "Le roi Lion".
En plus on peux même pas reprocher au type de vouloir se faire du fric sur le dos de Disney puisqu'il à déposer le personnage...
Enfin bon, à mon avis on manquent un peu d'éléments pour pouvoir vraiment se prononcer la dessus, ça me semble trop facile encore, le gentil français contre le méchant Disney... suis pas convaincu.
"C'est vous qui voyez"
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#30 11/01/2004 12:10:45
Re : Walt Disney
TROIS PIXAR GENIAUX :
* Monster and co
* Toy Story I
* Toy Story II
(je met pas Némo pour l'instant car la société est en procés pour plagiat et du coup, ça m'a un peu dégouté)
Qu'est-ce que je disais ?
dans le TELE obs aussi ils en parlaient.
L'article du tele obs :
Némo, poisson clown ou REQUIN ?
Franck Le Calvez, Français, ex-dessinateur et scénariste, aujourd'hui avocat, inventeur du personnage et des aventures de PIERROT, un poisson clow étonnamment ressemblant au NEMO du film d'Andrew Stanton et Lee Unrick, accuse aujourd'hui PIXAR, DISNEY et DISNEY HACHETTE, de contrefaçon de personnage et de marque. Verdict le 17 Février 2004.
Tout commence dans la tête d'un étudiant en droit plus inspiré par les poissons de son aquarium que par le Code Civil. Son préféré est un poisson clown. D'une rêverie l'autre, Franck Le Calvez imagine une vie de famille dans une anémone, tranquille, jusqu'au jour où son père est dévoré, sa mère catapultée à l'autre bout de l'océan. S'ensuivent des aventures, des frissons. Et un scénario de long-métrage d'animation, déposé à la SACD en 1995, proposé à diverses société de production. "J'ai essuyé plusieurs refus, se souvient Franck Le Calvez. Certaines m'ont dit que l'histoire d'un poisson clown n'importerresserait personne."
Le temps passe, le scénario devient projet de livre. En 2000, Franck Le Calvez finance la réalisation des illustrations 3D par l'équipe du Cybervillage, dirigée par Pascal André (les créateurs de la série "ADIBOU". Seulement voilà, aucun éditeur ne se lance dans l'aventure. L'étudiant est devenu avocat. Le métier étant de bon rapport, il met des fonds dans la création d'une maison d'édition. "Pierrot, le poisson clown" parait aux éditions Flaven Scene en novembre 2000. Petit tirage, placement discret dans quelques librairies, dont la Fnac. Ca vend, peu, mais ça vend. Les aquariums de France, qui vendent le livre, demandent à l'auteur d'étudier la fabrication d'une peluche poisson clown. En février 2003, Flaven Scene dépose Pierrot tel qu'il apparait sur la couverture du livre comme marque figurative.
l'histoire, jusqu'ici banale, se corse au printemps 2003. "Des amis américains m'ont téléphoné, raconte Franck Le Calvez, pour me dire qu'ils avaient vu mon poisson... "
Petit détail, ce n'est pas Pierrot mais Némo qui s'apprête à envahir les écrans américains. En Juillet, Franck Le Calvez voit la bande annonce. Il frissone : la ressemblance est plus que troublante. Il prend conseil auprès d'un avocat sépcialisé dans les droits d'auteur qui adresse une lettre à Disney, coproducteur et distributeur du film, pour lui demander des précisions sur la date de création de Némo et la politique de merchandising. Lettre d'un na´f de bonne foi : " A l'époque, je ne songeais pas faire un procès", raconte Franck Le Calvez. Fin de non-recevoir de Disney. Le na´f encaisse. Jusqu'au refus, en septembre, de la Fnac Junior, de prendre son livre dans sa nouvelle édition, plus attirante. Verbalement semble-t-il, une responsable des achats fait comprendre au commercial du Comptoir du Livre, distributeur de l'album, qu'une opération avec Disney Hachette est prévue pour la sortie du "monde de némo". Or la ressemblance entre les deux poissons est trop frappante. Monsieur Poulant, directeur du Comptoir du Livre, ne voit là rien d'anormal : "L'argument de la Fnac Junior ne me surprend pas." Selon lui, la mésaventure illustre le combat des petits éditeurs et distributeurs contre la "puissance Hachette".
"C'est là, précise Franck Le Calvez, que j'ai décidé de réagir. Je ne voulais pas qu'on empêche mon livre d'exister"
La suite de l'article explique que M. LE Calvez a essayé de demander l'interdiction du film, et la preuve de Pixar que l'invention est indépendante. L'audiance du 29 octobre tourna a la caricature et bref, un procès serieux se tiendra le 17 février 2004.
Le téléCinéObs conclut en expliquant que les producteurs du film ne risquent pas grand chose car la contrefaçon intellectuelle est très difficile à démontrer.
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#32 12/01/2004 00:10:01
Re : Walt Disney
mais de toutes façons, comment Pixar qui a quand même son siège aux Etats-Unis, aurait pu connaître l'existence d'un petit livre pour enfant vndu en France et de lus, que personne ne connait?!?
soit il y a un ami de Monsieur Pixar qui connaissait le bouquin et qui le lui a filé, soit c'est une monstrueuse co´ncidence !!!!!
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