J'ai eu ce problème sur mes BDs, puisqu'elles se déroulent dans le monde réel.
Solution : je conserve les lettres des marques, mais je les réarrange à ma sauce (en essayant le plus possible de faire des jeux de mots pour coller à l'humour du scénario).
Exemples :
En location de voiture, Avis devient Visa, EuropCar devient EuroCarp
En magasin, Walmart devient Wartmal (wart = verrue en anglais )
En chaîne de resto : Denny's devient Dynne's et Jack in the Box devient The Boxin' Jack
Ou alors j'invente (comme les Sardines Tsar, à l'huile, nom tirée d'une vieille vanne : les tsars dînent à l'huile).
N'y connaissant rien en terme de droit à l'image, je me suis dit que je n'utiliserais aucuns noms existant (pilotes, écuries, marques, circuits). Cependant, j'hésite entre deux façon de faire :
- Soit je n'identifie rien. Aucuns noms, aucuns background de personnages. Les personnages seront sans identités et seuls leurs couleurs pourront les démarquer. Dans ces cas là, je centre vraiment ma BD sur le comique de situation.
- Soit je créé de vrais personnages, avec un background et une vrai identité. Mais à ce moment là, mieux vaut partir sur des noms totalement inventés ? sans ressemblance avec de vrais noms ? Et créer un univers 100% original ? (Mieux adapté pour toucher une audience plus large). Ou mieux vaut créer des noms qui se rapprochent de vrais pilotes, écuries, etc, pour que le lecteur puisse faire un pont avec le réel ? Exemple, pour le pilote Max Verstappen, l'appeler Marc Velstarren. (Mieux adapté pour toucher les connaisseurs)
J'hésite vraiment entre ces différents points et je trouve des avantages et des inconvénients dans chaque, sans arriver à prendre de décisions.
J'ai besoin de vous pour trancher ! Merci d'avance pour vos retours.
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