#1 Re : Dessinateur ou Scénariste ou Coloriste » Je cherche un partenaire scénariste pour le recueil bda » 28/08/2009 09:32:34

Dommage pour l'annonce close.
Enfin je t'envoie quand même mon petit scénar.

IDEE DE BASE

Louise, une jeune femme belle à damner les anges est confrontée une nuit à l?image de sa mère tuée, il y a 25 ans, par une sale maladie.

SYNOPSIS :

Fière de sa personne, Louise a une haute opinion d'elle-même qu'elle entretient un peu cyniquement en détournant l'attention et plus si affinités de tous les hommes qui gravitent autour de la petite tribu qu'elle forme avec ses amies. C'est un genre qu'elle se donne pour cacher ses angoisses, ses doutes et sa tristesse.

Une nuit, après une soirée bien arrosée et triste, elle rentre chez elle : un grand appartement très vide, elle ne souvient plus très bien à quelle heure, ni avec qui... Elle fait un rêve étrange.

Elle se regarde dans une glace et l'image qui s'y reflète est hallucinante et angoissante. Louise persuadée d'être si irrésistible, si charismatique, si séduisante,  en un mot si parfaite?

Et dans son miroir, elle découvre une vieille femme nue. Un corps décharné, gris, tordu, piqué de tâches de vieillesse,  est planté devant elle, petite veille voûtée et flétrie, longs cheveux filasses  et ternes dégoulinent sur des épaules faméliques: bouts de chair, os saillants, fesses difformes et tombantes.

Les deux femmes se regardent : Louise est effrayée, l'autre émerveillée.

Louise ferme les yeux : « Quand je les rouvrirai, la vieille folle aura disparue ». En prononçant ses mots, Louise se sent très bizarre et mal à l'aise. Cela semble durer une éternité?

Très lentement ses paupières se soulèvent. Elle tremble de peur, ne tient plus très bien sur ses jambes et, cela ne lui était pas arrivé depuis des lustres : elle pleure. D'abord, elle ne voit rien et puis le reflet dans le miroir se dessine à nouveau, un doigt menaçant tendu vers elle : « Ouais, c'est bien TOI ! Malade et moche et tu pourras rien y changer, tu ne mourras pas en paix.  Cette foutue maladie m'a mis dans un sale état et elle a bien pris son temps. J'étais seule, ton père s'est tiré, il nous a laissés sur le carreaux sans préavis.Cela fait exactement 25 ans aujourd'hui qu'ils m'ont débranchée : NOUS NE POUVONS PLUS RIEN POUR VOUS MADAME...
Mais Louise ne devait pas mourir ainsi. Un impact brise le miroir. Une balle. Louise est à terre. Le ventre en sang : elle est morte. Elle n'a pas souffert comme sa mère. Le meurtrier c'est le type qui avait passé une partie de la nuit avec Louise et qui s'est fait jeter en pleine nuit.

Peut-etre à bientôt

#2 Critiques de SCENARIOS » A votre avis » 26/03/2009 07:53:48

kiros
Réponses : 3

Appel à tous les BDA

Je travaille sur mon histoire "Les cafards n'ont pas d'ailes". J'aimerai avoir votre avis. Même si mon synopsis est mauvais, etc...:beg:

TITRE : « LES CAFARDS N?ONT PAS D?AILES »

Thème de l?histoire : le désordre. Le grain de sable qui grippe la mécanique de l?homme.
Cadre de l?histoire : Epoque contemporaine,  une ville moyenne de 20 000 âmes mais presque tout le monde se connaît ou tout du moins à quelque chose à dire sur son voisin, le notable du quartier, etc.?

Deux personnages principaux : Sibylle et Paul.

Les personnages secondaires :

Alice : La petite s?ur de Paul est espiègle. Tout les deux se chamaillent au moins une fois par semaine quand Paul rentre du pensionnat. C?est la petite dernière de la maison et bien qu?ils s?en défendent, l?enfant adoré de ses parents?

Le Père : Archétype du pater familias, autoritaire et froid. C?est un être suffisant et méprisant pour ses semblables mais grâce à Dieu, son arrogance s?exerce plus strictement sur le cercle des notables de sa petite ville qu?il côtoie par intérêt professionnel ou, plus souvent, par convenance?.

Hélène : Mère poule. Femme discrète même effacée. De sa jeunesse, elle a conservé à grand renfort de cosmétiques divers? et d?un lifting du visage, sa beauté d'autrefois. C?est une femme discrète qui s?efface devant la personnalité encombrante de son époux. Elle aime aussi beaucoup ses enfants.

Ernest Desbrumes : Le Père Supérieur de B?, lycée privé de jésuites où Paul est pensionnaire. Lèvres lippues, visage rond et sévère comme il se doit. Très à cheval sur la discipline y compris dans la salle des douches?













SYNOPSIS


Ce projet est le récit de la « vie criminelle » de Sybille et de la déchéance physique et morale de Paul.  Sibylle raconte son histoire avec Paul : c?est la voix off

SYBILLE : C?est la petite voix qui vous siffle dans les oreilles, vous donnent le vertige, vous chamboule le jugement, vous colle des hallucinations, déforme la réalité et finalement vous expédie à l?asile. Elle incarne le « désordre ».
Une petite voix? acariâtre et machiavélique. Pour tuer le temps, elle se niche dans le plus obscur recoin d?un esprit égaré, mâle ou femelle?
Elle ne le quitte plus tant que l?enveloppe charnelle dudit cerveau n?est pas écrasé sur un lit d?hôpital, pieds et poings liés par une camisole de force. 
Sibylle n?a pas d?âge. Enfin, il est difficile de lui en attribuer un : personne ne l?a jamais vu. Beaucoup l?ont entendu mais ils ne sont plus de ce monde pour en parler. Je ne veux pas insinuer par là qu?ils soient tous morts?Non, ils ne font seulement plus partie de la société des humains. On les a enfermés et  Sibylle, elle n?en est pas peu fier !!!  Il est grand temps d?aller plus loin maintenant : elle veut avoir un mort sur la conscience. Alors elle abandonne un type qui n?a plus rien d?humain, perdu dans la ville, à parler à tous ce qui ne lui répondront jamais : arbres, bornes d?incendie, feux tricolores, panneaux de circulation mais le mèneront directement à Sainte Anne.


PAUL : C?est un adolescent bizarre et taciturne. Il est solitaire, recroquevillé sur lui-même, à la limite de l?autisme. Exclu de la petite société que forment les élèves et les précepteurs ensoutanés du collège de Jésuites de B. Au pensionnat, les autres l?appellent : le cafard.

Le cafard, lucide sur son état de décomposition, veut néanmoins croire un peu? encore ! Alors, Paul passe des journées entières, des nuits interminables, au pensionnat, chez lui à se débattre, prisonnier cette toile visqueuse  qu?il s?est tissé au fil des jours. Où ses doutes? et ses ardeurs stériles vont-ils le précipiter ? Qu?est-ce qu?il peut bien foutre de sa vie en attendant que le jour se lève ?
Chez lui, ce n?est pas plus glorieux. Il est plus âgé que sa s?ur mais c?est elle qui commande parce que? parce qu?il est le plus faible des deux. Le week-end, Il tourne en rond comme un bagnard dans sa chambre et suffoque davantage chaque jour, englouti par le flot des excréments nauséabonds que défèque son cerveau tourmenté et malade.
Pire encore ! Le cafard est amoureux d?une princesse mais cette grenouille de bénitier n?a jamais eu un regard pour lui. Sait elle-même, que quelque part, au détour d?un couloir étroit et vertigineux rôde un cancrelat qui ne peut assouvir sa passion que sous les draps poisseux  de son lit ? Paul fera bien quelques tentatives pour l?approcher, mais Sybille contrariée à la perspective de voir son plan criminel déjoué ?Et si cette fille a la tête d?ange s?entichait, par on ne sait quel miracle, du cafard ?- mettra tout en ?uvre pour le mettre hors circuit : séjours en hôpital, cures de sommeil, remèdes de cheval, sans parler des trucs affreux qu?elle lui assène à longueur de journée pour le fragiliser chaque jour davantage. 

Paul et Sibyllle, ils devaient forcément se rencontrer. Surtout à cause de Paul. Le pauvre garçon, à force de tourner en rond, ca devait arriver : un jour, la petite voix lui est tombé dessus et elle ne l?a plus lâché et elle s?est acharnée? jusqu?à la fin. Faut dire que le destin l?a bien aidé aussi. Elle s?est trouvé une alliée de poids, nichée dans les tripes de Paul : une affection de longue durée très encombrante.

#3 Re : Critiques de SCENARIOS » Titre du récit : "La vieille dans le miroir" » 19/12/2008 18:24:35

"réponds aux questions que je t'ai posée par mail stp ^"
Désolé je n'ai pas eu de mail... J'en suis resté au commentaire que tu as laissé sur mon blog hier soir vers 23h00. A moins que j'ai un souci avec ma boite mail, je n'ai rien lu depuis.
Disons que si cela t'intéresse, on pourrait déjà commencé par le récit court : "La vieille dans le miroir".

#4 Re : Critiques de SCENARIOS » Titre du récit : "La vieille dans le miroir" » 19/12/2008 16:13:40

J'ai repensé mon récit. Toujours un huis-clos mais ce n'est plus sa mère que la fille voit dans le miroir... et ça finira dans un bain de sang.
Qu'est-ce que t'en dit Zephir ???

#5 Re : Critiques de SCENARIOS » Titre du récit : "La vieille dans le miroir" » 17/12/2008 13:19:53

Je me creuse toujours la tête pour trouver une chute intéressante et puis c'est pas vraiment développée.

#6 Critiques de SCENARIOS » Titre du récit : "La vieille dans le miroir" » 17/12/2008 11:40:23

kiros
Réponses : 6

Un récit court  sur cinq planches. Un huis-clos dans une chambre, un face à face entre une fille et sa mère. Sa mère est morte d'une longue maladie...

Sonia est ce qu?on appelle communément une belle fille. Le portrait de sa mère à son âge. Sa mère, elle est morte? Malade, torturée par une saloperie sournoise qui l?a grignoté jusqu?à l?os.

Synopsis :

Fière de sa personne, Sonia a une haute opinion d?elle-même qu?elle entretient un peu cyniquement en détournant l?attention et plus si affinités de tous les hommes qui gravitent autour de la petite tribu qu?elle forme avec ses amies. C?est un genre qu?elle se donne pour cacher ses angoisses doute tristesse

Une nuit, après une soirée bien arrosée et triste, elle rentre chez elle : un grand appartement très vide, elle ne souvient plus très bien à quelle heure, ni avec qui? elle fait un rêve étrange.

Elle se regarde dans une glace et l?image qui s?y reflète est hallucinante et angoissante. Sonia, persuadée d?être si irrésistible, si charismatique, si séduisante,  en un mot si parfaite?

Et dans son miroir, elle découvre une vieille femme nue. Un corps décharné, gris, tordu, piqué de tâches de vieillesse,  est planté devant elle, petite veille voûtée et flétrie, longs cheveux filasses  et ternes dégoulinent sur des épaules faméliques: bouts de chair, os saillants, fesses difformes et tombantes.

Les deux femmes se regardent : Sonia est effrayée, l?autre émerveillée.

Sonia ferme les yeux : « Quand je les rouvrirai, la vieille folle aura disparue ». En prononçant ses mots, Sonia se sent très bizarre et mal à l?aise. Ca dure une éternité?

Très lentement ses paupières se soulèvent. Elle tremble de peur, ne tient plus très bien sur ses jambes et, cela ne lui était pas arrivé depuis des lustres : elle pleure. D?abord, elle ne voit rien et puis le reflet dans le miroir se dessine à nouveau, un doigt menaçant tendu vers elle : « Ouais, c?est bien TOI ! Malade et moche et tu pourras rien y changer, tu ne mourras pas en paix.  Cette p? de maladie m?a mis dans un sale état et elle a bien pris son temps. J?étais seule, ton père s?est tiré, il nous a laissé sur le carreaux sans préavis »
Ca fait exactement 25 aujourd?hui qu?ils m?ont débranchée : nous ne pouvons plus rien pour vous Madame ».

#7 Re : Dessinateur ou Scénariste ou Coloriste » recherche tjrs dessinateur » 16/12/2008 22:42:58

Je ne sais si Philippe Gorgeot se souviendra d'Oscar Lafuente.
J'avais écrit "Les cafards n'ont pas d'ailes".
Je vais de ce pas remettre le synopsis dans ma galerie. Je n'ai pas abandonné le projet mais plûtot que de bloquer dessus comme cela est arrivé à force de tourner en rond -manquait une intrigue plus développée- j'ai continué à chercher, à écrire des récits plus courts.

Désolé à tout le monde d'avoir zapper ma petite présentation.:tomate:

#8 Dessinateur ou Scénariste ou Coloriste » recherche tjrs dessinateur » 16/12/2008 15:56:12

kiros
Réponses : 4

Je cherche toujours et vraiment désespérément un dessinateur. Ca ne se bouscule pas aux portillons.
Donc deux solutions : Ou ca n'intéresse personne ou c'est mauvais.

J'espère que Philippe Georgeot ou VXD pourront m'aider....:siffle:

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