Les êtres dans le pc par Lpp

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Les êtres dans le pc







Il en était sûr maintenant, plus aucun doute à avoir ces choses se nourrissaient de décharges électriques et se reproduisaient par un je-ne-sais-quoi qui se trouvait là sous ces yeux
Depuis quelques mois déjà il jouait sur le net à un jeu dit à univers persistant, un jeu qui évolue à mesure que l'on y joue, des programmateurs rajoutent des programme et autres décors et missions plus vite que vous ne pourriez en visiter en jouant 24 sur 24, il avait essayé d'ailleurs au début mais rien à faire impossible d'en faire le tour, il y a forcément quelques chose qui se cache là dessous. Comme si finalement, l'antimatière produisait de la matière , comme si le virtuel se transformait en réel pour recréer du virtuel ; un monde constitué d'individu qui recrée d'autres univers dans lequel vit des individus qui eux même recréent d’autres univers. Lesquels individus pensent toujours être l’échelon zéro
Il s'est ensuite intéressé à l'histoire de ce qu'il croyait être l'habitat de ce qu'il avait découvert: Internet, la toile planétaire, le réseau mondial.
Ces militaires américains lorsqu'ils s’accaparèrent ça savaient-ils à quoi s'attendre, pensaient- ils engendrer de telles créatures, sûrement que oui, c’est peut-être même eux qui le créèrent au début.
Au début justement , bien sur qu’il n'en avait parlé à personne on le prendrait pour un fou lui qui déjà ne devait pas sembler totalement net aux yeux des habitants de son petit bled de province même pas provençal.
Il habitait au dessus du garage de ses parents un petit appartement qu'il avait construit avec son père quelques années avant qu'il ne se suicide, il y était bien, il avait l'indépendance que tout les jeunes de son âge attendent comme le messie ; vous savez, celui qui vient vous voir tous les trois semaines dans votre minuscule studio de 19m2 pour vous amener de quoi manger ,et encore je parle pour les plus chanceux ,ceux qui ont eu leur bac et qui ont pu se payer grâce à un boulot minable le temps d'un été l'inscription dans une fac ,de lettre la plupart du temps.
Lui avait plus de chance qu'eux, il avait une mère criblée de chagrin et son petit chez soi depuis l'age de 17 ans, et il en profitait bien .Il ne travaillait qu'à de rares occasion, la plupart du temps pour s'acheter du matériel informatique, des petits boulots sans grande incidence sur son intégrité physique, travaux saisonnier, ramassage des melons et autres oignons, des fois un peu de maçonnerie.
Ses potes venaient le voir encore au début, ils installaient des ordinateurs en réseau pour jouer à des jeu de stratégie la plupart du temps, et pour fumer du shit sur des pipes à eau, il était le seul à être indépendant ,autrement dit à pouvoir faire venir une fille chez lui sans que sa mère rentre pendant sa première relation sexuelle pour récupérer le linge sale.
Il avait eu une copine vers ses dix sept ans passé mais elle l'avait laissé tomber pour un mec plus âgé du village voisin, qui avait une voiture et qui ne passait pas le plus clair de ses journée à jouer à l'ordinateur, il s'en fouttait, un peu, mais repensait nostalgique à ses quelques parties de jambes en l'air lorsqu'il se masturbait allégoriquement. Elle avait dit passer le week-end chez sa meilleure amie comme toutes les filles qui se font un jour dépuceler ; un jour il aurait de nouveau une femme dans son lit pensait-il.
Les êtres, il les avait découvert alors qu'ils avaient pris du lsd avec ses amis, au début il croyait à des hallucinations bien réelles, mais dès lors qu'il laissait des croûtes de fromage ou des miettes de gâteaux près de son pc , elles disparaissaient et bien après que les effets du lsd se soient dissipés, et ces êtres lui donnait de l'inspiration, il avait l'impression de s'intéresser à tout via le net, bien sur, comme si ses doigts étaient guidés pour aller sur des sites de musée, sur des comptes rendus de conférence universitaire, des trucs ésotériques, des recettes de cuisine, des cours de mécaniques qu'il ne lisait pas la plupart du temps mais qu'il stockait dans son disque dur, très vite d'ailleurs son espace devenait insuffisant , une petite mission d'intérim à laquelle il mit fin de son propre chef et le voila reparti avec un disque dur de 200 giga de quoi rassasier l'esprit vorace des êtres ; parfois ils l'amenaient sur des sites louches, du genre mystique ou carrément porno, ça dépendait.

II avait découvert que les êtres ne supportaient pas la lumière, il avait donc dans un premier temps enlevé toutes les ampoules de son studio , plus tard persuadé que l'intensité électrique qui pénétrait dans son ordinateur était proportionnellement divisable par le nombre d'appareil qui était relié au réseau électrique de son studio, il élimina tout appareil de son chez lui progressivement, c'était bien sur chiant de faire réchauffer les boites de raviolis ou les plats cuisiné de sa mère sur un réchaud mais que voulez vous lui avait la chance d'abriter quelque chose d'exceptionnel, pas comme cette bande de primates atrophiés d'un bulbe rachitique qui la plupart du temps pratiquent un sport collectif, il s'éclairait à la bougie et la seule lueur artificielle qui émanait de son chez soi à lui était celle de son écran,seule dépense énergétique qui valait vraiment le coup.
Ses amis ne venait le voir que très périodiquement ,et il les comprenait aisément ; pas évident de communiquer avec quelqu'un qui est vissé sur son écran d'ordinateur ils l'avaient plus ou moins laissé tomber petit à petit, de toute façon ils n'avaient plus les mêmes intérêts, lui ne supportait plus leurs jeux de gamin comme leur intérêt exclusif pour les filles, « ces petites salopes se feront larguer par le père de leur mouflet dés qu'elle auront pris trois kilos sur chaque fesse  comme leurs mères, de toute façon » ; les êtres étaient devenu plus présents ,il les entendait parfois mais dès que l'on s'approchait de trop près ils se barraient pensait-il dans le disque dur , de plus, depuis qu'il succombait à tout leur caprices, il constatait que son ordinateur était plus puissant, qu'il fonctionnait mieux, mais c'était à quel prix, des pages Web entières de tout et n'importe quoi ,pour que leur esprit grandisse, mais leur appétit n'était pas que spirituel, les êtres raffolaient des croûtes de fromage de toute sorte mais essentiellement de fromage de vache,et des miettes de Granula mais sans le chocolat dessus il s'en était aperçu tout connement en laissant traîné un vieille croûte comme ça a du arrivé à tout les branleurs informatiques.
Il mettait un point d'honneur à ne jamais parler des êtres,sur tout ce qui pouvait les concerné un tant soit peu ; il évitait les personne de petites taille en prétextant être atteint d'une frénésie de cassoulet , un jour il s'est même tapé un badtrip quand on lui demanda s'il avait vu les borrowers ou lorsqu’on lui demandait s’il n’avait pas des épisodes des mini pouces et, si on analyse la situation de façon totalement objective il avait raison c'était peut être dangereux , vous vous rappelez les mini pouces il y avait sans doute des gros enculés qui étaient près à tout pour les mettre en cage et les étudier si jamais leur existence venait à se savoir.
Ca pourrait paraître bizarre mais finalement pas tant que ça, les humains aiment se sentir guidé, d'autres se rattache à un vieux malades, à une vache, à leur bouteille ; lui s'attache à ces petits êtres, d'ailleurs parfois il se demandait comment ils avaient pu arriver dans son pc, par Internet mais comment s'être matérialisé, et puis surtout pourquoi chez moi ?
Finalement on devrait tous avoir le sien la vie serait plus heureuse, ils doivent sans doute avoir la solution contre la faim dans le monde,ou comment faire admettre aux terriens de renoncer à toute forme de religion, si seulement on pouvait s'entretenir avec eux; il avait essayé pourtant, mais sa question inscrite sur un Word était resté sans réponse, au début histoire de se rassurer il avait pensé que son clavier ne devait pas leur convenir, ou que la langue qu'il parlait ne leur disait rien.
Il progressait à vitesse grand v à son jeu persistant,il explorait un monde en particulier , il avait commencé une carrière de druide et il obtenait au fur et à mesure des compétences et autres potions ; ce qui est bien dans ces jeux c'est que l'on joue à plusieurs milliers et qu'il y a une interaction permanente il lui arrivait après avoir assisté à des combats ,de soigner des combattants il se disait que ça pourrait toujours lui servir dans sa progression du jeu, finalement un jeu à univers persistant c'est un peu comme dans la vie il y a une expansion permanente des décors et des missions, d'une entreprise à une autre et d'une mission d'intérim à une autre.
Les êtres il les entendait fourmiller de plus en plus et se disait, que si seulement ils pouvaient bien sortir de ce pc il pourrait enfin lier connaissance il leur avait pourtant porter presque un serment d'allégeance juste au cas où ce soit la peur de tomber sur un de ces enculés d'en face qui ne les empêchent de sortir mais rien à faire, c'est la problématique récurrente dans ces histoires mêlant l’être humain et le minis culement petit comme les mini pouces, le gars a quand même un veine de moisi de tomber sur des êtres qui parle la même langue que lui avec toute les langues du monde,ils auraient pu parler néerlandais ou un autre dialecte oublié, ah il est emmerdé le gamin là.
Il refusait maintenant de recevoir ses amis le peu de fois où ceux-là en avaient manifesté l'envie, il avait bien trop peur que l'un d'eux ne découvre son secret avec les conséquences que cela aurait,
de toute façon il ne savait plus quoi leur raconter ,comme si tout les souvenirs d'enfance qui aurait pu alimenter leur conversation n'avait plus aucune importance, lui se sentait investit d'une mission d'ordre divine et n'allait sûrement pas se fourvoyer avec ces gamins autant amis d'enfance soient-ils.
Des fois ,et malgré le fait qu'il les évite il était obligé de revoir des gens qui le connaissait et le fameux "alors qu'est-ce que tu racontes?" le faisait sortir de ses gons, si les gens pouvaient savoir à quel point cette question peut conduire une personne qui n'a plus rien à perdre au pire beaucoup de drame seraient évité si seulement les gens arrêtaient de se demander mutuellement ce qu'ils ont à se raconter et se prenaient tout simplement dans les bras quand ils en éprouve le besoin, les relations humaines seraient beaucoup moins saugrenues et puis qu'est ce qu'il pourrait bien répondre à cette question qui rayonne tel un viol social" je met en place un projet d'ordre schizo-mystique ayant pour but de faire prendre conscience à la planète entière de l'existence de petits êtres supra intelligents se nourrissants de décharges électriques et de croûtes de fromage et ayant bizarrement décidé de taper le squatte dans mon pc" Autant aller le raconter directement à un de ces connards de psychiatre et tendre les bras pour qu'on lui enfile la camisole

Il faisait ses courses pour le mois, achetait son tabac à rouler par cartouche en essayant de ne rien oublier pour ne pas avoir à sortir de chez lui et ainsi ne pas être tenté de tuer quelqu'un qui aurait deviné son secret , sa mère reprenait du poil de la bête elle se remettait comme on dit de son deuil, elle reprenait goût à la vie, invitait des amis à manger et sortait même de temps à autres, elle avait tenté de renouer le contact avec son fils mais rien n'y faisait lui était déjà ailleurs

Et puis un jour le miracle se produisit, Olivia la plus belle fille du collège qu'il n'avait pu qu'aborder que quelque fois dans sa vie quand il avait plein de boutons sur la gueule et une confiance en soi à faire pâlir une gothique, vint l'aborder un soir alors qu'il était sorti fumer un joint devant chez lui pour se reposer les yeux après une quinzaine d'heures la tête vissée à son écran
"La dernière fois je t'ai vu au tabac, tu m'as pas reconnu?"
"Non ça fait tellement longtemps ,et puis tu sais la mère Mazam elle me donne pas tellement envie de m'éterniser dans sa boutique"
"Ouais c'est clair, tout ce que tu dis dans son antre est obligatoirement répété à la personne suivante"
"Qu’est ce tu fout là?"
"Je suis venu voir mes parents, je suis à la fac, alors là je suis sorti pour prendre un peu l'air, mes vieux sont couché"
Je lui ai passé mon joint , on l'a finit et puis on est resté assis sur la murette et à moitié couché dans l'herbe à regarder les étoiles sans rien se dire , j'avais replonger à mes quatorze ans ma gueule rebourgeonné de rougeur, gonflait de pu, mon sexe avait considérablement raccourci, mes cheveux était de nouveau mi long et gras,j'avais l'impression que les prochains mots qui sortirait de ma bouche aurait la sonorité d'un adolescent pseudo chanteur de métal enroué qui aurait abusé du Jean moulant mais bon faut bien que je me lance:
"Tu sais quand on était au collège...."
"Je sais j'étais qu'une petite connasse arrogante et méchante"
"Ouais c'est tout à fait ça" j'ai de la barbe, une pomme d’Adam, du poil sur le torse, et une bonne grosse paire de couille prêtes à fertiliser tout ce qui passera à ma portée
"Toi si je t'attrape tu vas couiner"(je l'ai pensé ça?)
"J'aimerai bien voir ça"(ah ben non)
Elle l'embrassa sur la joue et repartit dans sa ville universitaire
Mais elle est revenue le week-end d'après, le vendredi soir tard alors qu'il continuait à archiver des pages et des pages de Web, il entendit taper à sa fenêtre, elle avait ramené de la beuh, ils l'ont fumé ensuite il l'a attrapé et sans me vanter, elle a couiné. Au final elle reviendrait tout les week-end, il avait finalement trouvé un rythme de croisière, toute la semaine à archiver et le week-end avec la belle Olivia et puis je pense bien que les êtres avaient accepté ce fait ; ils se manifestaient de moins en moins mais je les sentait bien présent, car sa vie avait toujours un sens, il était maintenant un vrai pro de l'archivage, il devenait super calé, bon bien sur ces ambitions étaient du genre incongrues,répertorier le nombre de site pornographique spécialisé dans le gang bang, archivé un nombre insurmontable d'image , totaliser le nombre d'article concernant les tueurs en série les plus varié, tout sur la fabrication des fromages à base de lait cru et à croûte dure,la façon de fabriquer des bombes avec des produits ménager mais tout cela dans un but purement pédagogique ; en moyenne et ce bien sur si je n’étais pas obligé de porter atteinte à sa sacro sainte intégrité physique, de prostituer ma force de travail, d’aller sucer la plue value d’un patron jusqu'à ce qu’il me gicle un salaire d’intérimaire en pleine gueule, je tournais à dix huit gigas de données archivé par semaine.
Elle était géniale cette fille vous savez, elle me comprenait, nous étions en phase, et puis elle était intelligente pas comme toutes ces poufs, ignoble vide couille dont la prostitution sociale débute dés le collège.
C’est dommage toute cette histoire vous savez, oh je m’imaginais bien qu’une fille comme ça ne fasse pas sa vie avec un mec comme moi qu’aurais-je bien pu lui offrir comme vie à cette fille
Un vendredi après midi alors qu’il devait faire des courses, ses courses habituelles de gros, tabac conserve à la con plus quelques petits extra pour offrir une belle soirée à Olivia, il sentait bien comme un doute planant sur lui, dans le village tout le monde le regardait comme si, comme si ils étaient au courant, tous, mais pas de l’existence réelle des ces petits êtres mais au courant que j’ai pu croire en un tel ramassis de conneries ou peut- être n’était ce que moi qui ne m’en rendait compte qu’a ce moment précis.
Puis je suis passé chez Jo, le dealer du coin que les flics laissent faire le temps qu’il amasse assez de fric pour arroser tout le commissariat, je le connaissais depuis longtemps on était au collège ensemble, nos relations était certes commerciales mais je pense qu’il m’aimais bien. Pour lui, je dois vous dire qu’il n’avais pas à me raconter tout ça, disons que comme tout est parti de lui je suis revenu le voir après …vous savez quoi.
-combien tu veux ?
-file moi comme d’ab une plaque a trois cent
-Tiens, oh tu sais quoi le John, il est venu la semaine dernière pour me prendre de la C, il était avec la petite Blanchet, tu sais la pure qui était avec nous au collège
-Ouais je vois qui c’est
-Bin il se la tape, comme elle est bonne tu verrais ça
-Bon faut que j’y aille

La conne, la petite connasse,comment aurais-je pu me douter qu’elle soit capable d’un tel manque de maturité, elle était passé comme ça chez moi et voyant que je n’étais pas la elle avait sonné chez ma mère et décidé de se présenter toute seule comme ça « salut je suis la bombe qui suce le fils dont vous pensiez depuis toujours qu’il soit homosexuel ou un espèce de détraqué pervers d’Internet »
Et j’arrive et je les vois dans mon studio aillant rebranché l’électricité pour entreprendre le grand ménage,
« Tu nous en voudras pas hin mais on s’est dit que ça méritait un grand coup de clean »
Et Olivia qui me regarde tendrement tout en astiquant mes disques durs avec de l’ammoniaque
J’ai entreprit de rétablir le désordre en hurlant à ma mère que c’est pour ne pas passer sa vie avec une débile que papa s’est pendu.
Olivia de stupeur a tombé le disque qu’elle astiquait, probablement celui qui abritait à ce moment précis le résidu électrique des êtres, ce sont de pures supposition car dans les deux jours qui suivirent je ne ressentais plus rien je leur avait pourtant acheter leur fromage préféré un qui pue mais rien et puis mon PC ramait les fenêtre galéraient à s’ouvrir à se fermer
C’était fouttu ils étaient morts ou bien enfui je l’espère vers un autre Pc plus accueillant
Olivia est revenu le dimanche soir pour s’excuser, on a parlé puis on a fait l’amour et je l’ai étranglé comme ça et je crois que j’ai jouis quand elle a poussé son dernier souffle, ça ne pouvait plus durer
Ma mère je n’ai pas eu besoin d’y aller bien fort je crois qu’elle attendait ça depuis longtemps que j’abrége ses souffrances mais je crois qu’elle s’attendait à ce que ça vienne plus tôt.
Bon pour le dealer j’y suis allé à la hache, direct et puis une fois le tapis bien imbibé de son cerveaux et de son sang, je me suis tiré les douilles les plus grosses que l’on puisse avec son shit d’enculé de dealer allant presque jusqu'à la syncope
Et puis je lui ai enfoncé les huit savonnettes que j’avais trouvées dans le cul
Puis je suis retourné dormir dans mon studio avec Olivia à mes cotés, en attendant le matin que vous veniez m’arrêter

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01/02/2008 02:13 Lpp
29/02/2008 11:20 normandart
j'ai lui avec intérêt, du début à la fin, on est captivé, la chute est vertigineuse, une chute digne des meilleurs scénario de Ed Mc Bain !
Tu écris beaucoup d'histoire comme ça ?
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