Reve 1: "Le buste" par Sylvestre
Galerie de SylvestreReve 1: "Le buste"
Synopsis :
Type de dessin recherché : Franchement si quelqu'un à le courage de déssiné un truc pareil il a le droit de faire ce qu'il veux.
Scénario :
1
Ca fait un moment que je somnole, que je pense dans mon sommeil, je me lève délicatement de mon lit, et d'un coup sans prévenir, une entité, un démon, se jette sur moi.
C'est un bout de corps, juste le buste et la tête, il a les yeux rouge injéctés de sang.
Sa peau flasque se délabre, comme du plastique fondu et, derrière, on peut deviné une structure métallique.
Il fonce sur moi en criant constament: "néne! néne! néne! néne!".
Un peu effrayé, surtout surpris; je me remet vite les idées en place, et convaincu par je ne sais quoi, je réplique et lui met des droites dans la tête, cela fait l'effet de taper dans un mur, je m'explose les phalanges.
Je tente alors de m'échaper, mais je ne peux rien faire... le truc avance vers moi et il est impossible de le stopper ou de le détruire.
Il me mord la jambe, je gueule! ( je ne ressentais pas réellement la douleur mais ça se serait trop long à éxpliquer... et d'ailleurs je crois bien que c'est inexpliquable).
J'essaye de soulever le monstre pour le foutre par la fenêtre, mais il est également impossible de le soulever, finalement je m'arrache en courant et lui laisse un morceau de mon tibia.
2
Je cours... Le truc me suit toujours, mais il est bien trop lent, les décors filent (au début j'étais dans ma chambre mais tout s'est modifié au fur et à mesure de ma progression)
Je continue ma route énérvé (je ne sais pour quelle raison, mais à ce moment là de l'histoire, je me sentais frustré de n'avoir rien pu faire face au buste, d'avoir été aussi impuissant...)
A présent je descend un escalier et j'aterris dans un long couloir blanc, il fait extrèmement clair, j'aperçois un homme plus loin (enfin, ça je ne l'ai jamais su, on va dire une forme humaine, il était habillé en combinaison soldat, façon camouflage, avec un casque bref, on ne voyait pas un bout de sa peau, et il n'était pas dur, je l'ai senti au premier coup de poing que j'ai placé en plein dans son thorax.)
Je tenais ma vengance... alors j'ai démonté ce gars, je lui ai d'abord mis des patates dans son bide puis des chassers, il est vite tombé par terre, alors comme n'importe qui, qui se battrait logiquement, je lui ai savaté les côtes à grand coup de pieds (pendant tout ce temps, il n'a pas bronché, il n'a pas crié... je commençais même à croire qu'il s'était laisser faire, en plus, il ne saignait pas, ce qui était bizarre vu tous les domages que je lui avais infligé).
jJe m'en allais en restant un peu sur ma faim.
-""précision: Je n'avais vraiment pas peur depuis le début, je me fouttais de ce qui pouvait m'arriver je voulais juste un peu d'action, c'était comme un élan de violence je dirais, je me sentais fort, d'ailleurs depuis le début j'ai fait abstraction de toutes les insultes que je prononçais, j'avais du mépris pour tout ce qui m'entourait, que ce soit les êtres ou les environements, en gros c'était un peu comme si j'étais là pour foutre la merde.""
3
(Plus loin dans le couloir, j'ai vu une porte sur le côté, je l'ai ouverte sans réflechir) A l'intérieur il fait sombre, aucun bruit, le silence de l'obscurité. J'avance dans le noir sans regarder devant moi, je ne rencontre aucun obstacle, à chaque pas j'entend craquer sous mes pieds. J'ai trés vite reconnu le bruit des brindilles qui se cassent, le froissement des feuilles et l'odeur de la forêt. Je suis dans une forêt, j'en suis sur.
(Mes doutes se sont vite confirmés) Plus loin j'apérçois de faibles lueurs, ce sont de petites lumières placées ça et là sur le sol, il y a plein de grands troncs qui partent et se fondent dans l'obscurité, je ne vois pas de plafond, mais je sais qu'il n'y a pas de hauteur infini, ça sent le renfermé, je ne suis pas dehors.
On dirait des décors de cinéma. Tout est arrangé pour ma venue.. C'est certain.
Soudain, l'ennemi arrive, (je m'attendais a sa venue, mais je n'aurais jamais imaginé que c'était un loup) le combat commence sans prévenir, je lui fonce dessus sans hésiter, je saisis la bête par la crinière, le fauve se débat mais j'arrive à le maitriser.
Déstabilisé je tombe à moitier par terre. Tout en m'appuyant sur lui, je lui donne deux trois patates bien placées dans sa gueule, il n'appréçie pas et me mord violemment le flanc...
Mais je ne veux pas me laisser faire, j'écarte sa sale gueule de mes mains, j'écarte de toutes mes forces...
Il se couche, je l'entend gémir, je sais qu'il a peur, je met ma main droite dans sa gueule pour lui arracher la langue en guise de coup de grâce, et d'un coup....POUF!, il disparait dans mes bras, enfin plutôt, il se transforme, c'est maintenant un minuscule et insignifiant écureuil... Je le laisse filer.
-""précision: Le combat avait duré assez longtemps, il faisait maintenant clair, j'étais en effet dans une salle, le plafond était très haut, et les arbres perdaient des feuilles orangées, laissant pleuvoir la beauté de l'automne.
C'était joli.. Et j'étais assez fier de moi... mais ça n'a duré que deux secondes. Je quittais la pièce, toujours avec cette détermination et cette soif de contact physique qui m'animais depuis le début.""
- 30/12/2006 14:37 Ahaw
- Waouw ! On dirait le rêve de Bernie dans la scène où il rencontre le dealer pour la dose de sa copine !
"... t'as besoin de rien toi mon pote ! "
^^ - 04/01/2007 00:34 AndroGyne
- Putain t'es super violent ds tes rèves :D
- 23/03/2009 00:50 vever
- ba je sui pa le seul a exploité mes reve!
bon trip! hate de le voir en image!